En 2014, la France y occupe une place intéressante : la 26ème, à égalité avec le Qatar et juste derrière les Emirats Arabes Unis !
Dis moi qui tu fréquentes, je te dirai qui tu es !…
Ce score minable est un tantinet gênant pour les radoteurs de la « Patrie des Droits de l’Homme », qui sont précisément les principaux bénéficiaires de ladite corruption, devenue sport national.
Le « Vallsgate » de Berlin n’est qu’un épiphénomène de la gangrène corruptive qui ronge la classe politique au pouvoir, laquelle, dans son mépris affiché du peuple et des « Sans-Dents », s’octroie plus de pouvoirs que toutes les castes qui se sont succédées au pouvoir depuis la chute de l’Ancien Régime.
Patience mes amis, plus dure sera la chute, vous verrez… MLS
Cahuzac, Le Guen, Hidalgo, Thévenoud, Benguigui, Hollande, Jouyet, Saal, et maintenant Valls, sans oublier Cambadélis qui pillait la MNEF, Désir et son emploi fictif, Kucheida à Hénin-Beaumont et ses marchés publics truqués, Guérini, Sylvie Andrieux, Lyne Cohen-Solal…
Le 21 novembre de la même année, il confirmait « la corruption d’élus socialistes » dans une lettre à Martine Aubry, en l’accusant « nul ne croira que tu pouvais ignorer la gravité des faits« .
Guérini, surnommé « le parrain », comme Bartolone l’est à l’Assemblée nationale, venait de se défendre en écrivant lui aussi à Martine Aubry (3 novembre) : « Je pourrai envisager de démissionner lorsque tous les élus du PS condamnés définitivement, et ils sont nombreux malheureusement, auront également démissionné de toutes leurs fonctions exécutives. Il y a 57 élus socialistes, maires de grandes villes, parlementaires ou présidents de conseils généraux, qui ont été mis en examen ou condamnés et qui continuent à occuper d’éminentes fonctions« .
Et malheur aux élus qui y succomberont ! »
(François Hollande, discours du Bourget).
Comment se fait-il que Thévenoud soit toujours député, Benguigui conseillère municipale de Paris où Anne Hidalgo la protège, que Saal ait été vivement recasée au ministère de l’Inculture, que Guérini soit toujours aux manettes dans le midi, Cambadélis secrétaire du parti, Jouyet secrétaire général de l’Elysée et Valls premier ministre ?
Où est passé le président impitoyable ?
Non seulement il ne sanctionne pas, mais il couvre les coupables, comme il vient de le faire pour Valls.
Lui-même, Président, gaspille l’argent des contribuables en ayant installé sa dernière maitresse à l’Elysée avec gardes du corps, appartement et bureau où elle traite les affaires de sa société de production Rouge international dont les locaux ne sont pourtant pas loin, à deux pas de l’Elysée, 54 faubourg Saint-Honoré pour être précis.
Le bruit court dans les couloirs du palais qu’elle en utilise aussi la salle de cinéma pour visionner les films de sa production avec son personnel.
Mais il est intéressant de savoir d’où vient l’argent de nos impôts ainsi gaspillé : Fleur Pellerin (Culture) qui n’a fait que poursuivre la générosité précédente d’Aurélie Filipetti, Laurent Fabius (Affaires étrangères) et Anne Hidalgo (mairie de Paris).
Et comme Julie est bien conseillée (serait-ce sur l’oreiller ?), elle a créé en 2013 deux filiales deRouge international, cinématographiques elles aussi : L’arbre secret et Cinémaphore qui peuvent également prétendre à des subventions.
Oh là !
Il est en terrain miné le conseiller !
Car « on ne nous dit pas tout » dans la presse de déférence !
Quand le président invite l’acteur américain Sean Penn à rejoindre Cannes depuis Haïti dans l’Airbus présidentiel, ça ne coûte certes pas plus cher que quand Valls met ses deux fils dans un avion gouvernemental, mais c’est le même geste, le même manque de respect pour les Français.
Mais Ségolène n’a rien voulu savoir et a donc frappé fort… « Un coup de fil plus tard, l’Élysée lui lâche alors l’avion présidentiel » a raconté un diplomate à Libé.
Plus loin, Libération explique que le sommet ayant été prolongé, l’avion présidentiel est reparti à vide !
Et surtout, Laurent Fabius s’est vu « contraint de rentrer deux jours plus tard par une ligne low-cost » !
Hollande ne lui refuse rien, à la mère Thénardier, son ex, et c’est nous qui payons.
Eh bien, nous y sommes et il n’y a pas que Ségolène, il y a aussi Christiane, Najat, Marisol…
Bien.
Mais pourquoi aller à Berlin se rencontrer dans un stade au milieu de la foule alors que Platini avait rendez-vous pour discuter de la même chose à l’Elysée avec Hollande, surtout quand L’Équipeavait annoncé trois jours plus tôt que le rendez-vous de Berlin était annulé pour cause de corruption généralisée à la FIFA.
Il y eut heureusement Montebourg et Mathieu Pigasse de la banque Rothschild pour apporter un souffle d’air et de vérité : « Hébétés, nous marchons droit vers le désastre. C’est la démocratie qui est cette fois menacée« .
La France peut repartir un peu plus tard d’un bon pied, débarrassée pour un bon bout de temps du parasitisme socialiste qui na jamais fait autre chose que d’amener les pays qu’il a dirigés au déclin et à la décadence.
« De toute façon j’y ai droit », se disent-ils, de Saal à Valls.
Ils ne pensent même plus : c’est la marque des parasites s’agrippant à un organisme jusqu’à le tuer, suçant ses forces jusqu’à sa mort.
Valls remboursera sans doute pour stopper la polémique, mais la tache restera.
Pour y remédier, il envisagerait d’étaler sur les cinq prochaines années l’opération de passage du prélèvement de l’impôt à la source qui consiste à prélever l’impôt sur le champ au lieu d’attendre l’année suivante, ce qui augmenterait de 20 % notre impôt sur le revenu.
Mais cela ne suffira pas à empêcher les dépenses de rester supérieures aux recettes.
Cet ascenseur pour la banqueroute est tellement moins intéressant que la diversion sociétale préférée par le gouvernement pour échapper aux décisions difficiles.
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