Baptiste Bouthier et Emilie Coquard sont certainement deux excellents journalistes. Et probablement presque irréprochables. Mais allez savoir pourquoi, quand ils parlent des victimes du terrorisme musulman, dans leur article intitulé « Les attentats islamistes ont tué près de 2 000 personnes en 2015, » ils ne parlent pas des victimes israéliennes…
On parle pourtant bien des attentats de Tunisie, de Libye, d’Egypte, du Liban, du Mali et de tous les autres pays arabes et musulmans (et de la France, bien entendu…) ; mais pas un mot sur Israël*.
Est-ce que les victimes du terrorisme islamique en Israël ne méritent pas d’être nommées « victimes » ? Est-ce que Libération pense qu’après-tout, ils l’ont peut-être cherché un peu ?
A moins que les journalistes de Libé croient encore que le conflit israélo-arabe est « territorial » et non-religieux ? Mais ce ne serait pas sérieux de croire ça… Non, j’ai vraiment du mal à penser que c’est possible. Tout le monde sait que tout ce qu’il se passe en Israël, comme à présent dans le reste du monde, est une guerre de l’Islam contre le reste du monde. C’est le cas en Asie, dans le Caucase, en Europe, en Afrique. En fait, c’est pareil partout.
Bref… Qu’on m’explique pourquoi les victimes israéliennes de la barbarie islamiste (bombes, missiles, couteaux, voitures bélier, pierres, etc…) ne sont pas comptabilisées… Juste par acquis de conscience.
Par Lola Perez – JSSNews
*On notera également que les victimes de l’attentat de l’avion Russe dans le Sinaï égyptien ne sont pas non plus comptabilisées.