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david MIEGE
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22 mars 2016 01:37

Dans sa recherche désespérée d’une solution à la crise des réfugiés, provoqué par son délire humaniste, Merkel n’a pas hésité à promettre à la Turquie une accélération des négociations pour son adhésion à l’UE. (...)

Il y a 10 excellentes raisons pour dire NON à l’entrée de ce pays musulman en Europe.

  • 1) Ce n’est pas un pays européen et son admission ouvrirait une véritable boite de Pandore, encourageant les prétentions d’autres nations musulmanes à rejoindre l’UE.
  • 2) C’est un pays à 98% musulman, très peu tolérant envers les autres religions et si nous nous référons au passé, ce pays est un ennemi historique de l’Europe. Cette adhésion introduirait dans l’UE un élément étranger, car même si ses racines judéo-chrétiennes ne sont pas reconnues dans les documents officiels, l’UE est née de racines et de règles judéo-chrétiennes. Ces dernières sont une constituante « normale » de la réalité et vouloir nier cette réalité relève d’une mauvaise foi dramatique.
  • 3) Par son développement démographique impétueux, ce pays musulman deviendrait le pays le plus peuplé de l’UE et disposerait de ce fait du plus grand nombre de représentants musulmans au Parlement européen et de bureaucrates à Bruxelles. Cette perspective cristallise à raison toutes les inquiétudes. Quand un pouvoir est confié à un élu musulman, ce dernier s’empresse de défendre les intérêts de l’Oumma et la propagation de l’islam.
    Il serait dès lors très facile pour l’OCI, avec l’appui d’Erdogan et des ses infiltrés, de faire voter le délit de blasphème passible de la peine de prison. Ne pas oublier que dans certains pays membres de l’OCI, c’est la peine de mort qui est appliquée à toute personne accusée de délit de blasphème. Cela laisse songeur quant à l’avenir d’une Europe sous influence musulmane !
    Selon Erdogan : « l’islamophobie est un crime contre l’humanité!ˮ

tous ceux« Toute politique fondée sur ce crime contre l’humanité ou qui en porte l’empreinte, est mauvaise et sera destructrice », avait déclaré Recep Tayyip Erdogan lors un discours prononcé lors de l’inauguration de la 7e réunion du Conseil islamique de l’Eurasie à Istanbul en 2009. (...)

Les fascistes du futur prendront le nom d’antifascistes
  • 4) A l’époque de la guerre froide, la Turquie était le pilier oriental de l’OTAN, aujourd’hui, elle est une puissance régionale, qui poursuit ses propres objectifs, souvent opposés aux nôtres.
    La Turquie a aidé à la croissance de l’EI, en lui achetant son pétrole et en laissant passer en Syrie des milliers de combattants étranger.
    La Turquie soutient les Frères musulmans, ces hypocrites, ennemis jurés de l’Occident.
     (...)

La Turquie poursuit son rêve d’établir une Jérusalem musulmane :

« La Turquie continuera à apporter un soutien illimité au peuple palestinien. Et notre aide continuera jusqu’à ce que soit établi un état palestinien libre, avec Jérusalem pour capitale. » – Ahmed Davutoglu – réunion du 20 décembre 2015 avec son cher frère et ami Khaled Mashaal.

Si la Turquie devait intégrer l’UE, il est facile de déduire que l’antisémitisme musulman, déjà bouillonnant, exploserait avec une vigueur sans précédent. Erdogan et ses troupes y veilleraient personnellement.
Dans la guerre avec la Syrie, Erdogan traite les Kurdes en ennemis, alors que l’Occident les considère comme leurs meilleurs alliés contre le califat. Il a assisté impassible au massacre de Kobane par les jihadistes.
Dans la crise des réfugiés, la Turquie exerce à l’encontre de l’Europe un véritable chantage.
 (...)

  • 5) La Turquie se transforme en une dictature. Après s’être fait élire Président, dans l’attente d’une modification de la Constitution – qu’il n’a pas encore réussi à obtenir – et qui lui permettrait de gouverner jusqu’en 2023, Erdogan outrepasse systématiquement ses pouvoirs en continuant à gouverner via les ministres qui lui sont asservis.
  • 6) Après l’échec d’une longue négociation, Erdogan a repris la persécution de la minorité kurde, soit 15% de la population, n’hésitant pas à bombarder villes et villages, sans que cela ne suscite l’indignation de l’Occident. (...)
  • 7) Erdogan poursuit une campagne impitoyable contre la liberté de la presse, envoyant en prison plus de journalistes que la Chine et fermant progressivement les médias qui lui sont hostiles.
    Les tribunaux turcs, contrôlés par le gouvernement Erdogan, ont récemment placé le journal Zaman, l’un des derniers médias encore critique d’Erdogan, sous contrôle de l’état. Amer, l’éditeur en chef, Segvi Akarcesme, a déclaré que c’était effectivement la fin de la liberté des médias en Turquie.
     (...)
  • 8) Erdogan a entamé une islamisation implacable et progressive du pays : il réduit les droits des femmes, invitées à se voiler et à rester à la maison pour enfanter, et se rapproche de la loi de la charia, dans le but final d’effacer l’état laïc voulu par Atatürk. Sa femme a même suggéré le rétablissement des harem comme « lieu d’éducation des femmes ».
  • 9) Erdogan refuse obstinément de résoudre la question de Chypre, dont la partie septentrionale fut envahie il y a 50 ans par les Turcs, restant ainsi en conflit avec un Etat de l’EU, qui, en représailles, applique systématiquement sont véto à l’encontre de toute décision concernant la Turquie.
  • 10) Un cinquième des citoyens turcs admet éprouver de la sympathie pour l’EI. Si rien qu’un seul sur mille, devenait militant jihadiste, nous ouvririons la porte de l’Europe à quelques 7.500 fanatiques, prêts à commettre des attentats. Ils viendraient s’ajouter à ceux déjà présents sur nos territoires, attendant le signal pour lancer le « grand jihad. »

Rien de ce qui se passe en Turquie ne peut nous laisser indifférents, vu la mégalomanie dangereuse du sultan d’Ankara et ses rêves islamiques de rétablir la grandeur ottomane, afin d’islamiser l’Occident.

Dans la réalité, la Turquie moderne n’a jamais été aussi éloignée des valeurs fondamentales inscrites dans la civilisation européenne et ses institutions.

Dans un discours le 11 mars, il a vivement critiqué la décision rendue par la Cour constitutionnelle turque au sujet des deux journalistes du quotidien d’opposition Cumhuriyet.

La haute juridiction avait jugé que les droits de Can Dündar, rédacteur en chef, et Erdem Gül, chef du bureau d’Ankara, avaient été violés, et permis leur libération conditionnelle après trois mois de détention provisoire.

“Je garderai le silence au sujet de la décision rendue par la cour constitutionnelle. Mais je ne suis pas obligé de l’accepter. Laissez moi-être clair. Je ne suis pas d’accord avec cette décision et je n’ai pas de respect pour elle”, avait déclaré le président turc.

Ils seront jugés à partir du 25 mars, et risquent la réclusion à perpétuité pour “espionnage”, “divulgation de secrets d’État”, “aide à un groupe terroriste” et “tentative de coup d’Etat”, et cela pour avoir fait correctement leur travail de journaliste. (...)

Et c’est à cet homme-là que l’UE, sous l’impulsion d’Angela Merkel, confie la sécurité de ses frontières extérieures et promet d’accélérer le processus d’adhésion de son pays – en passe de devenir une république islamiste – à l’UE !

Certains dirigeants de l’UE, dans leur élan humaniste pro-musulman, perdent la raison et nous entraînent vers l’abîme.

source

salut

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