16 avril 2016
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Le côté «tous pourris» des Panama papers mêlant indistinctement Lionel Messi, Bachar Al-Assad, et Jérôme Cahuzac, a profondément gêné Alain Finkielkraut car cette litanie «donne l’impression d’une corruption généralisée».
Le philosophe déplore également l'«économisme radical» d'Emmanuel Macron qui enchante la droite tandis que la gauche lui oppose «un autre économisme» qu’est le mouvement Nuit debout.
CITOYENS ET FRANCAIS