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david MIEGE
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13 mars 2014 02:00

sodo2013

 

Peuples d’Europe, Jeunes et vieux, riches et pauvres, rasés ou barbus, cigales ou fourmis, ce message s’adresse à Tous et nous concerne Tous !

L’article 123 du Traité de Lisbonne précise que TOUS les États membres de la Communauté européenne n’ont plus le droit d’emprunter auprès de leur banque centrale. Ils sont dorénavant dans l’obligation d’emprunter auprès des marchés financiers, moyennant des intérêts.
Descendant de la loi Pompidou-Giscard de 1973 et de l’article 104 du Traité de Maastricht, cet article est à l’origine de l’endettement et des sommes faramineuses engagées par l’état pour le remboursement d’une dette qui ne devrait pas exister.
Le coût des intérêts de cette dette représente le premier poste de dépense du budget de l’état et s’élève à 153 millions par jour, soit plus de 106 000 € par minute (ou 56 milliards par an). C’est une dette « odieuse » car elle a été contractée contre nos intérêts, sans notre consentement et en toute connaissance de cause par les créanciers.

Les responsables de cette folie ?
C’est nous…

Nous, car nous avons laissé les hommes au pouvoir écrire les règles du pouvoir.
Nous, car nous continuons de les laisser faire.
Nous, car nous cautionnons ce système corrompu en participant aux élections de ses représentants.

Nous constatons aujourd’hui les conséquences de cette négligence, cause majeure des différents maux de notre société moderne (lois monétaires, lois sur la protection de l’environnement, lois sur les OGM…).

Il est temps d’arrêter ce massacre.

Une campagne d’information et de dénonciation massive sur l’article 123 du Traité de Lisbonne est une question vitale. Nous sommes TOUS affectés par les effets néfastes de cette loi crapuleuse et il est temps de s’interroger sur la légitimité de cet article.
Nous sommes presque 6000 à en être conscients.

Conscients de l’arnaque qui nous accule (sans mauvais jeu de mots), de l’ignorance de nos concitoyens (tout est fait pour) et de l’indifférence de notre pseudo élite…
6000, c’est bien, mais l’heure est encore loin d’être aux réjouissances…
Car s’il est vrai que les groupes « engagés » ne cessent de se multiplier sur la toile, force est de constater que plus il y en a, plus nous sommes divisés et in-fine, moins on bouge.

Nous tentons d’informer le public chacun à notre manière, chacun dans nos coins. C’est une méthode efficace qui rassemble de plus en plus de « militants » mais qui restera sans effets tant que nous serons dispersés. Car jouer le jeu de la division et nous battre sur des conséquences différentes (mais dont la cause est commune) n’inquiète personne.

Nous ne pouvons espérer un changement en continuant de la sorte. Si nous voulons vaincre, il faut nous unir. Inutile de rappeler que notre SEULE force, c‘est notre nombre. Sans cet avantage unique, nous ne serons jamais en mesure de changer quoi que ce soit. Il faut dénoncer l’article 123 par TOUS les moyens possibles. À cette fin, voici quelques idées pour démarrer, quelques pistes à creuser :

- Expliquez l’article 123 à vos amis, votre famille et vos collègues. Rappelez leurs qu’il est l’origine de la dette et qu’il nous coûte 153 millions par jour.
- Inscrivez la mention « Art. 123 Lisbon Tue » sur chaque billet de banque qui passe entre vos mains.
- Utilisez le logo de la page FB (ou les images disponibles) pour les afficher dans vos halls d’entrées, voitures, fenêtres, ascenseurs, photo de profil…
- Imprimez et personnalisez le texte de présentation de la page pour l’envoyer par courrier à 3 adresses sélectionnées au hasard dans l’annuaire. Invitez ces 3 personnes à répéter l’opération de manière à créer une chaîne.
- Utilisez la méthode citée ci-dessus en version 2.0, c’est-à-dire par l’intermédiaire de vos boîtes mails.
- Ne cautionnez plus le système bancaire. Virez le maximum de votre argent sur vos comptes courants (ou retirez le) pour limiter les spéculations financières.
- Choisissons des personnes connues des grands médias et envoyons leurs chacun la même lettre, le même jour. Recevoir un courrier identique provenant de plusieurs milliers d’expéditeurs différents éveillera forcément un peu de curiosité.
- Partagez et diffusez au maximum cette publication et la page « Art. 123 Lisbon ».

Mais soyons réalistes, la révolution ne se fera pas de nos canapés. Pour que cela fonctionne, il est impératif d’amener ce message sur le devant de la scène médiatique.
Utilisons la machine médiatique à son insu pour dénoncer cet article en organisant des rassemblements ou événements partout en France et en Europe avec une seule et unique revendication : « ART. 123 LISBON ».
Ces mots innocents mis bouts à bouts dans une barre de recherche deviennent assassins pour les vrais coupables. Et dans ce contexte, l’article 123 devient une arme et c’est NOTRE arme ! Grâce à une campagne de dénonciation massive, nous pouvons inciter un maximum de citoyens à effectuer cette recherche et à réaliser que la dette est l’arnaque du siècle.

Et puisque cette dette est « odieuse », elle est donc nulle et non avenue. Aucune des obligations qui en découlent n’aurait dû être honorée. L’annulation de la dette est donc une mesure insuffisante : nous devons également nous voir restituer les montants remboursés à tort.

Une fois majoritaire, l’abrogation de cet article assassin sera une volonté commune. Première étape qui nous conduira ensuite à instaurer de manière pérenne et efficace un ARBITRAGE CITOYEN pour contrôler les décisions prises par les pouvoirs en place.
Donc en exigeant un référendum sur l’article 123 du Traité de Lisbonne, nous exigeons également l’annulation de la dette odieuse, le remboursement des sommes versées mais surtout, notre droit à la VRAIE démocratie.

Beaucoup d’entre nous se pensent impuissants et se demandent : « Mais qu’est ce qu’on peut bien y faire ? »
Et bien nous pouvons faire beaucoup pour rétablir l‘équilibre et il nous incombe à tous d’éclairer nos concitoyens sur les pistes à envisager (référendum d’initiative populaire, réécriture de la constitution, droit de révocation des élus, tirage au sort, revenu universel de base, etc).
Des solutions existent et notre impuissance n’est pas une fatalité !

Le chantier est de taille alors cessons les clivages et les chamailleries. Organisons nous, retrouvons nous dans les villes et villages de France et regroupons nous derrière une même bannière, celle du Peuple.

Car si les paroles sont mères de toutes actions et nourrissent les esprits, il arrive un temps où elles doivent laisser place aux actes !

« La vraie démocratie ne viendra pas de la prise du pouvoir par quelques-uns, mais du pouvoir que tous auront de s’opposer aux abus de l’autorité. » (Gandhi)

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CITOYENS ET FRANCAIS - dans Economie