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david MIEGE
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8 juillet 2012 01:22

commission-europeenne-bruxellesBien beau d’aider tout le monde mais quand la tirelire est vide, si le cochon est vide, il est vide!!! Donc, résumons les infos de ces derniers mois, la BCE manque d’argent, le FMI manque d’argent, les pays manquent d’argent, bref, tout le monde manque d’argent et tant que nous, on peut payer pour toutes leurs conneries, le système tient, il est bancale mais il tient!

Jusqu’à quand….. On va compter en seimaines, en mois dans le meilleur des cas, mais la finalité reste la même, dénoncée par les spécialistes comme Fekete, Zaki, Keiser, Jovanovic, Delamarche,  même si c’est de manière modérée, Farage qui est un eurodéputé et non un économiste, et quelques autres qui ne craignent pas de dire les choses telles qu’elles sont.

FRANCFORT (Reuters) – La Banque centrale européenne (BCE), en ramenant son principal taux directeur à 0,75%, du jamais vu, et en réduisant à pratiquement zéro la rémunération des dépôts à 24 heures, a presque épuisé ses armes de politique monétaire conventionnelle.

Si la crise de la zone euro devait s’aggraver, la banque centrale des pays de l’euro n’aura plus qu’à se résoudre à prendre des mesures qui lui déplaisent, notamment parce qu’elles ne sont pas sans danger.

Il s’agirait d’acheter de la dette d’Etat, une éventualité qui hérisse la Bundesbank, son principal actionnaire, ou alors offrir de nouveaux prêts bon marché aux banques, ce qui ne va pas sans risque. « Il ne faut pas se faire d’illusions. La BCE ne peut pas à elle seule assurer la bonne navigation de l’économie et des marchés », a prévenu vendredi Jörg Asmussen, membre de son directoire, au lendemain de la décision de politique monétaire de la BCE. « Il y a des limites à ce que nous pouvons faire ».

Jens Sondergaard, économiste chez Nomura, espère dans un premier temps, comme certains de ses confrères, une nouvelle baisse d’un quart de point du coût du crédit en août. Ce qui réduirait le taux de refinancement à 0,5%.

Jens Sondergaard croise les doigts pour que l’économie de la zone euro redémarre ensuite vers la fin de l’année.

Parmi les options envisageables, le fonds permanent de secours de la zone euro, le Mécanisme européen de stabilité (MES), qui sera opérationnel d’ici quelques jours, pourrait lui aussi intervenir sur le marché obligataire pour faire baisser les coûts de l’emprunt.

Mais ses ressources ne sont pas inépuisables. Il dispose d’une enveloppe maximum de 500 milliards d’euros dont une centaine de milliards est déjà réservé aux banques espagnoles.

Source et suite de l’article sur Reuters


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CITOYENS ET FRANCAIS - dans Economie