Le Groupe d’Experts Intergouvernemental sur l’Evolution du Climat (GIEC) a été créé en 1988 par L’Organisation de la Météorologie Mondiale (OMM) et le programme des Nations Unies pour l’Environnement (PNUE).
C’est un organe intergouvernemental ouvert à tous les pays membres de cette organisation. Mais avant d’aller plus loin, penchons-nous sur l’appellation officielle en anglais : Intergovernmental Panel on Climate Change (IPCC). On voit que des amis écologistes francophones ont voulu ajouter le mot : « Experts » …..dans la dénomination française ! Tout cela pour nous faire croire que nous avons affaire à des personnes doctissimes en sciences du climat.
Ces Gourous illuminés se sont répandus en rapports plus alarmistes les uns que les autres. Je crois que les Citoyens ont bien compris que l’acronyme « E » n’est pas loin de signifier « Escrocs » !
J’ai essayé à plusieurs reprises de comprendre l’organisation du GIEC, cette merveilleuse nébuleuse composée d’une multitude de labyrinthes à quota, ce Nirvana de la Pensée Verte. Jugez vous-mêmes : Une Assemblée plénière, un Bureau, des Groupes de Travail disparates sur des orbites aléatoires, des « Equipes Spéciales pour les inventaires nationaux des gaz à effet de serre » (sûrement avec une indépendance de fonctionnement garantie par leur pays !), un Bureau des Equipes Spéciales, Un Secrétariat, une Unité d’Arbitrage, des Collaborateurs, des Examinateurs, des Spécialistes autoproclamés de tous poils du monde entier ou des « taupes » téléguidées !
Qui fait quoi exactement, on ne sait pas trop, mais certains doivent faire aboutir aux bonnes conclusions pour ne pas sauter et se retrouver ostracisés ou excommuniés du jour au lendemain !
Le GIEC a un « Bureau » composés de 31 personnes qui sont renouvelés environ tous les 6 ans. Il y a un Président, Rajendra Pachauri. C’est un ingénieur indien des chemins de fer ! Celui-ci a été critiqué, en particulier fin 2009 et début 2010, pour un supposé parti pris dans les travaux du GIEC et des affirmations hâtives contredisant les sceptiques là où ils avaient raison. Ainsi, Rajendra Pachauri a dû s’excuser et retirer ses affirmations précédentes sur la fonte des glaciers de l’Himalaya. De même, Martine Tabeaud et Xavier Browaeys, deux universitaires français, professeurs de climatologie et de géographie, l’ont critiqué pour avoir tenu des propos que «LA LECTURE DE N’IMPORTE QUEL MANUEL DE GEOGRAPHIE DU SECONDAIRE SUFFIT A INVALIDER ».
Il y a 3 Vice-présidents représentants des groupes de pays ! On retrouve dans ce bureau, différentes nationalités de tous les continents.
Des rapports sur le climat sont commandés tout azimut et ensuite digérés. Après de longues discussions pour essayer de concilier les points de vue, un rapport est émis.
C’est évidemment un rapport « politique » et non « scientifique » ! Ceci explique les inepties décrites dans chaque rapport.
Je ne vais pas aller plus loin, dans l’organigramme du GIEC qui ressemble aux « Mobiles de Calder », le lecteur en a déjà marre, j’en suis certain !
Un premier point retient toute mon attention : les statuts du GIEC exigent de se concentrer sur l’influence de l’homme sur le climat. Et donc, de ne pas tenir compte de la nature. En général ces gourous autoproclamés, se fichent comme de leur première culotte de tous les paramètres qui doivent peser dans les appréciations : cosmiques, interplanétaires, solaires, planétaires (volcans, champs magnétique terrestre, haute atmosphère, etc.…).
Mais au GIEC, ce sont les paramètres anthropiques qui comptent et rien d’autres, voilà une PREMIERE ESCROQUERIE INTELLECTUELLE. Un vrai scientifique est obligé de prendre en compte tous les paramètres et toutes les influences. D’autant plus que l’anthropisme joue dans le climat pour quelques dixièmes de pourcent ! Evidemment intégrer les vrais paramètres dans les conclusions demandent des efforts colossaux que ces cerveaux basiques et politiques sont incapables de faire , en ayant soin de rester politiquement correct vis-à-vis de leur bailleur de fonds. Il est tellement plus facile d’écouter les dogmes des « Evangiles » selon Greenpeace et de certains états qui noyautent le GIEC.
J’ai aussi des grosses difficultés de comprendre les époques de références prises par le GIEC, car elles sont soigneusement choisies pour proclamer abusivement une tendance au réchauffement. D’autres experts qui ne sont pas membres du GIEC démontrent que la température moyenne de notre planète est restée plutôt stable ces 15 dernières années, voire qu’il y a eu un léger refroidissement ! C’est donc encore une autre escroquerie, on choisit les dates de références qui conviennent aux conclusions !
J’ai déjà expliqué dans un autre article paru dans « Le Peuple », que la terre au cours des ères géologiques depuis 500 millions d’années est passée par des périodes ou les températures moyennes du globe terrestre étaient de 9 °c et puis des très longues périodes de 25 ° c….. Il y a 200 millions d’années par exemple, les industries humaines n’existaient pas, ni les experts du GIEC. Plus rien à dire, c’est bien la preuve qu’il y a encore une autre escroquerie ! Le GIEC ne veut pas connaître les histoires géologiques de la Terre.
Enfin paraît-il, les océans captent la chaleur et donc faussent les prises de température…. Les océans captent peut-être la chaleur…… mais en l’admettant et il faut aussi dire que les océans l’ont toujours fait…. encore une explication vaseuse qui ne tient que pour les dogmatiques cavernicoles.
Par contre ce qui est vrai, mais qui n’est pas dit par le GIEC : le CO2 excédentaire est capté par les océans et peut acidifier très légèrement ceux-ci, mais la réaction continue immédiatement pour former des carbonates qui précipitent sous forme de sédiments marins tout à fait normaux et enfin un CO2 excédentaire profiterait à une pousse généralisée des végétaux de la planète, qui en a bien besoin !
D’autres déclarations du GIEC sont pathétiques : ils veulent absolument démontrer que le CO2 est la source de tous les maux. Ils devraient réviser leur « abaques ». En effet, la vapeur d’eau qui est présente de manière importante dans l’atmosphère a des impacts gigantesques…..mais apparemment les rapports du GIEC sont très flous à ce sujet. Ils sont incapables de trouver des explications cohérentes sur l’influence de la vapeur d’eau. Savent-ils que la vapeur d’eau est bien plus calo porteuse que le CO2 !
Les « érudits » du GIEC ne se sont pas beaucoup penchés sur les formidables et complexes échanges thermiques entre l’atmosphère chargée de vapeur d’eau à basse altitude, les océans, les forêts.
Les gens du GIEC sont des personnages binaires. Mais les paramètres eux sont complexes. Et aujourd’hui les ordinateurs les plus performants ne peuvent intégrer tous les paramètres, encore faut-il être capables de collecter les données de manière impartiale !
Un vent favorable m’a apporté une information complémentaire dissimulée par nos experts en herbe. Bien sûr, celle-ci n’explique pas tout, mais elle est illustre la bêtise de certaines saisies d’informations. Je vais vous en raconter l’histoire qui est édifiante.
Il y a déjà une centaine d’années que se sont érigées des stations météorologiques autour des grandes villes. Les sites choisis au départ ont été en périphérie relativement éloignée de toutes les grandes villes du globe. Et les météorologistes se sont succédé depuis lors pour faire des relevés…. Au fil du temps, les villes se sont agrandies et les stations météorologiques se rapprochés des villes et donc des influences de celles-ci. Tout le monde sait que la température prise dans une banlieue est plus élevée que prise à la campagne. Et c’est ainsi que la moitié des prises d’informations sont biaisées sur notre planète depuis les années 90 et que cela à une influence non négligeable sur des conclusions bien trop hâtives….
C’était une simple diversion pour vous montrer que la rigueur totale doit rester de mise et que chez ces gens là, la rigueur est un mot qui est banni de leur dictionnaire. Tout est politique et surtout leur carrière!
Comme beaucoup d’organisations onusiennes ou para-onusiennes, personne ne sait vraiment comment sont désignés les « experts » du GIEC et quels sont les critères. Ce que tout le monde sait maintenant, c’est que le GIEC est noyauté par Greenpeace, qui est un modèle d’intégrisme. Tout le processus est partial et grotesque !
De plus tous ces experts ne recherchent qu’une chose : être dans une bonne place, subsidiée. La planque ! Ils vont s’amuser ainsi à continuer la divulgation de fausses nouvelles alarmistes qui font le bonheur des apôtres du retour aux cavernes. Les rapports ne peuvent être qu’alarmistes. Sans alarme, plus de GIEC, plus de planque, plus de subside.
Et enfin cerise sur le gâteau, il y a beaucoup d’états qui raffolent de cette peur du C02, de la montée des eaux et du réchauffement climatique.
Car n’oubliez pas que diaboliser le CO2 est une merveilleuse histoire pour les pays qui veulent lever encore plus de taxe « carbone » !
Les hommes ont toujours écouté les grandes alarmes de pseudo-experts, cela les rends naïfs, gogos, moutons. La peur ancestrale du ciel qui leur tombe sur la tête, et puis cela fait du bien de trouver un responsable à leur maux.
Et de tout temps, il y a eu des profiteurs, qui distillent les peurs en regardant la belle vision de l’argent qui affluent sur leur compte.
JACQUES D’EVILLE
source