La vie dans un pays socialiste c’est un peu comme dans les régimes communistes les plus reculés de la planète, le peuple souffre et à côtés quelques privilégiés se goinfrent bien gentiment.
Une semaine après des chiffres du chômage catastrophique, une année 2014 où chaque jour on nous rappelait qu’il fallait baisser l’astronomique déficit budgétaire au risque de perdre retraite et sécurité sociale, sans oublier les aveux du cher Manuel Valls à l’étranger sur la désastreuse situation française qui durera au moins 3 ans.

Et bien nous apprenons par les « Echos » qu’ « Un arrêté ministériel du 23 décembre vient de porter l’« indemnité de responsabilité » annuelle de ces derniers à 25.620 euros. Soit une hausse de 10.000 euros par rapport au niveau précédent, fixé en 2010. »

« La part fixe de la prime est désormais de 25.620 euros pour tout recteur, contre 15.200 euros jusqu’ici, mais la part variable qui s’ajoute est maintenue, pouvant aller jusqu’à 45 % de cette somme, soit 37.140 euros maximum »

On se demande bien ce que peut justifier une telle décision en ces temps de disettes. Le maintien d’un électorat enseignant qui pourrait tout simplement foutre le camp et que l’on doit dorloter pour les échéances de 2017. Cela suffira-t-il ? Avec le vote immigré, des bobos et celui de l’éducation nationale, cela pourrait suffire surtout si l’abstention devait être à ses sommets.

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