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david MIEGE
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18 avril 2014 22:37

Le président François Hollande a déclaré aujourd'hui n'avoir "aucune raison d'être candidat" à un deuxième mandat si le chômage ne baisse pas d'ici à 2017, lors d'une visite deMichelin à Clermont-Ferrand.

"Si le chômage ne baisse pas d'ici à 2017, je n'ai, ou aucune raison d'être candidat, ou aucune chance d'être réélu", a affirmé le chef de l'Etat lors d'un déjeuner avec une vingtaine de salariés, de dirigeants et de syndicalistes de Michelin.

Il répondait à l'un d'eux qui l'interrogeait sur le chômage. François Hollande a rappelé que l'emploi était sa "priorité" et tout particulièrement l'emploi des jeunes. "On va y mettre toute notre énergie parce qu'il n'y a pas d'autre enjeu", a-t-il ajouté.

 

 

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CITOYENS ET FRANCAIS - dans Elections
10 avril 2014 10:34

Addendum 10/04/14

[...] Marine Tondelier monte au créneau en reprochant au maire d’avoir voulu « détruire un contre-pouvoir » parce que ça l’arrangeait, évoquant « un choix politique et délibéré ». Une attaque balayée d’un revers de manche par Steeve Briois : « Je veux remettre tout à plat ; votre système de copinage et de favoritisme, ça suffit ! »

Et lorsque David Noël s’empresse d’en rajouter une couche, il est cueilli à froid par Bruno Bilde, lâchant : « On fait tout un foin alors qu’il y a 14 adhérents dont MM. Noël et Binaisse et tout le PC local ! »

C’est le moment que choisit alors l’adjoint aux finances, Jean-Richard Sulzer, pour lancer une bombe : « M. le maire, je demande que vous entriez en procédure du recouvrement dû par cette association.

On peut évaluer le loyer à 600 € par mois en y incluant les charges, soit 72 000 euros sur dix ans, mais comme il y a prescription au-delà de 5 ans dans ce type de recouvrement, c’est 36 000 € que vous devez émettre soit sur la section d’Hénin, soit sur la Ligue nationale ! Je vous invite d’ailleurs, s’il y a débat, à saisir le procureur financier ! »

« Rendez l’argent ! » crie alors un élu.

Rude mandat en perspective !

La Voix du Nord

Merci à résurgence

09/04/14

[...] Interrogé par Ali Baddou, le président de la fédération départementale de la LDH du Pas-de-Calais qualifie cette histoire de « complètement ahurissante ».

« Nous ne sommes ni une association révolutionnaire, ni terroriste… On a pignon sur rue, on est reconnus, on est indissolublement liés à l’histoire de la République. » – Alain Pruvot, LDH

Morandini

_______________________________

[...] Interrogé sur Sud-Radio, Gilbert Collard, candidat RBM malheureux à Saint-Gilles (Gard), a regretté cette décision.

«ll ne faut pas donner de grain à moudre à nos détracteurs qui veulent nous réduire à l’état de poussière fascisante». L’avocat ajoute : «Moi je n’aurais pas viré la LDH, je lui aurais demandé de signer un bail et de payer».

Le Figaro

08/04/14

Élection municipale ; Quand le président de la LDH de Hénin-Beaumont appelait à voter contre le FN :

(merci à LaurentB)


Addendum à 18H00

Florian Philippot était l’invité à ce sujet dans l’émission de Wendy Bouchard sur Europe 1 le 8 avril 2014.

lien direct sur : VK


Addendum à 13H47

Communiqué de presse de Steeve Briois

Depuis des années, la ligue des droits de l’homme bénéficiait de subventions municipales et d’un local municipal en toute illégalité. Non seulement, aucun bail n’a été signé entre l’association d’extrême gauche et la mairie faisant de la LDH, un occupant sans titre mais plus grave, ces subventions sont totalement illégales.

Une pseudo journaliste de France Info dénommée Lemaire, à la recherche du buzz, fait la une de l’édition matinale en reprochant à la municipalité de respecter la loi !

En effet, les communes ne peuvent pas subventionner une association politisée et partisane. Le Conseil d’Etat indique qu’il n’est pas possible de subventionner une association qui combat une formation politique dont l’existence est légalement reconnue, et, d’autre part, que cette association de nature politique et partisane ne remplit pas les conditions de légalité de l’attribution d’une subvention.

Que les médias puissent reprocher à la nouvelle équipe municipale de respecter la loi est un comble. Que la bien-pensance s’y fasse : désormais la loi sera respectée à Hénin-Beaumont !  [...]

Front National

_____________________________

Le nouveau maire Front national d’Hénin-Beaumont, Steeve Briois, a décidé que la Ligue des droits de l’Homme ne pourra plus bénéficier du local qui était mis à sa disposition par la commune. Il reproche à la LDH d’être politisée et hostile à son équipe. [...]

Hebergeur d'imageC’est un local de 20 m² situé au rez-de chaussée avec une grande vitrine où s’affichent des messages citoyens. On peut y lire les résultats d’un récent concours de poésie sur le thème de l’égalité des droits.

Ce local de la Ligue des droits de l’Homme (LDH) est à quelques pas seulement de l’hôtel de ville d’Hénin-Beaumont. Il appartient d’ailleurs à la mairie qui depuis une dizaine d’années le laissait librement et gratuitement à disposition de la LDH, à laquelle les différentes municipalités versaient aussi une subvention : 300 euros par an.

Hebergeur d'imageMais pendant la campagne des dernière élections municipales, la Ligue des droits de l’Homme s’était clairement prononcée contre l’extrême droite. Depuis plus longtemps encore, elle s’opposait au Front national à Hénin-Beaumont. Le nouveau maire de la ville, Steeve Briois, a donc souhaité réagir, et a annoncé qu’il mettait fin au prêt du local, le jugeant « injustifié« . La LDH devra donc rapidement quitter les lieux.

« La Ligue des droits de l’Homme est une association politisée. Dès l’instant où elle s’immisce dans la vie municipale avec des a priori, on coupe les liens« , se justifie Steeve Briois.

Les responsables de cette association de défense des droits de l’homme ne s’attendaient pas à travailler en très bonne entente avec le nouveau maire FN. Mais ils accusent tout de même le coup face à une telle mise en demeure de quitter le lieux. [...]

France Info

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CITOYENS ET FRANCAIS - dans Elections
4 avril 2014 10:39

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En France, les élections municipales viennent de se terminer.

Front National : 6,8%.

Ennahdha : 41,8%, avec quasiment le même taux d’abstention dans les deux pays.

Quel est le pays le plus raciste des deux ?

Sachant que le vote FN ne rime pas avec racisme, la France ou la Tunisie ?

Voter FN est un vote pour la patrie, alors que voter Ennahdha c’est voter contre, mais pour le terrorisme. Balayer donc les immondices devant vos portes plutôt que de faire des procès en sorcellerie aux Français.

Pourquoi ne vous-plaignez jamais du racisme de vos frères saoudiens et qataris, alors que vous leur servez de chair à canon, de cireurs de pompes, de domestiques ou de dames de confort ?

Vous avez l’art consommé d’accuser l’autre de ce que vous êtes vous-mêmes. Vous êtes comme vos chameaux qui n’aiment pas regarder leur bosse de peur de se couper le cou. Et comme le dit si bien un proverbe bien de chez vous, « combien mes défauts sont insupportables quand je les retrouve chez autrui ». Elevés par votre Allah au-dessus de tous les autres, vous appelez ça de l’humanisme ?

Si la Tunisie en est là aujourd’hui, c’est à cause de la gangrène raciste qui la mine.

L’Apartheid social, le clanisme, le tribalisme, le régionalisme, véritables plaies du pays, sont les symboles de votre racisme.


Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Salem Ben Ammar pour Dreuz.info.

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CITOYENS ET FRANCAIS - dans Elections
4 avril 2014 00:31

boulevard-voltaire-christiane-taubira

Le garde des Sceaux, zombie politique d'un mois de mars où son image de perroquet moraliste a pris un sale coup, finit de faire le « boulot » ces jours-ci.

Après des mois d’orgie laxiste, passés à faire en sorte que le maximum de taulards puissent de nouveau humer le bon air du dehors, le festival Christiane Taubira se termine littéralement en feu d’artifice. Le garde des Sceaux, zombie politique d’un mois de mars où son image de perroquet moraliste a pris un sale coup, finit de faire le « boulot » ces jours-ci. Du moins, c’est à espérer, car on n’imagine pas qu’elle conserve son poste au lendemain du désastre électoral qui s’annonce !

Alors tant qu’à faire, le ministre pousse le bouchon le plus loin possible, quitte à écœurer encore un peu plus le monde judiciaire : au nom du gouvernement Ayrault, à l’aide d’une « procédure accélérée » (amendement adopté au Sénat le 24 février dernier), elle projette en effet de supprimer la garde à vue de 96 heures pour escroquerie en bande organisée !

Dans les colonnes du Figaro, le commissaire Mégret (oui, je sais, ça fait bizarre), numéro deux du Syndicat indépendant des commissaires de police, est révulsé : « Les grands truands reconvertis dans ces arnaques juteuses, où nous ramassons régulièrement des cadavres, auront droit au même traitement que le simple conducteur arrêté en état d’ivresse, soumis au mieux à 24 heures de garde à vue renouvelables une fois. C’est ahurissant! Il ne se passe pas un mois désormais sans que l’on ne tente de désarmer les acteurs de l’investigation. »

Selon lui, « les affaires d’escroquerie en bande organisée sont complexes. Les 96 heures sont indispensables, par exemple, pour obtenir des réquisitions bancaires, car si nous les faisions avant la garde à vue, le système est à ce point poreux que les clients suspectés seraient alertés. » La décision de madame Taubira est donc pour le moins surprenante, surtout avec cette étrange volonté d’aller très vite, comme si ce texte devait être adopté en priorité.

On a en tout cas le sentiment qu’il faut faire vite avant la raclée. Car Christiane Taubira, devenue pour une majorité de Français un véritable repoussoir, n’a plus la cote même chez ses partisans. OK, il y aura toujours un dernier carré de bobos prêts à mourir pour elle mais, on l’a vu ce jeudi, ils sont de moins en moins nombreux… L’espèce d’icône était attendue à Grenoble pour assister au meeting du candidat écolo Éric Piolle en tête à l’issue du 1er tour. La gauche locale – nous apprend Le Point – n’a visiblement pas souhaité la venue de l’encombrante agitatrice de papiers.

Christiane se serait donc pris un gros râteau à l’ancienne. « Taubira voulait se victimiser : elle sait qu’elle va être virée, elle voulait donc pouvoir dire que son soutien à Piolle était la raison de son limogeage », a déclaré Michel Destot, le maire PS sortant. Pour expliquer son étrange absence au dernier moment, la diva a eu une réponse pour le moins tirée par les cheveux : « J’ai raté mon train ! »

Pas grave, tout le monde veut qu’elle reste définitivement… à quai !

 

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CITOYENS ET FRANCAIS - dans Elections
3 avril 2014 00:52

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CITOYENS ET FRANCAIS - dans Elections
1 avril 2014 09:14

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Il est de bon ton de dire que les villes où il y a énormément d’immigrés votent plutôt à gauche. Ce n’est plus tout à fait vrai. Le scrutin du 1er tour des municipales françaises a renforcé la position de la droite dans des villes à très forte proportion d’immigrés maghrébins comme Tourcoing, Roubaix ainsi que certaines villes de la banlieue parisienne ou du sud.

Contrairement à ce que nous disent des sociologues, il n’y a pas nécessairement toujours de corrélation entre vote à gauche et électorat immigré. Depuis plus de trente ans où la gauche a perdu son électorat ouvrier par le déclin industriel et la tertiarisation de la société, les partis de gauche, dans nos démocraties occidentales ont tous séduit l’électorat immigré, en grande partie d’Afrique du Nord et de Turquie par le communautarisme, la séduction par la suggestion de la sphère publique à l’Islam, la création d’associations de gauche pour tutelliser un électorat immigré et le rendre féal des organisations de gauche (mutuelles, syndicats, maisons de jeune, parti, etc… comme ils le faisaient au XIXe siècle avec les ouvriers.

679433728Les dernières élections françaises nous indiquent que l électorat immigré qui veut vivre comme nous dans les pays européens en a marre de cette gauche-là : cette gauche qui proclame l’égalité et la diversité mais ne leur donne rien et les considère comme de la chair à canon électorale, cette gauche qui détruit la famille et les valeurs de base de notre société, cette gauche qui fait alliance avec les islamistes les plus totalitaires pour gagner des voix et maintenir ses prébendes.

Enfin, cela change. Ces électeurs-la ne veulent plus être pris en otage par les plans machiavéliques d’une gauche qui vise à se maintenir au pouvoir.

En France ces derniers jours, l’électorat à dit NON à la mainmise par la gauche sur l’électorat immigré, à 40 ans d’utilisation des populations issues de l’immigration non pas pour les servir mais pour se servir. Les électeurs ont mis fin à des années d’un système qui, tout en vantant les fausses sirènes de l’égalité et de la diversité fait de la population immigrée une valetaille qu’elle place sous son joug pour avoir des prébendes.

Un grand changement est arrivé en France. C’est réconfortant pour la démocratie.

ABRAHAM

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CITOYENS ET FRANCAIS - dans Elections
31 mars 2014 17:00

Publié le 31 mars 2014 par 

Dans les GG de RMC le maire FN David Rachline revient sur son élection et dénonce le comportement du PS local. Avec Bernard Debré, Serge Dufoulon et Franck Tanguy.

Hebergeur d'Images Gratuit

« On voit que c’est le Front National qui symbolise le renouvellement : 26 ans ! On voit quelqu’un qui arrive, qui est jeune, qui parle plutôt bien, qui a l’air d’être assez à l’aise dans ses baskets, et c’est au Front National que ça se passe ! Ça aussi c’est un signe. » – Olivier Truchot

 

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CITOYENS ET FRANCAIS - dans Elections
31 mars 2014 00:35

election-municipales.jpgLe niveau d'abstention s'orientait vers un niveau jamais atteint pour un second tour des municipales sous la Ve République, avec un taux final estimé autour de 38%.

Un remaniement du gouvernement est annoncé pour demain. Non confirmé.

  • A Tarascon, l'UMP Limousin sort vainqueur de son duel contre le FN Laupies.
  • En revanche, Cogolin (Var) bascule au FN, à 53% contre 47%.
  • Forbach reste PS avec la défaite de Philippot.
  • Fréjus, Rachline (FN) emporte la triangulaire avec plus de 45%.
  • Beaucaire, le FN Sanchez est aussi en tête avec près de 40% dans une quadrangulaire.
  • Le FN Franck Briffaut remporte la mairie de Villers-Cotterets avec 45% dans une triangulaire.
  • A Brignoles, l'UMP gagnerait face au FN.
  • À Hayange (Moselle), le FN gagne
  • La Roche sur Yon, l'UMP gagne à 54% face au PS
  • La Rochelle, le dissident de gauche Jean-François Fountaine gagne contre le PS.
  • Marie-Claude Bompard est réélue à Bollène.
  • Perpignan reste à l'UMP avec 55%, face au FN Louis Aliot.
  • Avignon est gagnée par la gauche, en raison du refus d'alliance entre UMP et FN.
  • Hervé de Lépinau FN échoue à Carpentras (42% contre 44% pour le PS et 13% pour l'UMP).
  • Biarritz : Michel Veunac élu maire (divers droite) contre Max Brisson (UMP)
  • Le Pontet, près d'Avignon, serait gagné par le FN Joris Hébrard.
  • Martine Aubry garde Lille avec 53%.
  • Le nationaliste Gilles Simeoni élu maire de Bastia.
  • Gilbert Collard est battu à Saint Gilles.
  • Camaret-sur-Aigues : le candidat Ligue du Sud Philippe de Beauregard est élu avec 36%.
  • Le Luc (Var) : le FN Philippe de la Grange gagne de justesse (20 voix).
  • La droite dissidente remporterait de justesse la ville de Sèvres, contre l'UMP et le PS.  3279 voix pour la droite dissidente, soit... 2 voix de plus que l'UMP !
  • La fusion de la liste FN avec une liste DVD à L'Hôpital (Moselle) échoue.
  • Dunkerque, un dissident de gauche pousse le PS Michel Delebarre vers la sortie.
  • Reims, Quimper, Angers, Pau (François Bayrou), Limoges (une première depuis 1912 !), Brives, St Etienne, Roubaix, Nevers, Belfort, Angoulême, Anglet, Bar-le-Duc, Ajaccio, Roanne, Chambéry, Tourcoing, Périgueux, Valence, Tours, Caen, Amiens, Montbéliard, Carcassonne, Charleville-Mézières et Laval sont perdus par la gauche.
  • Anne Hidalgo élue avec plus de 54% des voix selon les premières estimations à Paris. NKM est battue dans le 14e arrondissement. La défaite de NKM est d'autant plus cruelle que l'UMP a pris une centaine de villes de plus de 10 000 habitants à la gauche. L'UMP doit revoir sa stratégie et proposer de vrais candidats de droite.
  • Même chose à Strasbourg, où l'UMP Fabienne Keller, pro-LGBT, pro-GPA, échoue. L'UMP avait présenté des candidats de gauche à Paris et Strasbourg. Les électeurs ont préféré les originaux.
  • Villeneuve-saint-Georges, l'union DVD-FN échoue de 30 voix face au PCF.
  • Béziers, les gendarmes sont venus en nombre. Robert Ménard remporte la mairie avec 47% contre 33% à l'UMP et le PS 19%.
  • Marseille, Stéphane Ravier remporterait le 7e secteur (quartier nord) et Jean-Claude Gaudin garde son siège avec 42%. Le ministre Marie-Arlette Carlotti battu dans son secteur. Menucci (PS) est battu dans le 1er secteur par l'UMP pro-famille Dominique Tian. Sur la ville, le FN aurait autant de conseillers que le PS.
  • Le PS perdrait Toulouse, gagnée par l'UMP.
  • Le candidat écologiste Éric Piolle prend la mairie de Grenoble au Parti socialiste.
  • A Mantes-la-Ville, la liste PS serait réélue de justesse face au FN.
  • La socialiste Johanna Rolland l'emporte à Nantes avec près de 57 % des voix face à l'UMP Laurence Garnier.
  • Échec de la fusion FN-DVD à Pégomas (06).
  • Bruno Gollnisch (FN) fait 13,16% à Hyères.
  • Gérard Collomb serait réélu à Lyon, mais perdrait la métropole.
  • Lisieux, le maire sortant, dissident de droite, remporte la mairie avec 40%, contre le candidat investi par l'UMP (31%), le PS (20%) et le FN (7%)

Les résultats officiels sont ici.

A Paris, non loin du siège du PS :

P

Caroline Fourest perd tous ses moyens :

F

Incidents "démocratiques" : à Beaucaire, la mairie est caillassée, à Fréjus, les antfas s'excitent devant la mairie. A Fréjus l'équipe de David Rachline (FN) attend des renforts policier pour tenir sa conférence de presse.

F

Un bulletin de vote dans le 15e... NKM comprendra-t-elle sa défaite ? Les militants LMPT ont suivi sa consigne :

B

Un groupe de cinquante députés PS se réunira demain dans un esprit de fronde contre le gouvernement. C'est une déroute pour le PS, plus cinglante que les défaites de 2001 et de 1983.

Le FN-RBM emporte 9 mairies : Marseille 7e secteur (150 000 habitants), Fréjus, Hénin-Beaumont, Beaucaire, Villers-Cotterets, Le Luc, Cogolin, Hayange, Le Pontet. Auxquelles il faut ajouter les mairies soutenues par le FN : Béziers, Camaret-sur-Aigues.

Rachida Dati, réélue dans le 7e arrondissement de Paris, déclare :

"Le front républicain a vécu : les résultats de ce soir dans toute la France et la forte abstention envoient un signal fort à ce système qui pense qu'on peut mépriser le peuple et ses choix." 

A Clisson, Monsieur Coudrais, maire divers gauche et soutien indéfectible du hellfest a été battu.

Jean-Louis Millet (MPF) récupère Saint-Claude aux communistes, toutes les villes du Jura sont à droite.

Lyon : La droite et le centre obtiendraient une majorité de 85 sièges au Grand Lyon (métropole), contre 76 pour la gauche et 2 pour le FN.

Nicole Goueta, UMP, reprend Colombes (92) au socialo-communiste Philippe Sarre. Asnières-sur-Seine (4 mères veilleuses sur la liste gagnante de Manuel Aeschlimann) et Argenteuil perdus pour la gauche. Les communistes perdentSaint-Ouen au profit de la droite.

Imbroglio à Mantes-la-ville où l'on recompte les voix, le résultat étant serré entre le FN et le PS. Le FN aurait gagné d'une dizaine de voix d'avance.

La gauche perd 155 villes de plus de 9.000 habitants (source : ministère de l'Intérieur). Un record.

La candidate communiste sortante de Villejuif, Claudine Cordillot affrontait une alliance UMP, UDI, dissident socialiste et écologistes dont Alain Lipietz. Ces derniers l'ont emporté avec plus de 48% des suffrages. Avec Bobigny, Saint-Ouen, Bagnolet, le PCF perd ses bastions.

Au sein de la vague bleue, Paris et Strasbourg restent à gauche. L'UMP doit revoir sa stratégie et proposer de vrais candidats de droite. NKM s'était abstenue sur la loi Taubira et a refusé de signer la charte LMPT. Elle voyait Paris comme un tremplin pour ses ambitions politiques. Fabienne Keller, sénatrice UMP ayant voté pour la loi Taubira, échoue. L'UMP avait présenté des candidats de gauche à Paris et Strasbourg. Les électeurs ont préféré les originaux.

 

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CITOYENS ET FRANCAIS - dans Elections
29 mars 2014 12:11

Villes FN de 1995 : la grande désinformation médiatiqueNi échec électoral, ni faillite financière, ni censure.

♦ Pour les médias de propagande, l’expérience municipale FN de 1995 a, au mieux,
 tourné en eau deboudin, au pire, été « catastrophique » : des affirmations démenties
 par les faits à Orange, à Marignaneet à Vitrolles et qu’il faut fortement corriger à 
Toulon. Ni échec électoral, ni faillite financière, ni censure.


Echec électoral ? Trois maires sur quatre renouvelés en 2001 !

En 2001, Jean-Marie Le Chevalier fut sévèrement battu à Toulon mais ses collègues, quoique élus en triangulaires (Orange, Marignane) ou d’extrême justesse (Vitrolles) furent réélus. Trois réélus sur quatre, c’est une statistique plutôt bonne après un premier mandat, d’autant que les circonstances politiques (divisions du FN notamment) étaient très défavorables.

Faillite financière ? Non : redressement de la situation !

Sur ce sujet il n’y a pas photo : dans les quatre villes FN la situation financière a été redressée, la fiscalité maîtrisée, la dette réduite. Sur la longue durée le bilan d’Orange est remarquable et sert désormais de modèle à tout le Vaucluse et à la Drôme provençale.

http://www.polemia.com/histoire-economique-mairies-fn-elles-auraient-merite-le-triple-a/

Censure des bibliothèques ? Non : tentative d’y rétablir un minimum de pluralisme

Plus de 40.000 livres sont publiés chaque année en France. Les bibliothèques municipales en achètent quelques milliers, généralement à partir de listes établies par les syndicats et les associations de bibliothécaires, le choix mêlant classiques, nouveautés incontournables et œuvres « bien pensantes ». Les maires FN  de 1995 n’ont nulle part voulu interdire ces achats, ils ont simplement voulu établir un minimum de pluralisme. En juillet 1995, Libération s’étranglait sur le thème : « A Orange, c’est pire que la censure, le maire a fait acheter des livres ». Dans un supplément récent du Monde sur « Le FN et la culture » on reprochait encore à Jacques Bompard « d’avoir fait acheter 70 livres » en 1995. Quelle horreur !

Affaires ? Persécutions judiciaires à Toulon

En dehors des habituelles polémiques, rien de sérieux en termes d’affaires à se mettre sous la dent à Orange, Marignane, Vitrolles. A Toulon, un maire adjoint  (au logement) indélicat fut condamné et le maire Le Chevallier fit l’objet de plus de 10 poursuites : mais il finit, à une exception près, mineure d’ailleurs, par gagner tous ses procès, rarement en première instance, souvent en appel, toujours en cassation. Le seul problème c’est que les médias choisirent d’ignorer les décisions judiciaires lorsqu’elles lui donnaient gain de cause.

2014 : que les électeurs se rassurent, les maires FN seront bien surveillés par
l’appareil d’Etat

Le précédent de 1995 ne doit donc pas dissuader les électeurs de tenter une expérience municipale Front national. Mais il est certain que les maires FN n’auront pas la tâche facile. Car ils se heurteront à une triple partialité :

  • -        celle des médias ;
  • -        celle des conseils régionaux et généraux qui tenteront de leur refuser toutes subventions (en contradiction avec le principe d’égalité) ;
  • -        celle de la direction politique de l’appareil d’Etat qui les « criblera » dans son contrôle de légalité administratif et financier comme il l’avait fait après 1995.

Mais, après tout, ce dernier point peut rassurer les électeurs : les édiles qu’ils se seront choisis seront bien surveillés !

Jean-Yves Le Gallou
Polémia
25/03/2014

Image : Hotel de ville de Toulon.

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CITOYENS ET FRANCAIS - dans Elections
29 mars 2014 02:03

"Chers amis, bienvenue dans ce Grand palais (municipal...), je me réjouis de votre présence ici" Martine Aubry aux islamistes de la Ligue islamique du Nord (UOIF) le 1er mars 2008.

 

Si de fausses rumeurs courrent sur son mari, Martine Aubry a des amitiées bien affichées avec Amar Lasfar de la Ligue islamique du Nord qui veut appliquer la charia en France...

Les rapports très cordiaux de Mme Aubry avec les responsables de l'UOIF(tendance Frères Musulmans) dans le nord, et au premier chef Amar Lasfar, recteur de la mosquée de Lille Sud, risquent de miner les chances d'exposer la maire de Lille au poste de Premier ministre. Son score de 35% à Lille ce dimanche alors qu'il était de 46% en 2008 affaiblit ses chances d'être ministrable.

 

Le recteur de la mosquée de Lille, Amar Lasfar (photo lors d'un meeting en mars 2008 , Mme Aubry était venue en amie...), né au maroc en 1960 a obtenu la nationalité française en 1997. Membre de l'UOIF fédération musulmane dont les responsables avouent être inspirés par les Frères Musulmans (voir mon livre). Dans un entretien dans la revue Homme et migration en 1999 il dégradait la citoyenneté républicaine sur laquelle il souhaite faire primer l’appartenance à la oumma (communauté des croyants), l'objectif avoué étant que la charia remplace à terme les lois impies de la république :

« Dans l’islam la notion de citoyenneté n’existe pas, mais celle de communauté est très importante, car reconnaître une communauté, c’est reconnaître les lois qui la régissent. Nous travaillons à ce que la notion de communauté soit reconnue par la République.


Alors, nous pourrons constituer une communauté islamique, appuyée sur les lois que nous avons en commun avec la République, et ensuite appliquer nos propres lois à notre communauté » (Amar Lasfar cité dans "La cité mode d'emploi", Homme et migrations n° 1218, mars-avril 1999 p.55)


 
Dans la même veine, avant de réorienter sa stratégie de communication, il affirma : «  L’Assimilation suppose pour les populations islamiques se fondre à terme dans la population. Ceci est exclu car cela signifie l’abandon de la loi islamique […] Il n’y aura pas de dérogation à cette règle ». Amar Lasfar, conférence à l’Alliance régionale du Nord, 9 octobre 1997

"Sans le soutien de Madame Martine AUBRY Maire de LILLE, le lycée AVERROES n’aurait pas ouvert ses portes en septembre 2003." Amar Lasfar, communiqué du 13 janvier 2007.

 

Figure incontournable de l’islam dans le Nord, il a obtenu de la mairie de Martine Aubry l’ouverture d’un Lycée privé musulman à la rentrée 2003, ainsi que la création d'un centre de formation pour imams.

Le lycée, qui a obtenu son autorisation d'ouverture du Conseil Supérieur de l’Education Nationale le 10 juillet 2003, se trouve au premier étage de la mosquée !  Lasfar  annonçait alors à la presse « C’est un grand jour pour l’islam de France et la communauté musulmane qui ont fait un grand chemin pour la réussite de ce projet. Ce lycée est aussi une vitrine, un laboratoire pour l’UOIF. ».

L'hebdomadaire Marianne avait enquêté dans son n° 352 (janvier 2004) sur les enseignements dispensés dans l'institution, et avait recueilli des témoignages d'élèves dépités dénonçant le bourrage de crâne qu'ils ont à subir : "Ici, on ne nous parle que du coran et de l'islam à longueur de journée, c'est vrai que je suis musulman mais pas au point de devenir Imâm". La journaliste, Ait Aoudia Djaffer, dénonçait dans son article l'état d'esprit de la direction ne cachant pas vouloir faire régner la charia ! 

Enfin, Amar Lasfar fut le principal moteur des manifestations lilloises de janvier 2004 contre la loi sur les port du voile à l'école. Avec le développement de collèges et lycées privés islamiques (reconnus par l'état !), cette loi républicaine ne semble plus être un obstacle à l'épanouissement de leur programme d'islamisation...

>> Pour en savoir plus sur les liens de Martine Aubry, mais aussi d'Alain Juppé, Jean-Claude Gaudin, Jean-Marc Ayrault avec les islamistes (et bien d'autres),  lire l'enquête Ces Maires qui courtisent l'islamisme, éditions Tatamis.

Aussi, le mari de Martine AubryJean-Louis Brochen, a défendu le groupe de rap musulman Sniper qui appelle à l'émeute en ces termes:  "je veux t'entendre crier faut que tu hurles" ; "t'étonne pas si ta caisse est carbonisée" , extraits de son titre ultra violent "BRULE" au clip video très explicite, composé après les émeutes du ramadan 2005.

Joachim Véliocas, Observatoire de l'islamisation

 

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CITOYENS ET FRANCAIS - dans Elections
28 mars 2014 23:05

 

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CITOYENS ET FRANCAIS - dans Elections
28 mars 2014 22:52

L’ancien ministre des Affaires étrangères Hubert Védrine plaide pour une immigration choisie et des quotas aux frontières de l’espace Schengen.

Pour Hubert Védrine, ex-ministre des Affaires étrangères de Lionel Jospin, il faut fixer des quotas migratoires pour l’Europe de Schengen, et mettre en place une immigration choisie, selon une interview publiée ce vendredi 28 mars par le quotidien L’Opinion.

Interrogé sur les réformes à engager, le socialiste préconise une « régulation » des flux migratoires :« fixer des flux et des quotas en fonction des besoins, en concertation avec les partenaires de Schengen et les pays de départ, et en adaptant les chiffres en fonction de l’économie tous les deux ans ».

Hubert Védrine estime que « si cela ne s’est pas déjà imposé, c’est qu’il y a des groupes, aux extrémités de l’échiquier politique, qui hystérisent ce sujet, et que certains en jouent.

Les grands partis n’osent pas imposer cette idée évidente et centrale de régulation ». (…)

RTL

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28 mars 2014 02:10

Aurélie Rossignol, Sébastien Lernould et D.LC | Publié le 25.03.2014, 07h12 | Mise à jour : 26.03.2014, 07h10

La présidente du FN Marine Le Pen a confirmé ce mardi la fusion de ses listes avec celles de la droite dans deux villes, Villeneuve-Saint-Georges et L'Hôpital.

La présidente du FN Marine Le Pen a confirmé ce mardi la fusion de ses listes avec celles de la droite dans deux villes, Villeneuve-Saint-Georges et L'Hôpital. | Kenzo Tribouillard

Zoom1/11
Entamées au soir du premier tour des  municipales, les tractations pour la constitution des listes présentes au second tour se sont achevées mardi soir. Les listes en lice dans 6455 communes ont toutes été déposées avant 18 heures. 
 

Le fameux «front républicain» n'a pas été aussi facile à appliquer sur le terrain que l'aurait souhaité le . Si l' a continué a camper sur sa position du «ni-ni» - ni alliance avec le FN, ni avec le PS dans les villes où le parti de Marine Le Pen est en position de l'emporter - le parti a choisi de se désolidariser des candidats qui ont fait le choix de fusionner leur liste avec le FN. Et le parti de Jean-François Copé a menacé d'exclure les membres qui s'alliaient aux frontistes comme à Villeneuve-Saint-Georges (Val-de-Marne) et à L'Hôpital (Moselle).

Les socialistes sont aussi confrontés à des frondes de candidats locaux qui refusent de fusionner ou d'abandonner au profit de l'UMP ou de listes de gauche comme à Grenoble et à Béziers.

Par ailleurs, la claque reçue par le PS au premier tour, continue de relancer les spéculations autour d'un remaniement en profondeur du gouvernement.

>>  Retrouvez les réactions et les alliances nouées à cinq jours du second tour :

23 heures. La seule liste FN de Mayotte se retire. 
La liste, qui avait accédé au second tour des municipales à Mtsamboro (nord), a décidé de se retirer de la course en dépit des recommandations des dirigeants nationaux du FN. Le candidat, Faoulati Sandi, a justifié sa décision afin de préserver les bénéfices des 12,21% engrangées dans cette commune très touchée par l'afflux de migrants clandestins en provenance des Comores et "ne donne pas de consigne de vote" à ces électeurs

22h45. Gaudin refuse un débat télévisé à Marseille. 
Le maire de Marseille Jean-Claude Gaudin indique qu'il refuse de participer à un débat télévisé jeudi avec ses adversaires avant le 2ème tour, une décision vivement critiquée par ces derniers.

22h15. A Tours, le maire socialiste intègre des écologistes pour battre la droite.
 Le sénateur-maire sortant PS de Tours, Jean Germain, en difficulté face à la liste d'union de la droite menée par Serge Babary, a annoncé la fusion de sa liste avec EELV. Il avait réuni 27,82% des suffrages. EELV a de son côté obtenu 11,30 % des voix, selon les chiffres du ministère de l'Intérieur. Ils sont distancés par la liste d'union de la droite menée par Serge Babary (UMP), arrivée en tête avec 36,42% des suffrages. Le FN peut se maintenir au second tour, ayant obtenu dimanche 12,93% des voix.

21h50. Le Roux dénonce une forme 
«d'injustice» vis à vis des mauvais score de maires PS. Le chef de file des députés PS assure que François Hollande «voit la forme d'injustice qu'il y a à ce qu'on reproche aujourd'hui (aux maires socialistes) des éléments dont on voit bien qu'ils ont trait à un mécontentement national, alors que leur politique locale est bien souvent plébiscitée». «Le message du premier tour a été entendu», a martelé Bruno Le Roux, assurant qu'il y aurait après ces élections municipales «une plus grande cohérence dans les messages donnés par le gouvernement, peut-être un resserrement de ce gouvernement».

20h40. Accord entre nationalistes, gauche et droite à Bastia. 
Cet accord unit trois listes face à la municipalité PRG-PCF sortante menée par Jean Zuccarelli : La liste nationaliste modérée Inseme per Bastia (Ensemble pour Bastia) conduite par Gilles Simeoni et arrivée deuxième au premier tour avec 32,35% des voix, une liste de gauche ayant obtenu 14,65% des voix et la liste UMP-UDI arrivée 4ème avec 9,73% des suffrages.

20h30. Christine Boutin s'en prend à NKM sur Twitter.
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20h15. Imbroglio à Nîmes (Gard) autour d'un accord PS-FG négocié à la dernière minute. 
Le sénateur maire (UMP) de Nîmes Jean-Paul Fournier a accusé les candidates du Parti socialiste Françoise Dumas et du Front de gauche Sylvette Fayet d'avoir négocié la fusion de leur liste à la préfecture après 18h00.

20h10. A Saint-Denis de la Réunion, 20e ville de France, le maire sortant Gilbert Annette (PS
), qui était arrivé largement en tête dimanche avec 41,85% des suffrages, affrontera au second tour  trois listes de droite et du centre qui se sont rassemblées derrière René-Paul Victoria (UMP), ancien maire, qui avait conquis 25,37% des voix.

19h55. A Chateauroux, le PS fait alliance... avec des dissidents de droite pour battre l'UMP. 
Aux termes de ce surprenant accord, Régis Tellier (17,28% au 1er tour) Arnaud Clément (7,31%) affronteront donc avec le candidat socialiste Mark Bottemine (17,37%) la liste de Gil Avérous, dauphin du sénateur-maire sortant, Jean-François Mayet (UMP) qui avait recueilli 33,91% des électeurs.

19h50. A Quimper, les deux listes UDI-UMP et MoDem annoncent  leur fusion. 
Elles vont affronter dimanche prochain le socialiste Bernard Poignant, maire sortant et proche conseiller de François Hollande, arrivé en deuxième position lors du premier tour des municipales.

19h45. La candidate PRG ralliée à Gaudin (UMP) à Marseille sera sanctionnée. 
Lisette Narducci, maire du 2e secteur, sera « sanctionnée par les instances de notre parti» selon Jean-Michel Baylet, président du Parti radical de gauche (PRG). 

19h40. Danielle Simonnet, candidate du Front de gauche à Paris, n'a pas d'accord avec Hidalgo. 
Seule une de ses listes a pu se maintenir au second tour dans le XXe arrondissement.

19h25. A Aix-en-Provence (Bouches-du-Rhône), échec de la fusion des listes PS et DVG et retrait de l'UDI. 
Le deuxième tour verra s'affronter dimanche, dans une triangulaire, la maire UMP sortante Maryse Joissains, arrivée en tête du 1er tour (37,79%), le PS Edouard Baldo (19,65%) et la candidate FN Catherine Rouvier (10,42%).

19h15. Jérôme Safar, candidat socialiste à Grenoble qui se maintient malgré les appels à abandonner, n'aura pas l'investiture du PS.

VIDEO. EELV demande au PS de retirer l'investiture de Jérôme Safar à Grenoble


19h10. A Béziers, le candidat socialiste perd son investiture. 
Jean-Michel Du Plaa, tête de liste d'union de la gauche, qui avait annoncé son maintien au second tour de l'élection municipale, n'a plus l'appui du PS selon la porte-parole Laurence Rossignol.

18h15. Fréjus : le PS annonce son désistement, triangulaire UMP-FN-DVD.
 La candidate socialiste Elsa Di Méo annonce son retrait de la course aux municipales de Fréjus (Var) où le Front national est arrivé en tête dimanche avec 40,3% des voix et se retrouvera en triangulaire au second tour avec une liste UMP et une liste DVD. 

18h10. Vitry : Audoubert (PC) veut gagner seul.
 Malgré les appels du pied de l’écologiste Jacques Perreux (16,1%), Alain Audoubert (PC), arrivé en tête du premier tour avec 44,6% des suffrages, n’a pas souhaité entamer les négociations pour une éventuelle fusion. Le maire sortant, soutenu par le PS, compte bien l’emporter seul dimanche prochain. >> En savoir plus sur la situation à Vitry.

18 heures. L'UMP menace d'exclusion ses candidats qui s'allient au FN.
 Le parti prévient que tout colistier UMP d'une liste DVD fusionnant avec une liste FN pour le second tour des élections municipales serait «exclu», indique l'entourage du président de l'UMP, Jean-François Copé. L'UMP condamne notamment ce type de fusion à Villeneuve-Saint-Georges (Val-de-Marne) et à L'Hôpital (Moselle), en précisant que seule l'une des deux listes concernées, celle de Villeneuve-Saint-Georges, avait reçu le soutien du parti pour le premier tour.

VIDEO. Le FN fusionne ses listes dans deux villes, annonce Marine Le Pen


VIDEO. Municipales: le FN n'a pas fait se disloquer l'UMP


17h45. Paris : l’UMP fusionne avec le centriste Pernin dans le XIIe.
 Le candidat dissident UDI Benoit Pernin a décidé d’intégrer la liste conduite par l’élue UMP Valérie Montandon. Au premier tour, il avait obtenu 5,6 %. Valérie Montandon, elle, avait réuni 33,3 % des suffrages derrière la candidate socialiste Catherine Baratti-Elbaz qui a fait 37,4 %. L’écart qui les sépare pourrait donc se resserrer. >> En savoir plus sur cette fusion.

17h30. Vienne : à peine élu, un candidat FN en garde à vue. 
Norman Méchin, 35 ans, élu au premier tour dans cette ville de l'Isère, a été placé en garde à vue pour «diffusion de document portant atteinte à la vie privée». Lors de la campagne, le candidat frontiste avait diffusé sur son site internet et sur YouTube une vidéo tournée à l'insu du candidat de l'UMP, Thierry Kovacs, lors d'une réunion dans un appartement où le candidat UMP rencontrait des habitants. Rien de scandaleux dans cette vidéo, précise la police, mais Norman Méchin s'était procuré le film d'une durée de 45 minutes et avait isolé une séquence d'une minute : il y était question d'attributions de logements et de personnes à la recherche de salles de prière. Le FN s'en était emparé pour reprocher au candidat UMP, président de l'office HLM de la ville, de ne pas respecter le principe de laïcité. Il avait même distribué des DVD de la vidéo.

17 heures. Le «vrai-faux» retrait du PS à Saint-Ouen.
 «Bruno Le Roux a annoncé le retrait de la liste Une ambition nouvelle pour Saint-Ouen et son soutien à Jacqueline Rouillon, afin de donner à la gauche toutes les chances de l’emporter face à la droite dimanche.» C’est ce que vient d’indiquer dans un communiqué l’équipe de Jacqueline Rouillon, maire sortante (FG) qui a entamé des négociations pour un accord avec la liste socialiste conduite à Saint-Ouen par Karim Bouamrane et Bruno Le Roux. Mais la fédération du PS de Seine-Saint-Denis a démenti cette information. >> En savoir plus sur «vrai-faux» retrait.

16h55. Un 2e tour seulement pour 6 455 villes sur 36 591. 
Selon les chiffres communiqués par le ministère de l'Intérieur, un second tour aura lieu dans 6 455 communes. Ce scrutin concernera 1 777 communes de plus de 1 000 habitants et 4 678 de moins de 1 000 habitants. Le vote a été acquis dès le premier tour dans 30 136 communes (22 063 communes de moins de 1 000 habitants, 8 073 d'au moins 1 000 habitants).

16h40. Carcassonne : fusion de la droite. 
Les deux candidats rivaux de la droite sont parvenus à un accord pour fusionner leur liste et ainsi tenter de ravir au député-maire PS, en ballottage très délicat, dans cette ville où le FN réalise un bon score.

16h25. Le FN confirme des fusions Droite-FN à Villeneuve-Saint-Georges et L'Hôpital.
 La présidente du FN annonce la fusion de deux de ses listes avec des listes divers droite pour le second tour. Comme nous l'avions annoncé, à Villeneuve-Saint-Georges où la liste FN est arrivée en troisième position (26,07%) s'allie au candidat DVD Philippe Gaudin (31,80%) qui a de fait perdu le soutien de l'UMP. Dans la commune de L'Hôpital (Moselle), où le FN est arrivé en seconde position, le parti frontiste fusionnera avec la liste DVD de Jean-Marcel Labach (3e) pour empêcher la victoire de la liste de gauche arrivée en tête.

VIDEO. Le candidat UMP à Villeneuve-St-Georges (94) explique son accord avec le FN


16 heures. Aucune fusion de listes à Belfort. 
Le maire PS de Belfort, Etienne Butzbach, et le candidat MRC également qualifié au second tour des municipales, Bastien Faudot, ont eu beau s'entretenir pendant plus d'une heure, l'union n'a pas abouti, rapporte l'Est républicain. Le MRC (10,92%) exigeait en effet que Etienne Butzbach (21,38 % des voix) se retire, ce que le maire sortant n’envisage pas. A droite, les discussions entre Damien Meslot (UMP, 33,27 %) et Christophe Grudler (MoDem, 15,68%) ont débuté lundi après-midi. Elles n’ont pas abouti non plus.

15h50. Accord EELV/PS à Paris : «Un attentat contre l'écologie», dénonce NKM. 
Selon la candidate UMP à la mairie de Paris, cet accord est un «attentat contre ceux qui ont de vraies convictions sur ces sujets. Pour quelques postes, on s'assied sur les convictions», s'insurge-t-elle alors qu'elle est menacée par cet accord. «J'appelle les Parisiens à ne pas céder à cette illusion», poursuit Nathalie Kosciusko-Morizet.

VIDEO. NKM : «L'accord entre les Verts et le PS est un attentat contre l'écologie»


15h30. Cosse (EELV) «extrêmement déçue» par le maintien du candidat PS à Grenoble. 
La secrétaire nationale d'EELV trouve «dommage que la gauche n'arrive pas à se mobiliser autour du candidat qui arrive en tête» à Grenoble, soit un candidat écolo. Le candidat PS Jérôme Safar, arrivé deuxième avec 25,31% des voix derrière celui d'EELV et du Parti de Gauche, a en effet rejeté l'alliance à gauche et a décidé de se maintenir. Emmanuelle Cosse demande au PS de retirer l'investiture de Jérôme Safar.

15h22. Pays basque : les nationalistes gagnent véritablement du terrain. 
Les formations nationalistes basques ont obtenu des scores en nette progression, devenant dans certains cas des acteurs incontournables des négociations pour le second tour. A Bayonne par exemple, la liste «Euskalzale», ancrée à gauche et défendant aussi l'environnement, a obtenu 10,3% des suffrages. Un score suffisant pour se maintenir au second tour. A Saint-Jean-de-Luz, où le maire Peyuco Duhart (UMP) l'a emporté au 1er tour, les nationalistes sont arrivés en seconde position avec 25,84 % devant le PS (19,28 %). A Ciboure, ils font l'objet de toutes les convoitises après leur score de 21,6%.

VIDEO. L'édito du Parisien : «Pour Hollande, le changement c'est maintenant»


15h15. Corbeil-Essonne : le député PS, bras droit de Valls, recule en fin de liste. 
Selonnos informations, Carlos Da Silva (PS) ne sera pas, comme annoncé lundi par le candidat Bruno Piriou (PCF), en 3e position sur la liste d’union de la gauche à Corbeil. Il figurera en fait à la 31e place. Le député, conseiller général et premier fédéral du PS en Essonne, bras droit de Manuel Valls, est arrivé dimanche soir derrière le maire sortant Jean-Pierre Bechter (UMP, 45,47 %) et le conseiller municipal et général Bruno Piriou (PCF, 22,33 %) en réunissant 21,14 % des suffrages.>> En savoir plus sur la situation de Carlos Da Silva.

15h10. Quadrangulaire à Montreuil. 
Quatre listes devraient être en lice pour le fauteuil de maire : celle de l’ancien maire Jean-Pierre Brard (DVG), arrivé en tête dimanche avec 25,5 %, celle de Mouna Viprey (DVG), qui séduit 11 % des électeurs, celle conduite par Patrice Bessac (PC), qui a fusionné avec la liste écologiste d’Ibrahim Dufriche. Le premier avait obtenu 18,8 %, le second 15,3 %. Enfin, la droite sera représentée par Manon Laporte (UMP-UDI), qui a réalisé 16,7 % dimanche. Le socialiste Razzy Hammadi, qui a recueilli 9,80% des voix au premier tour et n'a donc pas pu se maintenir, a annoncé un «accord avec les listes de Patrice Bessac (FG) et d'Ibrahim Dufriche (EELV)».

15h05. Marseille : «Personne ne parviendra à me culpabiliser», assure Diouf. 
Sur BFM TV, le candidat indépendant éliminé au premier tour explique son refus de faire des alliances pour le second tour: «Les voix dont il est question ne nos appartiennent pas. Ce sont des voix qui appartiennent aux électeurs. (...) Personne ne parviendra à me culpabiliser», prévient-il.

VIDEO. Pape Diouf: «Personne ne parviendra à me culpabiliser»


15 heures. Grenoble : le candidat PS refuse une union à gauche et se maintient. 
Le candidat PS Jérôme Safar, arrivé deuxième avec 25,31% des voix derrière celui d'EELV et du Parti de Gauche, assure qu'il se maintient au second tour: «Je prends aujourd'hui la responsabilité et la décision de maintenir la liste que je conduis, avec l'objectif clair de gagner pour l'avenir de notre territoire», déclare-t-il devant des militants.

>> A lire aussi : Tour d'horizon des alliances d'entre-deux tours

14h50. Villeneuve-Saint-Georges : l'UMP se désolidarise du candidat DVD à cause de son alliance avec le FN.
 Dans cette ville du Val de Marne, le candidat DVD Philippe Gaudin était soutenu par l'UMP. Le parti vient toutefois d'annoncer qu'il retirait ce soutien à cause de son alliance avec le candidat du Front national, Dominique Joly. >> Le patron de l’UMP 94 condamne l’alliance FN/DVD.

14h40. Montpellier : le dissident PS refuse toute fusion. 
Arrivé deuxième avec 22,94%, le dissident PS Philippe Saurel affirme avoir refusé les alliances proposées par Jean-Pierre Moure (UG-PS, 25,27%) ainsi que par Jacques Domergue (UD-UMP, 22,72%). Dans la capitale de l'Hérault, tenue par le PS depuis plus de 35 ans, une quadrangulaire se dessine au second tour. «Je sais le risque que je prends. Je suis sur un fil avec le vide du Colorado autour. Mais c'est le passage obligé pour être libre. Seul jusqu'à la victoire», lance le dissident du PS, précisant qu'il aurait été prêt à discuter si on lui avait proposé d'être «à la tête d'une liste citoyenne».

14h33. Saint-Denis : fusion à gauche pour contrer... la gauche. 
Sali (DVG) rejoint la liste Paillard (FG). Selon nos informations, à Saint-Denis (Seine-Saint-Denis), la liste de Georges Sali (DVG) qui a obtenu 7,7 % des voix fusionnerait avec celle du maire sortant Front de gauche Didier Paillard, arrivé en tête avec 40,2 %. Didier Paillard se retrouvera au second tour face au socialiste Mathieu Hanotin, qui a obtenu 34,3 % des voix. >> En savoir plus sur cette alliance.

14h10. Villeneuve-Saint-Georges : une alliance FN / DVD ? 
Alors que l’on se dirigeait vers une triangulaire PC/droite/FN dans cette ville du Val de Marne, le candidat (DVD) Philippe Gaudin et le FN Dominique Joly pourraient annoncer la fusion de leurs listes. Les deux candidats n’ont pas encore communiqué et seraient en discussion. Un proche de Philippe Gaudin affirme cependant sur iTélé que la fusion est actée. >> En savoir plus sur Villeneuve-Saint-Georges.

13h55. Avignon : fusion à gauche. La liste PS-EELV conduite par Cécile Helle, arrivée 2e (29,54%) derrière la liste FN (29,63%) au 1er tour des municipales à Avignon, et la liste Front de gauche conduite par André Castelli (12,46%) fusionnent pour le 2e tour. L'UMP Bernard Chaussegros avait rassemblé 20,91% des voix dans cette ville du Vaucluse.

>> Lire aussi : Si le FN gagne à Avignon, le festival menace de «partir» 

13h24. XIVe arrondissement de Paris : une dissidente se rallie à NKM. 
Selon nos informations, Nathalie Kosciusko-Morizet, tête de liste dans le XIVe arrondissement de la capitale, a trouvé un accord avec la dissidente UMP Marie-Claire Carrère-Gée. Celle qui avait mené la liste UMP dans le XIVe il y a six ans, a recueilli 5,74%. Si les négociations entre les deux candidates de droite ont été engagées dès le soir du premier tour, elles semblaient au point mort lundi. Avant d'aboutir à cet accord, en fin de matinée mardi, soit quelques heures avant le dépôt des listes fusionnées en préfecture. Au premier tour dimanche, NKM n'a obtenu que 33,10% des voix dans cet arrondissement, quatre points derrière la candidate PS Carine Petit (37,89%). >> En savoir plus sur cette alliance.

13h10. Bastia : un nationaliste en passe de devenir maire. 
C'est confirmé, l'union inédite entre les listes DVG, UMP-UDI et Nationalistes modérés, conduite par le candidat nationaliste Gilles Simeoni, est actée. Une première en Corse qui fait déjà beaucoup réagir les internautes corses sur les réseaux sociaux. Très loin d'avoir des programmes communs, les trois candidats arguent une alliance nécessaire pour «faire tomber la citadelle Zuccarelli», une dynastie PRG qui règne sur la ville de Haute-Corse depuis des décennies. >> En savoir plus sur la dynastie Zuccarelli.

VIDEO. A Niort, 60 ans de gauche ont été balayés en un seul tour de scrutin



13h05. Côte d'Or : un candidat UMP se retire pour contrer le FN. 
A Chenôve, l'UMP Pierre Jacob annonce le retrait de sa liste au second tour. «La situation politique à l'issue de ce premier tour est ubuesque, et désolante pour notre ville; la guerre dans les urnes entre le maire sortant et son dissident laisse aujourd'hui la voie grande ouverte au FN pour siéger au conseil municipal», dénonce-t-il. Pierre Jacob annonce par ailleurs sa démission de ses responsabilités à l'UMP en tant que délégué de circonscription et conseiller national.

12h55. La droite à 46,44%, la gauche à 38,2%, le FN à 4,7%. 
Ce sont là les chiffres officiels mais non définitifs annoncés par le ministère de l'Intérieur. Ces chiffres ne prennent pas encore en compte les communes de moins de 1 000 habitants.

12h43. Abstention record au 1er tour : 36,45%. 
C'est le taux définitif d'abstention au premier tour des élections municipales, sur la France entière, annonce le ministère de l'Intérieur. Il s'agit d'un nouveau record pour ce type de scrutin. Depuis 1988, tous les scrutins, hormis la présidentielle, ont vu l'abstention progresser. 

La participation aux municipales sous la Ve République


12h35. Poitiers : le centriste se retire, situation favorable au PS sortant. 
Après le 1er tour, le maire sortant Alain Claeys (PS) semblait en mauvaise posture après 37 ans de règne socialiste sur la ville du Poitou. Mais avec l'annonce du retrait du candidat centriste, Eric Duboc, le scénario est désormais plus favorable au PS. D'autant qu'Eric Duboc n'est pas parvenu à un accord avec l'UMP-UDI. La ville s'oriente donc vers une quadrangulaire PS, UMP-UDI, Front national et une liste Verts-Front de Gauche-NPA, favorable au maire sortant.

12h20. Perpignan : le candidat PS se retire, Aliot (FN) face à l'UMP. 
Arrivé troisième au premier tour des municipales avec moins de 12% des voix, le candidat PS Jacques Cresta annonce le retrait de sa liste au second tour pour faire barrage au Front national. Le vice-président du FN et compagnon de Marine Le Pen, Louis Aliot, (en tête au 1er tour avec 34,20%) sera donc opposé dimanche au maire sortant UMP Jean-Marc Pujol (30,57%).

VIDEO. Perpignan : le candidat PS annonce son retrait, laissant Aliot face à l'UMP



12 heures. Marseille : une Guériniste de gauche passe avec la droite de Gaudin. 
La maire sortante PRG du 2e secteur, Lisette Narducci, annonce une fusion de sa liste avec celle de l'UMP lors d'une conférence de presse au côté de Jean-Claude Gaudin. Selon elle, le maire UMP a été le seul à répondre à son «appel au rassemblement pour faire barrage au FN»: «Vous avez été celui qui a répondu à cette demande en me faisant la proposition qu'aurait dû me faire la gauche à Marseille. En l'absence de réaction du PS j'ai décidé de venir vous rejoindre», lance Lisette Narducci. >> Lire notre reportage avec la gauche marseillaise.

VIDEO. Pour Mennucci « Gaudin est un pépé Guérini »


11h40. Paris : la dissidente UMP Roxane Decorte appelle à voter PS. 
Candidate déchue à la mairie du XVIIIe arrondissement (3,63% au premier tour), Roxane Decorte appelle ses électeurs à voter pour la liste du candidat PS Eric Lejoindre, dauphin du maire sortant Daniel Vaillant.

11h20. A Toulouse, le candidat du parti de gauche ne donne pas de consigne de vote
. Jean-Christophe Sellin, qui a recueilli 5,10% des voix au premier tour ne donnera pas de consigne de vote pour le second tour après l'échec des négociations pour un accord avec la liste du candidat PS Pierre Cohen. Il estime que «la démocratie n'est pas respectée, nos électeurs ne sont pas respectés».

VIDEO. Toulouse : PS et EELV s'allient pour faire barrage à la droite



11h15. Dans le Ve à Paris, accord entre l'UMP et Dominique Tiberi. 
La candidate UMP-UDI, Florence Berthout, annonce avoir conclu un accord d'union avec le dissident Dominique Tiberi dans le Ve arrondissement, où la candidate PS-PCF-PRG Marie-Christine Lemardeley est arrivée en tête au premier tour (33,94% des voix). «Le Ve est un arrondissement clé pour la reconquête de la mairie de Paris» par la droite, souligne dans un communiqué Mme Berthout, qui a obtenu au premier tour 28,49% des voix. Dominique Tiberi, fils du maire sortant Jean Tiberi, a lui recueilli 19,43%. 

11 heures. Pas de retrait PS à Béziers
. Le socialiste Jean-Michel Du Plaa, tête de liste d'union de la gauche, annonce qu'il se maintient au second tour de l'élection municipale à Béziers, où Robert Ménard, soutenu par le FN, est arrivé en tête au 1er tour. Il a précisé qu'il conduirait une liste constituée avec le Front de gauche.

10h55. Reims : les listes PS, UMP et FN se maintiennent. Avec près de 40% des voix au 1er tour, Arnaud Robinet (UMP) veut «rendre Reims à la droite». Celui qui a été le plus jeune député de France lors de son dernier mandat, craint revanche le parti de celle qui est désormais la plus jeune de l'Assemblée, Marion Maréchal Le Pen. «Une triangulaire avec le FN est toujours favorable au PS», s'inquiète Arnaud Robinet.

VIDEO. Reims : le FN gêne véritablement l'UMP


10h45. Saint-Gilles : le candidat et maire PS sortant se retire. Alain Gaido, maire-sortant (PS) de Saint-Gilles (Gard) où Gilbert Collard est arrivé en tête avec 42,57 %, annonce qu'il se retire. Le socialiste est arrivé troisième du scrutin (23,14%) derrière la liste UMP-UDI d'Eddy Valadier (25,36%) et a précisé qu'il appelait à voter contre le député du Rassemblement Bleu Marine.

10h30. Fusion à Rouen. La liste PS-PCF du maire socialiste de Rouen Yvon Robert fusionnent avec la liste d'Europe-Ecologie/Les Verts en vue du 2e tour des élections municipales, annoncent les deux listes dans un communiqué. Dimanche, le maire sortant est arrivé en tête du 1er tour avec 30,24% des suffrages, tandis que la liste EELV de Jean-Michel Bérégovoy, neveu de l'ancien Premier ministre, était arrivée en cinquième position, derrière les listes de l'UMP, de l'UDI, et du FN, avec 11,09%.

10h20. Union à Rennes. 
La liste socialiste, arrivée en tête au premier tour de l'élection municipale à Rennes, et la liste d'union EELV-Front de gauche, vont fusionner en vue du second tour, indiquent les candidats dans un communiqué commun.

Députée d'Ille-et-Vilaine, la socialiste Nathalie Appéré, 38 ans, a obtenu 35,57% des voix dimanche au premier tour, devant Bruno Chavanat (UDI/UMP/Modem), qui a rassemblé 30,12% des suffrages. Matthieu Theurier (EELV) a récolté 15,09% des voix.

10 heures. Cosse se moque de NKM. Emmanuelle Cosse, secrétaire nationale d'Europe Écologie-Les Verts, ironise sur i>TELE sur l'image écologiste de Nathalie Kosciusko-Morizet, candidate de l'UMP à la mairie de Paris qui «n'a jamais voulu travailler sur le diesel quand elle était ministre».
«C'est la même chose quand elle nous dit "dans les stations de métro qui sont fermées, je vais mettre une piscine". Je voudrais rappeler que ce sont des stations où les métros passent», ironise la responsable écologiste.

9h45. Bertrand Delanoë : une «claque pour la gauche». Le maire (PS) de Paris, Bertrand Delanoë, qualifie sur France Inter de «claque pour la gauche», directement liée à la «politique nationale», le premier tour des élections municipales, les Français ayant exprimé un «mécontentement» dont François Hollande doit «prendre acte» après le second tour. Au sujet d'un remaniement, M. Delanoë estime que «le problème des personnes est secondaire et doit être la conséquence de l'orientation politique qui doit subir une inflexion, pas un changement de cap.»

VIDEO. Premier tour des municipales : Delanoë parle d'une «claque pour la gauche»


8h47. Christian Jacob  ne veut pas «aider la gauche à sauver ses sièges.» «Nous sommes en face d'une gauche qui passe son temps à nous insulter, à nous traiter de tous les noms, et aujourd'hui ils crient au secours en disant venez nous aider à sauver nos sièges?», décalre sur France Inter le président du groupe UMP à l'Assemblée nationale. Il réaffirme la stratégie de l'UMP de maintenir ses listes au second tour des élections municipales quelle que soit la position du Front national.

8h37. Stéphane Le Foll : «il faut rester simple et clair». Sur BFMTV, le ministre de l'Agriculture met la pression sur les candidats socialistes qui seraient tentés de se maintenir pour conserver des sièges au conseil municipal, au risque de faire élire le FN. «Avoir un ou deux élus dans une municipalité, ce n'est pas ça qui va pouvoir à certains de nos camarades de faire de la politique au niveau local. Il faut rester simple et clair.»  

8h17. Front républicain : NKM dénonce «l'hypocrisie» du PS. «Le PS joue à faire monter le FN et demande ensuite à ce qu'on éteigne cet incendie qu'il a lui même déclenché», tacle la candidate UMP à la mairie de Paris. Selon elle, le Parti socialiste «parle d'un front républicain mais ne l'applique pas localement. Front de l'indiscipline, la formule est juste.»

8h15. Jean-Claude Gaudin fustige le double langage du PS.
 Le PS «est toujours contre le Front national, et là, par le maintien du candidat socialiste dans les 13e et 14e (arrondissements), on facilite l'élection du Front national. Où vont-ils?», accuse le candidat UMP à la mairie de Marseille au micro d'Europe 1. C'est dans ce secteur que Stéphane Ravier, candidat FN à la cité phocéenne, se présente. Le PS local refuse que son candidat et maire sortant Garo Hovsepian, pourtant arrivé en troisième position se désiste en faveur de l'UMP. La raison? Il est certain de pouvoir l'emporter en réunissant toutes les voix de gauche et de Pape Diouf.  

VIDEO. Jean-Claude Gaudin sur Europe 1


A Marseille, Gaudin propose un accord avec la candidate «guérininiste
Jean-Claude Gaudin, arrivé en tête du premier tour, propose un accord avec la candidate guériniste dans le 2e secteur qui lui permettra de viser une victoire dans sept des huit secteurs de la ville. La candidate Lisette Narducci, vice-présidente du conseil général dirigé par Jean-Noël Guérini, mis en examen dans plusieurs affaires et en voie d'exclusion du PS, «sera maire de secteur» en cas d'accord, promet Jean-Claude Gaudin sur Europe 1, expliquant qu'il veut «rassembler au-delà de (son) camp». Au premier tour, Lisette Narducci a recueilli 23,81% des voix, se plaçant en 2e position derrière l'UMP Solange Biaggi (24,18%) et devant le PS Eugène Caselli (17,46%).


VIDEO. Marseille : le PS et le Front de gauche font listes communes


VIDEO. Municipales : ni alliance avec le FN ni avec le PS pour l'UMP


7h55. Michel Sapin: «Il faudra changer» de gouvernement après «la colère» des municipales. Il faut entendre ce «mécontentement vis-à-vis de la situation économique et sociale qui n'est pas aujourd'hui à la hauteur ce que les uns et les autres peuvent espérer, et vis-à-vis de ceux qui gouvernent. C'est évidemment vis-à-vis de ce gouvernement là que les électeurs expriment un message» déclare le ministre du Travail sur RTL. «Evidemment il faudra évoluer, il faudra changer», mais après le second tour des municipales. Ces changements se feront «avec le Premier ministre que choisira le président, il peut choisir le même», dit-il, alors que des voix à gauche réclament le départ de Jean-Marc Ayrault.

VIDEO. Michel Sapin sur RTL



7h52. Michel Sapin : «Faire barrage au Front national». 
Sur RTL, le ministre du Travail appelle les électeurs, en particulier les abstentionnistes de dimanche dernier, à se rendre aux urnes dans 5 jours. «Mon devoir, c'est d'appeler à voter pour des maires qui sont des bons maires, en capacité de faire barrage au Front national», déclare-t-il.

7h50 Aurélie Filippetti : 
«Empêcher le FN de prendre des villes». Même si elle «n'aime pas l'expression «front républicain», la ministre de la Culture juge sur iTélé que «l'objectif, c'est d'empêcher le FN de prendre des villes.» Selon elle, «la culture a été la première cible des municipalités FN par le passé»

7h19. Nantes : fusion des listes PS et EELV.  
Selon un communiqué, l'accord a été trouvé hier soir. Au premier tour des municipales, la jeune socialiste de 34 ans Johanna Rolland, adoubée par l'ex-maire de la ville Jean-Marc Ayrault, est arrivée en tête avec 34,51% des suffrages devant la candidate UMP Laurence Garnier (24,16%) et la liste EELV de Pascale Chiron (14,55%). 

00h50. Jean-Michel Du Plaa se maintient.
 A Béziers, le candidat socialiste arrivé en troisième position au premier tour (18,65%), derrière le candidat du Rassemblement Bleu-Marine Robert Ménard (44,88%) et le député UMP Elie Aboud  (30,17%) dénonce  un «front républicain dans un seul sens. Le front républicain ne marche que dans le sens du PS vers l'UMP, nous sommes la roue de secours de l'UMP mais jamais l'UMP ne vient nous aider à conserver des mairies, mais vous avez vu ça où?»

00h08. Brignoles : la gauche se retire.
 Jean Broquier dont la liste de gauche est arrivée dimanche en troisième position (27,3%) des municipales de Brignoles (Var), derrière le Front national (37%) et l'UMP (35,5%), annonce son retrait de l'élection. Lundi matin, il avait demandé à la candidate UMP Josette Pons de faire une liste commune de «rassemblement républicain» pour barrer la route au Front national au second tour dans la petite ville de 16.000 habitants.

Minuit. Beaucaire : pas de front républicain. L'hypothèse d'une quadrangulaire se profile pour le 2nd tour à Beaucaire (Gard), où deux listes DVD ont décidé de se maintenir ainsi que la liste d'union de la gauche, face à l'équipe FN arrivée en tête dimanche au 1er tour des municipales avec 32,84% des suffrages. Le maire sortant UDI Jacques Bourbousson (22,46%) et Christophe André, membre de l'UMP à la tête d'une liste DVD (18,18%), refusent lundi de joindre leurs forces. Le candidat de l'union de la gauche, Claude Dubois (12,07%), qui n'est pas encarté, est également décidé à se maintenir, considérant que le «front républicain contre le FN»revient à des personnes du même bord. 

VIDEO. Municipales à Paris. NKM : « On est à fond ! »


VIDEO. A Marseille, dur réveil pour Mennucci


  

source : LeParisien.fr

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CITOYENS ET FRANCAIS - dans Elections
27 mars 2014 21:35

Au vu des résultats du premier tour des élections municipales ce dimanche, l’heure est au sauve-qui-peut du côté socialiste. Que devrait faire François Hollande selon vous ?

Je ne sais pas, et malheureusement ça ne m’intéresse pas beaucoup. Je ne peux pas me mettre à sa place : nos objectifs sont rigoureusement opposés. Tout ce que je vois (mais cela, je le savais déjà avant son élection),  c’est que tant qu’il est là, on perd un temps précieux pour le salut de la nation, son indépendance et son identité. La colonisation du territoire national se poursuit et même s’accélère, et non seulement il ne fait rien pour y mettre un terme, lui et son gouvernement y collaborent activement.

  Peut-être qu’un Manuel Valls Premier ministre ralentirait un peu cette course à l’abîme – je n’y crois guère. Je le vois plutôt comme un virtuel second Sarkozy, aussi inefficace que le premier contre le changement de peuple et de civilisation.

On parle de « vote sanction » à l’encontre de la politique nationale : vous êtes d’accord ?

Oui, bien sûr, mais à condition d’inclure, paradoxalement, l’abstention dans le vote sanction ; et d’ailleurs de considérer que l’expression est bien insuffisante. Plus ou moins consciemment, les Français ont le sentiment que le débat politique ne les concerne pas mais aussi, plus gravement encore, qu’il ne concerne pas la France, ni l’Europe, ni notre civilisation.

Ayrault, Valls, Lamy, Gallois, Fabius : qu’est-ce que ça changerait ? Sarkozy, Copé, Fillon : qu’est-ce que ça changerait ? Ne parlons même pas de Juppé, qui est encore plus remplaciste que Noël Mamère ou Martine Aubry, et d’ailleurs ne parie plus que sur les remplaçants pour revenir au pouvoir. Marine Le Pen changerait quelque chose, oui.

En même temps, je suis de ceux — et c’est une ligne très difficile à tenir, mal comprise, et qui ne vaut que des coupsqui pensent que la défense de l’identité nationale et de la civilisation européenne ne peut pas être abandonnée au seul Front national, et cela même de son propre point de vue, dans son propre intérêt : il aura besoin d’alliés, de gens venus d’autres horizons, qui soient à ses côtés ou même le dépassent dans le combat antiremplaciste mais qui ne veulent pas être contraints pour autant d’adhérer à l’ensemble de ses vues et de s’intégrer à ses structures.

Le « front républicain » a l’air de rencontrer moins de succès. Une vieille recette qui a passé d’efficacité ?

Robert Ménard a dit tout ce qu’il y avait à dire sur la question quand il a répondu, à la question de Nicolas Gauthier : « Le front républicain, c’est moi ! » Au-delà de la boutade, la formule est profondément juste. J’admire, plus que je ne saurais dire, la ligne politique qu’il incarne, qui me semble la plus pertinente qui soit — et je peux bien le dire encore maintenant qu’elle semble à la veille de réussir, au moins pour lui, puisque je l’ai dit et répété depuis le début.

La véritable ligne de front, outre celle que tiennent comme ils peuvent nos compatriotes les plus directement exposés à la colonisation en cours et à ses nocences, c’est celle qui sépare remplaçables et remplacés d’un côté, remplacistes et remplaçants de l’autre : indigènes et apparentés ici, colonisateurs et leurs collaborateurs là.

Le front républicain, c’est celui qui unit les défenseurs du peuple et de la nation contre les deux envahissements : celui du multiculturalisme déculturant, celui de l’immigration de masse.

SOS Racisme et l’Union des étudiants juifs de France ont appelé lundi 24 mars à la « mise en place d’un comité de vigilance » à Hénin-Beaumont contre les idées « profondément toxiques » du FN. Votre sentiment ?

Ils sont comme les généraux français de 1940, qui faisaient la guerre de 1916. L’antiracisme est devenu un aveuglement rageur, une interdiction de voir, de comprendre et surtout de nommer.

Les idées « profondément toxiques » ne sont pas à Hénin-Beaumont, elles sont dans la tête des promoteurs et des acteurs de la conquête de l’Europe par l’Afrique.

 

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CITOYENS ET FRANCAIS - dans Elections
27 mars 2014 21:28

 

FACT-CHECKING – Florian Philippot affirme que le Front national a assaini les finances des villes qu’il a dirigées à partir de 1995. Vrai ou faux ?

« La gestion avait été bonne. Il y avait eu des erreurs politiques. Regardez les rapports de la Chambre régionale des comptes, systématiquement il y avait une baisse des impôts et une baisse de l’endettement. Les Français peuvent le vérifier », ajoute le candidat à la mairie de Forbach.

Transparence des comptes. Les Chambre régionales des comptes (CRC) sont chargées de vérifier les finances des collectivités locales. Régulièrement, elles publient des rapports d’observation publics dans lesquels elles dressent le bilan de la gestion d’une ville.

Toulon1995 à 2001, la CRC souligne une fiscalité stable et une baisse de l’endettement. 

Vitrolles1997 à 2001. A l’arrivée de l’élue frontiste, les finances de la commune se trouvent dans un état lamentable. Lorsque Mme Maigret quitte la mairie, les sages constatent une baisse de l’endettement. 

Marignane, le rapport de la CRC pointe un endettement en hausse*

Orange, les sages saluent le travail de Jacques Bompard qui a adopté une fiscalité très sage et un endettement zéro

Conclusion de Laurent Guimier :

ALORS VRAI OU FAUX – Contrairement à ce qu’affirme le bras droit de Marine Le Pen, la gestion financière des quatre villes n’a pas été saluée par la Chambre régionale des comptes.

Relire : la mise en garde du CSA sur les temps de parole politique : Sur Europe 1, une large place a été accordée au Parti Socialiste (42%)

________________________________________

Sur LCI, même démarche de questionnement « vrai-faux » ce matin :

La Chambre régionale des comptes (CRC) de Provence-Alpes-Côte d’Azur (Paca) a analysé, comme elle le fait régulièrement pour de nombreuses communes, la gestion des villes par les maires FN. Et ses conclusions sont loin d’être dithyrambiques. S’il est vrai que les impôts n’ont globalement pas augmenté dans ces villes, la gestion des finances publiques est plus chaotique. (..)

LCI nous éclaire sur la gestion financière de Marignane de façon plus nuancée :

*Marignane : la Chambre régionale des comptes de Paca a publié un rapport en 2006 de la gestion de Marignane. « En 1993 et 1994, le plan de redressement mis en place par l’ancienne municipalité a permis un rééquilibrage de la situation financière de la collectivité. Mais, cette volonté d’assainissement des finances communales s’infléchit dès 1995″, c’est-à-dire à l’arrivée de Daniel Simonpieri. Elle pointe « la trop forte augmentation des charges courantes (+9% entre 1997 et 2000) par rapport aux recettes de fonctionnement » et « l’augmentation importante du poids de la dette ».

En revanche, elle applaudit la baisse significative des dépenses de gestion de la collectivité (-62% en 4 ans) (…)

 

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CITOYENS ET FRANCAIS - dans Elections
27 mars 2014 21:25

Le premier tour des municipales a été marqué par un score historique du FN. Est-ce le signe d’une recomposition de la vie politique Française? L’analyse d’ Eric Zemmour pour Figarovox.

 (…) Oui, mais il semble qu’il y ait deux FN qui n’aient rien à voir sociologiquement, celui du Sud et celui du Nord…

Je suis d’accord avec le fait qu’il y ait deux FN : une variante plus ouvriériste dans le Nord et dans le Sud, une classe moyenne pied noir, souvent composée de retraités.

Mais il y a un thème unificateur, c’est l’hostilité à l’immigration galopante et la crainte de voir l’islam changer le mode de vie français. Si ce n’était pas le cas, l’électorat du Nord voterait Front de gauche!

Mais dans le Nord, on ne peut pas dire que le problème principal soit l’immigration…
Bien sûr qu’il y a des immigrés dans le Nord! Et puis il faut arrêter de croire que les gens votent Front National parce qu’ils ont forcément des immigrés dans leur environnement immédiat.

Au contraire ils votent Front National parce qu’ils n’en veulent pas près de chez eux. C’est un vote préventif.

En général, ces gens se retrouvent dans le périurbain parce qu’ils ont été contraints de quitter la banlieue où ils se sont retrouvés en minorité. Et ils votent FN pour qu’ils ne leur arrivent pas deux fois la même chose…

(…) Le Figaro

 

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CITOYENS ET FRANCAIS - dans Elections
27 mars 2014 02:30

 

 

« Ce n’est pas les Français de pure souche qui votent FN mais désormais aussi des Français issus de l’immigration »


source : journaliste Céline Bittner – extrait de politique matin – LCP – 25 03 2014

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CITOYENS ET FRANCAIS - dans Elections
24 mars 2014 17:06

ravier_marseille1.jpg


DEBAT SUR LA GRANDE MOSQUEE - LA VOIX EST LIBRE... par Ravier_TV_Infos

 

 

 Deuxième partie du débat ici

Stéphane Ravier (blog), qui vient de créer la surprise à Marseille, était invité de France 3 pour débattre du projet monumental de la Grande Mosquée de Marseille.

"Vous croyez que le Qatar va se contenter de financer [25% !] et rentrer chez lui ? Vous les prenez pour qui les qataris ? Vous êtes d'une naiveté assez incroyable !" lance Stéphane Ravier à Fatima Orsateli conseillère régionale PS et...membre du conseil d'administration de la mosquée de Marseille ! (minute 24)

Fatima Orsateli  : "la structure répond à toutes les représentations [des associations islamiques] 

Stéphane Ravier: "y compris des islamistes du Tabligh et de l'UOIF!"

 

Le secrétaire départemental du Front brandit sur le plateau FR3 l'enquête Ces Maires qui courtisent l'islamisme (éditions Tatamis) afin d'appuyer ses affirmations sur le prix dérisoire de la location fixé par la mairie, les financements étrangers et le profil radical du conseil d'administration de la mosquée. (minute 19' 30'') 

 

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CITOYENS ET FRANCAIS - dans Elections
24 mars 2014 02:00

 

Le PS va-t-il perdre le vote des musulmans après celui des classes populaires ? A en croire les études, la réponse est oui selon Nicolas Bourgoin démographe, maître de conférences à l’université de Franche-Comté

 

S’il ne pèse que 5 % du corps électoral, l’électorat musulman est très marqué à gauche (entre 70 % et 90 % suivant les élections) et a joué un rôle décisif dans la victoire de François Hollande qui en a recueilli la quasi-totalité.

Le rejet anti-Sarkozy a joué pleinement : le candidat socialiste promettait de rompre avec la politique atlantiste de son prédécesseur et d’en finir avec les débats truqués sur l’identité nationale « qui ne servent qu’à monter les Français les uns contre les autres ». La suite nous a montré ce qu’il fallait en penser…

De fait, une bonne partie de ces voix risquent fort de faire défaut au PS lors des prochaines échéances électorales, bien que les tentatives de récupération menées par l’UMP semblent vouées à l’échec.

La campagne anti-Dieudonné, celles sur la « laïcité », les attaques contre les principes religieux avec l’enseignement de la théorie du genre, le mariage gay et la légalisation de la PMA et de la GPA prévue initialement dans la loi Famille, les diatribes islamophobes de Manuel Valls, les lois anti-voiles votées par le gouvernement, la ligne pro-sioniste suivie par celui-ci sur les dossiers syriens et ukrainiens, son soutien inconditionnel à Israël, et enfin l’abandon de promesses pourtant bien timides sur le droit de vote des étrangers ou les récépissés lors des contrôles de police ont achevé de dissiper ce qu’il restait d’illusions à propos d’un PS antiraciste et bienveillant à l’égard des musulmans.

Opération séduction un mois avant les municipales, l’hommage de circonstance rendu par François Hollande aux soldats musulmans morts pour la France ne trompera pas grand monde.

En février 2006, SOS Racisme prend position en faveur de la publication des caricatures de Muhammad du journal Jylland-Postens dans Charlie Hebdo en signant une pétition de soutien. […] A l’opposé, SOS Racisme poursuit sans relâche les quenelliers. […]

saphirnews

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CITOYENS ET FRANCAIS - dans Elections
23 mars 2014 01:48

carte electorale

Face au peu d’empressement des gros partis à présenter des candidats issus de la diversité aux élections municipales, l’Ile-de-France a vu fleurir nombre de listes indépendantes.

Ils sont ce qu’on appelle des têtes de liste « issues des minorités visibles », mais ne constituent plus cette « vitrine » que les partis aimaient tant exposer pour faire valoir leur esprit d’ouverture. C’est sans tambour ni trompette que Razzy Hammadi, à Montreuil, Abdelhak Kachouri, à Neuilly-sur-Marne, ou encore Karim Bouamrane, à Saint-Ouen, ont été désignés il y a quelques mois par le Parti socialiste (PS) pour mener les municipales des 23 et 30 mars prochains. Idem pour Othman Nasrou ou Kamel Hamza, qui tâcheront de conquérir respectivement Trappes et La Courneuve sous les couleurs de l’Union pour un mouvement populaire (UMP).

Aussi entre 2001 et 2008, le nombre de candidats issus de l’immigration extra-européenne ayant intégré les conseils municipaux des villes de plus de 9 000 habitants est passé de 1 069 à 2 343, pour représenter 6,68 % du total des élus, selon une étude du Haut Conseil à l’intégration (HCI). Mais seuls neuf d’entre eux ont été désignés maire, comme Mohand Hamoumou à Volvic, Rafika Rezgui à Chilly-Mazarin ou Djoudé Merabet à Elbeuf…

Si le sujet de la diversité paraît moins porteur aujourd’hui, peut-être est-ce parce qu’il avait été « surexploité » il y a six ans, veut croire Abbas Bendali, pour qui la dynamique de progression enregistrée en 2008 devrait même s’accélérer. Doucement mais sûrement. « Il y a une logique démographique qui fait qu’on devrait assister à une augmentation du poids des ‘minorités visibles’ dans les conseils municipaux en 2014. On a déjà constaté que 77 % de ces élus de la diversité étaient enclins à se représenter », indique-t-il.

Mais, tendance nouvelle, un nombre important d’entre eux ont décidé de quitter le parti auquel ils étaient affiliés pour partir seul au combat. « Parmi ces élus, 14 % disent qu’ils vont monter leur liste. Il s’agit de personnes engagées qui veulent compter leurs partisans et exister politiquement. Certains d’entre eux peuvent peser électoralement. Il n’est pas impossible que les plus expérimentés dépassent les 10 %. »

« Depuis 2008, beaucoup de listes citoyennes se sont mises en place », constate également Almamy Kanouté, co-fondateur du mouvement Émergence, une organisation politique et citoyenne créée en 2009 afin de fédérer ces candidatures spontanées d’Ile-de-France qui se disent en dehors des logiques partisanes. « L’objectif est d’aboutir à des responsabilités sans se plier aux circuits traditionnels. Nous voulons déboulonner cette coutume qui veut que la politique locale soit menée par des gros partis », ajoute cette ancienne tête de liste aux régionales de 2010 au cours desquelles il avait recueilli 0,42 % des voix.

« Au bout de six ans, beaucoup d’élus de la diversité ont préféré mener leur liste parce qu’ils sont déçus de la place que leur avait accordée leur parti, observe lui aussi Kamel Hamza, tête de listes UMP à La Courneuve et président de l’Association nationale des élus locaux pour la diversité (Aneld). Ils ont été nombreux à se rendre compte que leur rôle dans les conseils municipaux se limitait à lever la main plutôt qu’à apporter des réponses aux problèmes des citoyens. »

France 24

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CITOYENS ET FRANCAIS - dans Elections
22 mars 2014 11:10
LE vote des municipales de 2014 sera le vote des Français pour valider ou invlaider la olitique de François Hollande qui n'a pas su endiguer le déficit de l'état prévu à 4% du PIB en 2014cc/flickr/jmayrault

L’heure du 1er bilan électoral a sonné pour François Hollande et son Gouvernement. Dimanche prochain, les Français se prononceront pour la 1ère fois depuis le 6 mai 2012. Ils devront dire s’ils approuvent la politique actuelle où s’ils condamnent les choix effectués depuis 22 mois. 

Les résultats de ce Gouvernement sont catastrophiques et sont dus en totalité aux erreurs, aux inconséquences et au manque de courage de François Hollande : 

L’Etat est exsangue : malgré un choc fiscal de 45 milliards d’euros supplémentaires prélevés sur les ménages et les entreprises en 2 ans, la France n’a pas baissé son déficit budgétaire. Le déficit public est estimé à plus de 4% en 2014 alimentant la dette publique qui dépassera 100% du PIB en 2017 ;

Une économie à l’arrêt : la situation de l’économie française continue de se dégrader, contrairement à celle des autres pays de la zone euro. La poursuite de la crise constitue une exception française, avec son lot de défaillances d’entreprises (63 000 en 2014) et de nouveaux chômeurs (+680 000 depuis mai 2012) ; 

Des classes moyennes laminées : ce Gouvernement a pris pour cible les classes moyennes qui ont vu leur pouvoir d’achat amputé par des hausses d’impôt successives. Celles et ceux qui sont le cœur de la société française ont vu s’accélérer leur déclassement par un pouvoir qui en a fait sa tête de turc ;

 

Une société disloquée : non content d’affaiblir notre pays économiquement, François Hollande n’a eu de cesse de saper les fondements de notre société sous la pression de lobbys particulièrement agissants au sein du PSIl a ainsi profondément contribué à la dislocation de notre société, déjà en proie à des tensions communautaristes et à la vague migratoire ;

Enfin des institutions délégitimées : la fonction présidentielle ressort profondément affaiblie après 2 années de présidence Hollande. Indépendamment des comportements personnels, l’exercice des responsabilités a largement pâti de l’amateurisme, de l’indécision, du manque de courage et de la pusillanimité d’un Président perdu, le summum ayant été atteint lors de l’affaire Leonarda.

 

Face à cet immense gâchis, la sanction électorale tombera dimanche mais elle doit être massive.

En effet, que ce soit au niveau national ou au niveau local, on ne règle pas les problèmes avec ceux qui les ont créés.

 

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CITOYENS ET FRANCAIS - dans Elections
22 mars 2014 02:12

 

 

Publié le 18 mars 2014 par damiendesouche

 

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CITOYENS ET FRANCAIS - dans Elections
22 mars 2014 01:31

Pour succéder à Dominique Voynet qui ne se représente pas, huit listes s’affrontent… dont sept de gauche. Parmi les candidats, l’ancien maire Jean-Pierre Brard et le jeune député socialiste Razzy Hammadi. Et les échanges d’amabilités ne manquent pas entre les prétendants.

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CITOYENS ET FRANCAIS - dans Elections
22 mars 2014 01:10

Le Canard Enchaîne – 19/03/14

 

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CITOYENS ET FRANCAIS - dans Elections
22 mars 2014 00:55

Manifestation à Paris : "J’en ai assez ! Je suis en colère contre ce gouvernement ! Je ne lâcherai rien, jamais !"
Imagette manifestation du 18 mars 2014

s'informerDans la manifestation parisienne contre le pacte de responsabilité, la colère explose : "J’en ai assez ! J’en ai marre ! Je suis en colère contre ce gouvernement !" s’écrie une manifestante, ulcérée des cadeaux faits aux patrons au détriment de la population.

Une autre affiche une pancarte personnelle "Bienvenue en enfer après les élections".

Des militants CGT, FO, FSU, soulignent cette poussée venue d’en bas : l’unité doit continuer pour combattre ce pacte de responsabilité du gouvernement Hollande.

 

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CITOYENS ET FRANCAIS - dans Elections
21 mars 2014 17:29

La présidente du Front national a fait un passage éclair dans la cité des remparts, ce mercredi après-midi, pour soutenir Lionel Tivoli. Des échauffourées ont éclaté au moment de son départ

Mais allez-y ! Courez ! Ne les laissez pas filer! » La petite dame aux cheveux blancs s’égosille. D’un doigt fiévreux, elle désigne aux militants le groupe d’adolescents qui course la voiture de Marine Le Pen en la bordant d’injures.

Il est 15h45. La présidente du Front national vient tout juste de terminer la conférence de presse organisée dans la permanence de Lionel Tivoli. Elle sort sous les vivats d’une centaine de supporters. Et soudain, tout dérape.
Des adolescentes s’approchent, huent le leader frontiste et tendent des doigts d’honneur. Elles sont repoussées par le service d’ordre, tandis que Marine Le Pen s’engouffre dans son véhicule.
Des jeunes gens belliqueux tentent alors d’atteindre la voiture qui démarre vers le centre-ville.
« Courez! » L’ordre claque comme un coup de fouet. Et la course-poursuite commence.
Blessé à la tête
En bas du boulevard, des coups sont échangés. Un jeune militant est frappé au visage. Sa tête percute une vitrine.Il saigne. Seul blessé, apparemment, à l’issue des échauffourées. Les anti-frontistes s’éclipsent. Et le calme revient.
« Ça fait du bien de voir une foule française… »
À 15h10, la visite avait commencé dans un climat plus paisible. Devant sa permanence, Lionel Tivoli serre des mains à la volée. Le candidat exulte : « Ah, cette fois-ci, les journalistes ne pourront pas dire qu’il n’y avait personne… »
À l’entrée du local, le filtrage est sévère. Outre la presse, une quinzaine de colistiers seulement sont admis à l’intérieur. Marine Le Pen s’assoit à côté de Tivoli. Ce dernier remercie sa présidente, puis décline ses thèmes de campagne : la fin du clientélisme, la fin de la « préférence des Roms », la volonté de « faire respecter la culture française ». Il est interrompu par ses propres militants, massés contre la vitre opaque, qui hurlent l’Hymne national.
« Ça fait du bien de voir une foule française chanter la Marseillaise en plein jour, s’exclame la présidente du FN. On peut mettre cela à notre crédit! »
Si elle est venue à Antibes, explique-t-elle, c’est « parce que Lionel est un symbole : celui de cette jeune génération qui a le courage de s’investir en politique. »

À l’extérieur, le chœur frontiste s’égosille : « la France aux Français ».
Vallauris ? « Je ne peux pas aller partout, lâche Marine Le Pen. Certains candidats n’ont pas besoin de mon aide. » Elle balance quelques Scud à « l’UMPS ».

Puis conclut : « Notre ennemi, c’est l’abstention. Un suffrage non-exprimé, c’est une demi-voix pour l’UMP, une demi-voix pour le PS. Pour que les choses changent, il faut glisser dans l’urne un bulletin bleu marine. »

 

http://www.nicematin.com/antibes/municipales-a-antibes-la-visite-de-marine-le-pen-se-termine-en-baston.1661203.html

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CITOYENS ET FRANCAIS - dans Elections
21 mars 2014 02:10

source : Journal 20 H – France 2 – 15 03 2014

bonus :
congrès de l’UL CGT du 3 décembre 2013
« Montée de l’extrême droite, quelles conséquences pour le syndicalisme ? »
Sophie Béroud, maître de conférence en science politique

 

sourcelink

 

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CITOYENS ET FRANCAIS - dans Elections
20 mars 2014 13:33

municipales © Regormark

Lundi il sera trop tard ! Plus que quelques heures avant d'aller voter pour le 1er tour des municipales : à nous de nous faire entendre dans les urnes ! Avant d'aller voter, consultez l'Argus des communes pour choisir en connaissance de cause. Faites passer le mot à tous vos contacts!

Allez voter, c’est extrêmement important !

Les médias disent « craindre » une forte abstention aux municipales (comprenez, en plus des abstentionnistes récurrents, des électeurs de gauche déçus par M. Hollande et son gouvernement!). De fait, on pourrait être tenté de se dire « peu importe qui l’emportera, ils sont tous pires les uns que les autres ».

Ce serait une grave erreur ! Allons-nous donner un chèque en blanc aux nouvelles équipes municipales ? Allons-nous les autoriser les yeux fermés à nous taxer sans se pencher sur l’usage fait de nos impôts ?

Pas question !

Chers amis contribuables, chers citoyens, chers Français, prouvons-leur qu’ils ont tort de diffuser ce message trop facile et pessimiste, donnons-leur une bonne leçon de notre civisme, de nos devoirs et de démocratie :

Allez voter et faites voter votre entourage, c’est un droit dont nous devons user pour nous faire entendre !

Consultez l’Argus des communes avant de donner votre confiance à un candidat

Si votre maire se représente, l’Argus des communes est un outil incontournable avant de lui redonner votre confiance : quelle a été sa gestion ? Connaissez-vous l’évolution des dépenses communales, celle de la fiscalité, et du niveau d’endettement de la commune ?

Dans tous les cas, consultez l’analyse de votre commune pour connaître l’état des finances.

La fiscalité est le premier enjeu de ces élections municipales : les Français savent que les dépenses locales vont continuer d’exploser ; il est donc très important de choisir le candidat le plus soucieux de bonne gestion. Attention aussi aux promesses mirobolantes qui coûtent une fortune !

Pour consulter la note de votre commune sur l’Argus, cliquez sur l’image :

proposition logo argus

Vous pouvez aussi consulter la liste des questions adressées aux candidats que nous vous proposons à titre d’exemple : elles peuvent vous aider à déterminer si le candidat sera soucieux de bien gérer l’argent public.

Faites passer le mot !

Posez un acte citoyen : en encourageant tous vos contacts d’aller voter et de consulter l’Argus des communes avant !

La pression des contribuables-électeurs est une réalité que nous avons eu maintes fois l’occasion d’éprouver : les élus vous écouteront, et d’autant plus si nous sommes nombreux !

 

 

Votez et faites voter en consultant l’Argus des communes

1) Je vérifie la note de mon maire et je la partage autour de moi

2) Je transfère ce message à tous mes contacts

3) Je vais voter en connaissance de cause !

 

source

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CITOYENS ET FRANCAIS - dans Elections
18 mars 2014 02:06

carte electoraleA quelques jours du premier du tour des élections municipales, les candidats à ce scrutin local s’activent. Selon le site musulman saphirnews, les listes «citoyennes» prennent de l’essor dans les « quartiers populaires».

La prise de pouvoir des habitants de banlieues n’en est qu’à ses débuts, juge Nadir Kahia de Banlieue Plus, qui pense que leur renforcement passe par la constitution d’un « lobby » pour un impact au niveau national. « Il faut un réseau ou de l’argent », lance-t-il.

Election présidentielle à Clichy-sous-Bois (2007)

«De plus en plus de jeunes et de moins jeunes s’intéressent à la politique», fait remarquer Nadir Kahia. Pour le président de l’association Banlieue Plus, dont l’objectif est de lutter contre les préjugés et les clichés véhiculés sur la banlieue, «l’effervescence dans les quartiers et les villes populaires» est indéniable. Cet attrait pour la politique a « toujours» été présent mais, «aujourd’hui, les listes citoyennes se multiplient», constate le militant.

Quand les partis traditionnels intègrent les habitants issus de la diversité dans leur liste, c’est surtout «en termes d’image ou de représentativité» et ces derniers n’ont pas la «possibilité d’évoluer», dénonce Nadir Kahia. «Les grands partis sont fermés. Il y a du racisme dans les partis politiques, fustige-t-il.

«Lors de meetings dans des salles de quartier avec un public composé de personnes d’origine africaine et nord-africaine, on nous laisse nous exprimer mais, lors de meetings avec un public majoritairement composé de Français de souche, on est boycottés», raconte Akim Mimoun président fondateur de la Fédération de la mixité de France, qui vise à lutter contre les inégalités.

Akim Mimoun en a fait l’amère expérience. Lors des élections municipales de 2008, le Marseillais décide de prendre part à la liste de rassemblement de la gauche unitaire, regroupant notamment le PS et Europe Ecologie-Les Verts (EELV). Déterminé à s’impliquer dans le renouveau de la deuxième ville de France, il déchante rapidement quand il constate que les personnalités issues de la diversité sont intégrées non «pas pour leur compétences» mais dans l’optique de récupérer un certain électorat. […]

A ceux qui taxent la liste à laquelle il appartient de «communautariste» il répond que c’est une liste communautariste des quartiers populaires». Les 46 personnes issues de diverses origines qui la composent représentent «la population marseillaise», ajoute-t-il. […]

 

.saphirnews

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CITOYENS ET FRANCAIS - dans Elections
12 mars 2014 02:05

A Aubervilliers, un colistier du communiste Pascal Beaudet a relayé des SMS appelant la communauté musulmane à ne pas voter pour le PS à cause, entre autres, de l’ouverture du mariage aux couples homosexuels.

Najat Vallaud-Belkacem ne s’attendait sans doute pas à un tel accueil. La visite, jeudi 6 mars, de la ministre des Droits des femmes à Aubervilliers (Seine-Saint-Denis) pour soutenir le maire socialiste, Jacques Salvator, candidat à sa réélection fin mars, a été précédée de curieux SMS, que francetv info a consultés.

« Avis à tous les musulmans !!! Alors que J. Salvator veut attirer le vote des musulmans d’Aubervilliers aux élections municipales, il reçoit aujourd’hui la ministre Najet [sic] Vallaud-Belkacem… » explique un premier message.

« Cette dernière a été à l’origine de plusieurs choses : elle a soutenu le mariage gay, la loi sur les mamans voilées qui accompagnent leurs enfants aux sorties scolaires », explique un deuxième message. Un troisième SMS enfonce le clou : « Musulmans = Anti-PS au niveau national et local !!! Vote sanction !! ».

France Tv

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CITOYENS ET FRANCAIS - dans Elections
10 mars 2014 01:39

 

 

Il a promis de lâcher son siège de député s’il est élu maire en mars prochain. Razzy Hammadi, tête de liste PS à Montreuil (Seine-Saint-Denis) pourrait peut-être rester à l’Assemblée nationale plus longtemps que prévu à en croire un sondage TNS Sofres/SOPRA Group* publié ce mercredi.

En effet, Jean-Pierre Brard, l’ancien maire de Montreuil apparenté PCF, sort en tête des intentions de vote au 1er tour des municipales, loin devant les autres principaux candidats de gauche, dont Razzy Hammadi. Les alliances qui se feront entre les deux tour détermineront l’issue de ce scrutin incertain.

article complet : Le Parisien

rappel de l’affaire Razzy Hammadi apparue le 19 janvier 2014 :

« L’affaire est terminée enculé de ta race, fils de pute va »

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CITOYENS ET FRANCAIS - dans Elections
10 mars 2014 01:05

 

Le ministre Peillon est en mesure de bombarder son ex-épouse, Brigitte Sitbon-Peillon, inspectrice générale, car son nom s’est retrouvé par magie parmi les trois candidats admissibles au poste si bien payé et si gratifiant d’inspecteur général de philo…

Mais puisque François Hollande a décrété que sa présidence serait exemplaire, c’est qu’elle est exemplaire. Au fait, quelqu’un a-t-il entendu parler de poursuites pénales contre le fils de Valérie Trierweiler et ses petits achats de drogue ?

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Hervé Roubaix pour Dreuz

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CITOYENS ET FRANCAIS - dans Elections
9 mars 2014 01:33

Editorial d’Eric Decouty dans Libération intitulé «Nuisance» sur le «front républicain» de moins en moins respecté.

Dans plusieurs centaines de villes, le Front national est annoncé au second tour des élections municipales. S’il menace d’en gagner quelques-unes, le parti d’extrême droite risque, le plus souvent, d’exercer sa capacité de nuisance lors de triangulaires et d’imposer un casse-tête au PS et à l’UMP. Le front républicain décidé par les états-majors pour faire barrage au FN s’est délité au fil des scrutins et des réalités locales. Il s’est également dissous dans le rapprochement idéologique entre une frange de la droite et de l’extrême droite, esquissé par Nicolas Sarkozy lors de la dernière présidentielle et renforcé depuis deux ans par Jean-François Copé.

Et si ce front républicain reste la règle rue de Solférino, nos enquêtes montrent que nombre de candidats socialistes n’appliqueront pas les consignes nationales. Ils entendent ainsi rester au second tour au risque de faire gagner le parti de Le Pen. On peut comprendre leurs arguments face à des candidats UMP contaminés par les idées de l’extrême droite.

Ils savent aussi que, absents du second tour, les socialistes disparaissent de la scène locale pendant de longues années. Pendant six ans, des conseils municipaux seront exclusivement peuplés de la droite et de l’extrême droite. Et la gauche pourrait perdre le Sénat.

Il reste que la politique est aussi affaire de morale et de courage. Comment le PS pourra-t-il justifier avoir laissé le gouvernement de villes à un parti prêt à appliquer son programme d’exclusion et de discrimination ? Comment pourra-t-il faire sa priorité de la lutte contre le FN quelques semaines plus tard aux européennes ?

 

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CITOYENS ET FRANCAIS - dans Elections
8 mars 2014 01:51

L’inscription de 82 Roumains domiciliés à la même adresse sur les listes électorales de Saint-Denis (Seine-Saint-Denis) a déclenché un bras de fer entre le candidat socialiste Mathieu Hanotin, qui soupçonne une fraude, et le maire communiste Didier Paillard, qui dénonce une stigmatisation.

 

Le député socialiste a annoncé aujourd’hui qu’il déposerait dans la journée un recours au tribunal d’instance pour fraude sur les listes électorales, après avoir été « surpris de constater que sur 206 électeurs de l’Union européenne inscrits à Saint-Denis, 82, tous d’origine roumaine, résident à la même adresse ». « Nous avons de vrais doutes sur les contrôles des domiciles de 48 personnes qui vivent dans ce bidonville. Si des éléments de preuves sont apportés, tant mieux, mais il y a des personnes dont nous n’avons pas réussi à retrouver les preuves de la réalité de la résidence », a-t-il déclaré lors d’un point-presse dans son local de campagne à Saint-Denis.

(…) Le Figaro

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CITOYENS ET FRANCAIS - dans Elections
8 mars 2014 01:07

topelement

A l’appel des Verts, du PS, de 55 organisations de gauche, d’organisations étudiantes, d’œuvres caritatives (Caritas), des syndicats (Unia, SSP, Syna, USS, Travail Suisse), de plusieurs associations d’étrangers, et de 33 personnalités du monde politique, culturel, de l’économie, de la formation ou de la recherche, dont l’ancienne conseillère fédérale Micheline Calmy-Rey, l’ancien directeur de la BNS Jean Zwahlen, les conseillères et conseillers nationaux Josiane Aubert, Christa Markwalder, Roger Nordmann, Martin Naef, Jean-Christophe Schwab, des professeurs d’université tels Gilbert Casasus, Thomas Cottier, Nicolas Levrat, etc., une manifestation a été organisée, le 1er mars à Berne, pour affirmer que la «Suisse [est] ouverte et solidaire», et pour contester la votation du 9 février dernier destinée à limiter l’immigration.

5 à 10’000 personnes étaient donc réunis sur la place fédérale de Berne.

Les organisateurs ont déclaré vouloir fédérer les différentes « forces politiques » et organisations qui jusqu’à présent « exprimaient de manière dispersée leurs craintes d’une Suisse repliée sur elle-même », alors que les Suisses, précisément, ont exprimé, lors du vote du 9 février, de manière dispersée (1 personne = 1 vote), qu’ils ne pensent pas, par leur vote, que la Suisse va se replier sur elle-même.

 Les Verts notamment, ont le toupet, tout en contestant le droit des Suisses à exprimer démocratiquement leur choix de société, de revendiquer, pour les étrangers, le droit « à la sécurité de séjour, et [le] droit de pouvoir vivre en famille » 

on croirait entendre les démagogues Verts de France. Pour les Verts, en effet, il n’est pas question de défendre les droits des Suisses, ni de leur accorder le droit d’avoir, eux, des droits fondamentaux, ni encore moins de respecter leur décision démocratique et souveraine, mais « de défendre ces droits fondamentaux » des étrangers.

Le PS n’est pas plus respectueux. Il déclare qu’avec cette manifestation, « il s’agit … de défendre les droits de près d’1,8 million d’étrangers qui risquent d’être bafoués ». Ainsi, le PS ne s’intéresse pas, ne défend pas, les droits de 8 millions de Suisses. Le PS se moque que les droits de 8 millions de Suisses soient bafoués. En revanche, le PS défend « les droits de près d’1,8 million d’étrangers ».

Quelle mentalité…

En réalité, je vous le dis, tout ceci ne tourne pas rond et sent le cramé.

Lorsque 5 à 10’000 manifestants réunis sur la place fédérale déclarent que « la Suisse est ouverte et solidaire », ils insultent la majorité des Suisses. Ils leurs disent: « vous êtes fermés, vous n’avez aucune solidarité ».

Lorsque 5 à 10’000 manifestants réunis sur la place fédérale déclarent que « la Suisse est ouverte et solidaire », ils contestent aux Suisses leur capacité à formuler un bon jugement, à penser, à réfléchir et à décider librement. Ils disent à la majorité suisse : « en votant le 9 février contre l’immigration, vous vous êtes montrés comme des imbéciles, des retardés mentaux. Vous avez voté comme des êtres vils, stupides, xénophobes et déshumanisés. »

Et je crois, surtout, que les organisateurs de la manifestation du 1er mars à Berne, et les 5 à 10’000 manifestants, n’ont surtout pas digéré le fait que :

  • Les Verts,
  • Le PS,
  • 55 organisations de gauche,
  • Les organisations étudiantes,
  • Le syndicat Unia,
  • Le syndicat SSP,
  • Le syndicat Syna,
  • Le syndicat USS,
  • Le syndicat Travail Suisse,
  • Plusieurs associations d’étrangers,
  • Des œuvres caritatives dont Caritas,
  • Des personnalités du monde politique, culturel, de l’économie, de la formation ou de la recherche, dont l’ancienne conseillère fédérale Micheline Calmy-Rey, l’ancien directeur de la BNS Jean Zwahlen, les conseillères et conseillers nationaux Josiane Aubert, Christa Markwalder, Roger Nordmann, Martin Naef, Jean-Christophe Schwab, des professeurs d’université tels Gilbert Casasus, Thomas Cottier, Nicolas Levrat, etc.,
  • La Tribune De Genève,
  • Le Temps,
  • Le Courrier,
  • 24 Heures,
  • La Côte,
  • L’Express,
  • Le Matin,
  • 20 minutes ; c’est à dire la quasi totalité de la presse suisse,

n’ont pas réussi eux tous réunis, à convaincre les Suisses.

Ils n’ont pas réussi, eux tous réunis, à faire le poids, face à l’UDC seule, sans appui médiatique, sans le soutien d’aucun parti politique, qui a proposé, défendu, et fait voter la votation contre l’immigration du 9 février.

L’UDC a su, lui, toucher l’intelligence des Suisses, emporter le vote que l’on sait, et infliger une défaite politique humiliante, à tous ceux là réunis.

Voilà ce que les élites, les médias, les politiques, qui n’ont pour le peuple que mépris, méfiance, dédain, condescendance et rejet, ont en travers de la gorge.

Vive le peuple suisse, vive la liberté de penser, vive la démocratie, vive la Suisse !


Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Jean-Patrick Grumberg pour Dreuz.info.

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