Les français ne veulent plus de l’entrée sur notre territoire de nouveaux immigrés. Et malgré les dires de nos bonnes consciences médiatiques la cote d’alerte a été atteinte il y a de cela plus de 35 ans. Les français rejettent toute cette nouvelle misère de l’hémisphère sud, ils sont 69% à ne plus supporter l’arrivée massives de sous-socialisées et sur-subventionnées.
Seulement la démocratie d’opinion mais surtout la volonté du peuple sont balayées par nos élites mondialisées, celles-ci par la force importent plus de 400 000 nouveaux immigrés par an. Nos gouvernants pour faire passer la pilule à des concitoyens toujours plus contestataires mais surtout allergique à une invasion étrangère, ont déniché la solution miracle pour que nos tiers-mondistes aient des titres de séjours réguliers pour la France.
L’immigré malade.
Pensant secourir la veuve et l’orphelin de l’étranger au détriment de l’autochtone, nos gouvernants permettent à des malades du monde entier sans le sou de venir sur notre sol afin d’y être soigné de maladies plus que coûteuses.
« L’article L 313-11-11° du CESEDA (code de l’entrée et du séjour des étrangers et du droit d’asile) prévoit la possibilité pour l’étranger dont l’état de santé nécessite une prise en charge médicale de solliciter une carte de séjour temporaire portant la mention “vie privée et familiale”.
La délivrance de cette carte de séjour temporaire est conditionnée d’une part par la justification des conséquences d’une exceptionnelle gravité que le défaut de prise en charge médicale pourrait entraîner et d’autre part par l’absence de la possibilité pour l’étranger de bénéficier d’un traitement approprié dans son pays d’origine.
Concernant la deuxième condition, avant les deux décisions du 7 avril 2010, le Conseil d’Etat refusait la prise en compte de la question du coût des traitements dans le pays d’origine pour apprécier leur accessibilité.
Dorénavant le Conseil d’Etat estime que l’absence de modes de prise en charge adaptés et les circonstances exceptionnelles tirées des particularités de la situation personnelle de l’étranger doivent être pris en compte.
Ces deux décisions favorables aux étrangers malades sollicitant leur admission au séjour permettront désormais de faire valoir notamment que si les soins nécessaires existent dans leur pays d’origine, ils ne leur sont pas accessibles en raison notamment du coût de traitement. » CE 7 avril 2010 n° 316625 et CE 7 avril 2010 n° 301640
Une nouvelle brèche où s’engouffrent des dizaines de milliers de clandestins. Ces derniers utilisent leur maladie plus ou moins grave avec l’assurance d’être régularisés et de séjourner au moins 10 ans en France. De toute façon même sans la carte de séjour, l’expulsion est une exception, puisqu’on en compte moins de 20 000 par an dont la moitié sont des Roms.
Seulement quand il y a une brèche, il y a des passeurs, des mafias, du banditisme et forcément de la fraude. Ainsi, plusieurs milliers de clandestins avec l’aide de passeurs utilisent de faux malades afin de recevoir de vrais papiers.
L’Etat n’y voyant pour la plupart du temps que du feu, et même si les policiers pour stopper cette délinquance font un formidable travail.
Alors nos amis progressistes me demanderont ce que moi si j’étais législateur je ferai. Il est évident qu’une personne étrangère n’ayant pas les moyens de la prise en charge de sa santé, ne peut rester en France. D’abord pour des raisons de coûts plus qu’évidents, les français n’ont pas par leurs impôts devenus spoliateurs financés les problèmes médicaux de l’ensemble de la planète.
Souvent je débats avec des lecteurs de gauche, et à chaque je leurs dis « Pourquoi la France doit accepter, ce que les autres ne veulent pas ? ». Les américains ont des assurances privées qu’ils paient chères, si celles-ci ne couvrent pas une maladie en question, ceux-ci l’ont dans l’os.
Nous avons la chance d’être si nous cotisons couvert par une assurance publique même s’il y a beaucoup à dire sur elle, le législateur a permis à ceux qui ne cotisent pas d’en bénéficier, ce qui est une erreur, pourquoi diable devons-nous mettre en péril un acquis du gouvernement provisoire pour des étrangers arrivés hier sur le sol français ?
Nous n’avons pas à le faire, et nous devons obliger nos gouvernants à le cesser. Ce n’est pas de la générosité d’importer des dizaines de milliers de malades, ça s’appelle un suicide.
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