20.000 migrants sont entrés en Algérie en 2014.

Selon le premier ministre algérie Abdelmalek Selal, l’Algérie est confrontée à un très grave problème : celui de l’immigration clandestine.

Lors d’une séance consacrée aux questions orales de l’ANP, Khelil Mahi, ministre des relations avec le parlement, a confirmé que les autorités publiques poursuivront le rapatriement de ces clandestins vers leurs pays d’origines.

Bien entendu dans le respect de la dignité humaine. (Source El Watan du 04.03.2015)

Foin donc de la célèbre hospitalité arabe dont il est tant question dans le Coran, et pourtant ce sont des Arabes qui fuient des pays arabes en guerre pour rejoindre un pays frère.

Pourtant l’Algérie n’a aucun problème démographique.

Elle comptait 10 millions d’habitants en 1962 et très bientôt atteindra les 40 millions.

Pour le moment, l’Algérie se contente de nous expédier ses propres ressortissants. Mais ne va-t-elle pas bientôt fournir à ces migrants un visa afin qu’ils puissent traverser la Méditerranée et s’installer chez nous, comme ils le font déjà à Vintimille et ailleurs ?

En France, ils seront bien accueillis, logés, soignés et aidés financièrement, comme le sont déjà les 200.000 arrivant chaque année – régulièrement ou clandestinement.

Ils deviendront, comme tant d’autres « des chances pour la France de demain » et lui permettront de conserver la première place sur le podium de la démographie européenne, condition siné qua non pour que notre pays ait soi-disant un avenir brillant lors des prochaines décennies.

Ceci au contraire de l’Angleterre qui dresse un mur à Calais, ou de l’Allemagne qui chaque année « s’apprauvit » faute d’une démographie similaire à la nôtre.

En l’an 2030 nous seront le pays le plus peuplé d’Europe…

Et ce n’est pas fini. Nous serons le pays comptabilisant le plus grand nombre de chômeurs, le plus grand nombre d’assistés, le plus grand nombre de pauvres… Et aussi le plus grand nombre de retraités ne percevant plus de pension, car ne comptons pas sur les actuels et futurs migrants pour nous la payer.

Qu’on se le dise !

En France, nos politiques en place depuis des décennies ont des priorités : eux d’abord, nous ensuite (s’il reste quelque chose).

Et l’on s’étonne que le Front National soit le premier parti de France ?

Fort heureusement, nombreux sont ceux qui promettent de partir si Marine Le Pen arrive au pouvoir en 2017…

Nous espérons qu’ils seront nombreux, si c’est bien le cas.

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Manuel Gomez pour Dreuz.info.

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