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En France, nous subsistons sur l’ acquis de l’ ensemble des sommes mises en réserve ou employées à créer du capital, des générations antérieures, ce qui nous permet, encore pour quelque temps, d’afficher un niveau de vie supérieur à celui des pays sous-développés, mais nous ne mettons pas à disposition de nos unités économiques de production de biens ou services ni les marges de manœuvre, ni les instigations pour mettre en place le capital nécessaire au lieu de renflouer les banques.
Si l’on continue dans cette voie, la France deviendra un lieu accumulant de la main-d’œuvre bon marché ! Nous deviendrons bientôt les pauvres des futures grandes puissances économiques.
Pour maintenir notre outil de production suffisamment performant, il faut que l’État fasse des crédits au taux de 1% ou l’équivalant du livret A pour toutes les PME françaises sous condition de ne pas être domicilié à l’étranger ni employer d’Européens payés en dessous du SMIC français ! C’est trop facile de délocaliser à l’étranger pour continuer à se payer le luxe de coûts salariaux les plus faibles….Aux dépens des Français !
La France, doit à tout prix changer de modèle de pensée fiscale en prenant exemple sur les pays qui ont fait ce choix et ne pas continuer de surtaxer les excédents d’exploitation produits par les entreprises celles dont les prises de risque se sont révélées payantes.
Ce qui sera gagné en impôts non payés par les entreprises établies sera perdu sous forme de capitaux de croissance, prêts à s’investir dans les entreprises naissantes permettant le recul du chômage !
Nous avons besoin de cette croissance des entreprises pour garantir, demain, des emplois offerts aux Français. Bill Clinton, sous la pression d’un congrès républicain, a engagé une réforme bien plus ambitieuse des aides sociales pour les tourner vers l’aide à la reprise d’une activité.
Le nouvel essor de l’économie doit être constitué d’une baisse significative de certains impôts ainsi qu’une baisse au moins comparable des dépenses publiques… mais cela c’est une autre histoire avec nos élus et leurs privilèges ! (Chauffeurs, gardes du corps, repas gratos, voyages, indemnités non imposables et autres combines) Ce qui est sûr, c’est qu’ils sont férocement défendus par les syndicats qui « gèrent » des sommes gigantesques et ne veulent pas voir partir le grisbi.
Les fraudes caractérisées aux systèmes sociaux seront bien plus difficiles à mener à grande échelle avec des politiques sociales gérées n’importe comment !
Le déficit public cause indirectement ce que les économistes appellent un effet d’éviction, dépossédant des agents économiques performants, de moyens matériels et financiers alloués à des services publics dont l’efficacité laisse à désirer… (Au fait, comment qualifier les subventions aux associations, syndicats et autres sans compter les avantages dont bénéficient les fonctionnaires et entreprises comme EDF SNCF, etc. aux dépens des PME qui eux sont réduits en esclavage, sans oublier la filière paysanne et les autres).
Emprunt de l’état= Pompage de l’épargne des individus est un impôt déguisé. Cette malversation concernant ces moyens financiers devrait se placer (ou se prêter) à des agents privés contraints à l’efficacité économique.
Au contraire, ces moyens financiers servent au profit d’un état dont la qualité des dépenses n’a jamais été le point fort. (Ce n’est pas grave, c’est l’état qui paye).
L’augmentation combinée des aides sociales et leur absence de dégressivité créent des effets de seuil terribles qui imposent aux familles qui franchissent les limites arbitraires de la modestie fixée par des bureaucrates incapables !
La France est en train de saisir les fonds de réserve publics, pour financer leurs déficits présents. Pour sauver l’état providence et surtout leur train de vie, aucune bassesse ne sera taboue pour nos politiciens et leurs vassaux. Tout pour ne pas réformer les fondamentaux de leurs fonctions providentielles. Prônant la prudence, ils sont très circonspects quant aux idées de « grandes réformes » visant à bouleverser le système actuel comme l’application de la proportionnelle intégrale lors des scrutins électoraux !
Emmanuelli, et d’autres ne disaient-ils pas que la France n’avait pas de problème de dette puisque l’épargne était considérable et le patrimoine de l’État et des Collectivités territoriales, incommensurables !
Solutions :
Échanger l’épargne contre des assignats.,
Vendre à la découpe notre immobilier et monuments de prestige aux Chinois par exemple….
- Effet d’éviction — Wikipédia
fr.wikipedia.org/wiki/Effet_d’éviction
- Retraite par capitalisation — Wikipédia
fr.wikipedia.org/wiki/Retraite_par_capitalisation
… la capitalisation est sensible aux crises financières : … exemple en France avec l’épargne retraite), … Finance/Articles liés;