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27 juin 2015 15:18

19 H - 

Attentat en Isère : Yassin Sahli a échappé aux services de renseignement

(…) Selon RTLdeux notes d’information des services d’informations générales du Doubs auraient été rédigées sur Yassin Salhi en 2013 et 2014. Il y est décrit comme un « musulman dur » avec deux de ses camarades. La note de 2014 ferait référence à des signes de radicalisation du suspect. Des « absences régulières et des périodes longues estimées à 2 ou 3 mois sans qu’il soit possible de dire où il se rend » ont été remarquées.

Toujours selon RTL, il aurait été vu dans son quartier avec « des hommes vêtus de treillis, parlant du djihad et du Mali » sur le palier de l’appartement.

Il est actuellement entendu par la brigade de recherche de Bourgoin-Jallieu.

Selon Le Monde, un homme « soupçonné d’avoir fait des repérages sur le site » a également été placé en garde à vue.

La personne tuée serait un chef d’entreprise du Rhône comme l’a confirmé l’AFP. Cette méthode d’exécution n’est pas sans rappeler les méthodes barbares utilisées par Daech. Sa tête aurait été retrouvée sur un grillage.

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L’attentat, perpétré ce matin peu avant dix heures, a fait deux blessés au sein de l’usine de gaz industriels Air Products, situé près de Lyon, dans la zone d’activité de la commune Saint-Quentin-Fallavier (Isère).

Un mort a été retrouvé sur place. Il s’agit d’un chef d’entreprise en provenance de Chassieu (Rhône) qui effectuait une livraison au moment de l’attaque. Ses agresseurs l’ont décapité et exposé sa tête devant l'entreprise, en l'accrochant sur un grillage.

14 H 13 : La victime a été identifiée comme un gérant d’une société de transport demeurant à Chassieu dans le Rhône qui était sur le site de l’entreprise attaquée. Il venait pour une livraison.

13 H 50 : Selon le préfet de l’Isère, Jean-Paul Bonnetain, « le véhicule n’a pas pu pénétrer par surprise sur le site, il y a été autorisé pour l’exercice de sa mission ». Ce qui renforcerait la thèse de l’utilisation d’un véhicule appartenant à un sous-traitant de l’entreprise ou à un fournisseur. « La nature de l’activité de l’ entreprise n’est peut être pas étrangère au choix de la cible », selon Jean Paul Bonnetain.

Source


C’est Bernard Cazeneuve qui a donné son nom. Yassin Salhi (orthographe non vérifiée) a été identifié par les autorités comme le principal suspect de l’attentat terroriste de l’usine Air Products de Saint-Quentin-Fallavier (Isère). 

Selon nos informations, le suspect est né en 1980 à Pontarlier (Doubs). Il est marié et père de trois enfants. Il vivait à Saint-Priest, une commune de la métropole de Lyon. Yassin Salhi faisait l’objet «d’une fiche pour radicalisation

Un attentat a visé ce vendredi matin une usine de gaz industriels à Saint-Quentin-Fallavier, en Isère. Une voiture avec deux hommes à bord a foncé sur des bonbonnes de gaz à l'entrée du site. Une explosion s'est produite aussitôt.

Un homme serait ensuite entré en brandissant un drapeau islamique. On aurait retrouvé un corps décapité à l'entrée de l'usine, sur un grillage. Le ministre de l'Intérieur Bernard Cazeneuve s'est rendu immédiatement sur place. 

Suivez les événements minute par minute :

13 heures. «L'incendie est maîtrisé, il n'y a pas de risque toxique» à Saint-Quentin-Fallavier, selon la mairie jointe par l'Obs.

12h52. Le Parti socialiste a fait part de sa «grande émotion» après l'attentat. 
«Grande émotion devant cet attentat et son mode opératoire. Restons unis. Pas d'amalgames. Ne jouons pas sur les peurs», écrit sur Twitter le premier secrétaire du PS, Jean-Christophe Cambadélis.
 

12h50. «L'auteur de cette attaque a été arrêté et identifié», affirme Hollande.

12h47. François Hollande : «Le caractère terroriste de l'attentat ne fait aucun doute dès lors que des inscriptions ont été retrouvées sur la tête décapitée». 
«Un véhicule conduit par une personne, peut-être accompagné d'une autre et a vive allure se projette sur cet établissement classé Seveso. L'intention ne fait pas de doute : provoquer une explosion et de nature terroriste», a ajouté le président de la République qui ne veut «pas céder à la peur, créer des divisions inutiles». «Une solidarité m'a été témoignée au conseil européen. Chacun se souvient ce qu'il s'est passé en janvier. Mais l'émotion ne peut pas être la seule réponse. C'est l'action, la prévention, la nécessité de porter des valeurs, pas céder à la peur, pas créer des divisions inutiles.»

12h40. Les condoléances de Cameron. A Bruxelles, au sommet des chefs d'Etats et de gouvernements de l'UE, David Cameron, Premier ministre britannique, a exprimé ses condoléances à François Hollande face à cet «effroyable accident».

12h40. Une cellule de crise activée place Beauvau.

12h35. Rien ne prouve que le suspect interpellé avait des complices. L'autre homme aperçu dans la voiture avec lui, s'il y avait bien un deuxième homme, pourrait avoir agi sous la contrainte.

12h30. Un mort et deux blessés légers. Un premier bilan fait état d'un mort - l'homme décapité - et de deux blessés légers. La tête décapitée a été retrouvée accrochée à un grillage, selon une source proche du dossier. «Le corps a été retrouvé à proximité de l'usine mais on ne sait pas encore s'il a été transporté sur place ou pas», a-t-on souligné de même source.

12h28. L'Etat responsable de la sécurité des citoyens, tance Wauquiez. «L’Etat doit la plus grande protection aux citoyens devant la menace terroriste, qui a frappé l’Isère. L’horreur ne doit pas céder à la peur», tweete le secrétaire général des Républicains.

12h26. Un Conseil de Défense va être réuni à l'Elysée à 15 heures.Le président François Hollande va réunir ce vendredi à 15 heures un Conseil de défense après l'attentat commis en Isère, a annoncé le ministre de la Défense, Jean-Yves Le Drian, en écourtant une visite sur un site industriel, à Bordes, dans les Pyrénées-Atlantiques. «Malheureusement, un nouvel attentat terroriste vient de se produire, je suis donc obligé d'écourter ma visite», a expliqué le ministre aux salariés de l'usine Turbomeca (motorisation d'hélicoptères), peu avant midi. «A 15h00, le président de la République réunit un Conseil de défense, je le rejoins», a-t-il ajouté, se refusant à toute déclaration aux journalistes présents pour suivre sa visite.

12h25. Une bâche noire déployée à l'entrée de l'usine.

12h20. Marine Le Pen (FN) demande «immédiatement des mesures fermes et fortes pour terrasser l'islamisme». Pour l'heure, l'attentat n'a pas été revendiqué. 

VIDEO. La police sécurise les abords de l'entreprise Air Products(Le Dauphiné)


12h12. Hollande quitte le sommet européen. Hollande quitte le sommet européen. L'Elysée fait savoir que le président de la République sera de retour à Paris «en tout début d'après-midi». Il pourrait prendre la parole avant de quitter Bruxelles, «avant 13 heures».

12h10. Périmètre bouclé. Les forces de l'ordre établissent un vaste périmètre de sécurité autour du site d'Air Products, comme le montre cette photo prise par France bleu Isère.

12h05. La «colère et dégoût» de Cosse (EELV). «Face à la folie meurtrière, colère et dégoût. Solidarité avec les victimes et leurs familles. Ne laissons pas gagner la haine», tweete la secrétaire nationale du parti écologiste.

12 heures. Un témoin raconte avoir entendu une forte détonation.

AUDIO. Attentat en Isère: «On a entendu une forte détonation», témoigne Patrice


11h58. Bernard Cazeneuve, le ministre de l'Intérieur, est arrivé sur place. Il était dans le département voisin du Rhône, à Lyon, à l'école des commissaires.

11h58. Le parquet antiterroriste se saisit de l'enquête sur l'attentat en Isère.

 –

11h56. La menace terroriste est maximum, estime Alain Juppé.


11h56. Un site classé Seveso. La société Air Products est classée Seveso par le ministère du Développement durable. Le seuil de vigilance est «bas» concernant ce site. La classification Seveso répertorie les sites industriels dangereux. D'autres entreprises classées Seveso se trouvent à proximité d'Air Products à Saint-Quentin-Fallavier.

11hh55. Manuel Valls a donné l'ordre aux préfets de «mobiliser immédiatement» les forces de l'ordre. «Suite aux événements de Saint-Quentin Fallavier, le Premier ministre donne l'ordre aux préfets de mobiliser immédiatement les forces de l'ordre pour assurer une vigilance renforcée sur tous les sites sensibles de la région Rhône-Alpes», a-t-on indiqué. M. Valls, en déplacement actuellement en Amérique du sud, a demandé au ministre de l'Intérieur, Bernard Cazeneuve, de se rendre à Saint-Quentin Fallavier.

11h47. L'homme interpellé serait l'auteur présumé de l'attentat. Les enquêteurs recherchent d'éventuels complices.

11h46. Fioraso appel à «ne pas céder à la peur». Selon la députée de l'Isère et ancienne ministre, il faut «être vigilant sans céder à la peur, faire face tous ensemble. Comme cela a été fait avec dignité et force en janvier. Rien ne serait pire que diffuser un sentiment de peur. Il faut se mettre en résistance!» lance-t-elle sur iTélé.

11h45. Une preuve de la nécessité de la Loi renseignement, pour Ciotti. «Cet acte confirme les craintes que nous avions. Plus que jamais la fermeté doit s'imposer», tweete le député Les Républicains des Alpes-Maritimes, Eric Ciotti. Lui-même travaille en commission parlementaire sur la lutte contre les filières jihadistes en France. Et de défendre : «Ce nouvel attentat confirme l'impérieuse nécessité du projet de Loi renseignement.»

11h42. Le témoignage d'un voisin. «On a entendu une énorme explosion un peu avant 10 heures, raconte un employé de Fashion Partner, situé à moins de 100 mètres de l'usine. Les vitres ont tremblé. Les pompiers et la police sont arrivés très vite. Là, ils ont bloqué toute la rue, on reste à l'intérieur. Nous n'avons eu aucune consigne. Personne n'est venu nous voir. Il y a juste des pompiers devant chez nous».

11h40. Un «vrai choc» dans une région «très paisible», selon le député Binet. Selon Erwann Binet, député PS d'une autre circonscription de l'Isère, «on ne s'attendait pas à un tel événement arrive sur notre territoire». Toutefois, «depuis les attentats de janvier, ces entreprises (de produits chimiques, ndlr) ont renforcé leur sécurité», précise-t-il sur iTélé.

11h36. La tête décapitée et recouverte d'inscriptions en arabe, accrochée à un grillage.

11h32. L'usine chimique «Air Products» de Saint-Quentin-Fallavier est un fournisseur de gaz industriels. 
Il vend aussi des équipements et services associés (azote, oxygène, argon, hydrogène, acétylène, hélium...)



11h30. D'après le Dauphiné, l'homme interpellé était connu de la DGSI. Il serait âgé d'une trentaine d'années.

11h27. Eric Ciotti réagit sur Twitter : «Ce nouvel attentat confirme l'impérieuse nécessité du projet de loi renseignement»

11h30. Un large périmètre de sécurité a été établi.

11h25. Un bruit sourd entendu au moment de l'explosion. Caroline, employée d'un société d'assurance voisine, sur France Info : «J'ai entendu un bruit particulier et sourd. Les camions des pompiers sont arrivés avec la police. Nous avons cru que c'était un accident sur l'autoroute. J'ai prix peur en apprenant ce qui se passait».

11h22. La députée de l'Isère Joëlle Huillier «terrorisée». «On croit toujours que ça va arriver ailleurs, dans une grande ville... Je suis terrorisée. Je crois que maintenant, personne n'est à l'abri», s'inquiète sur BFM TV la députée PS de l'Isère, Joëlle Huillier.

AUDIO. Attentat en Isère : le témoignage de la députée PS Joëlle Huillier





11h20. Des bonbonnes de gaz ont explosé. Un des auteurs de l'attentat est entré dans l'usine Air Products un drapeau islamique à la main et y a fait sauter plusieurs bonbonnes de gaz. Selon le Dauphiné Libéré, l'attaque s'est produite vers 10 heures.

11h15. Une personne a été interpellée.

11h13. D'après une source de gendarmerie contactée par le Parisien, «des coups de feu ont été tirés».

11h05. Un corps décapité retrouvé à proximité de l'usine.
 Il aurait été déposé là avant l'explosion, dans le cadre d'une mise en scène.

11 heures. Un homme est entré dans l'usine «avec un drapeau islamique», selon une source proche du dossier.

10h50. Un attentat a fait au moins un mort et plusieurs blessés dans une usine de gaz industriels en Isère.

 

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