Souvent j’écris sur la « préférence étrangère » de nos élites mondialisées et chaque fois cela ne manque pas, nos lecteurs de gauche scrutant nos faits et gestes hurlent au populisme et à la démagogie. ...
...Pour en revenir au sujet du texte, j’affirme ici avec force qu’une « préférence étrangère » existe belle et bien, il s’agit même d’une politique d’Etat. Lorsque M. Hollande Président élu, dit en visite d’Etat en Algérie « développer l’emploi en Algérie et en France notamment en faveur de jeunesse algérienne », de quoi s’agit-il ?
Je pose la question. Ce n’est pas moi Mike Borowski qui le dit c’est M. Hollande. Le chômage de la jeunesse Française n’est donc pas assez élevé pour se préoccuper de celui de la jeunesse Algérienne ?
Visiblement M. Hollande répond par la négative à ma question, pour lui ce qui importe c’est l’autre. Il est persuadé comme l’ensemble de notre classe politique du changement de population, il est pour lui inéluctable et nécessaire.
Hollande ne croit pas dans la France, les Français. Pour lui il s’agit d’un vieux peuple, avec une culture désuète, des rites ringards, et une vision du monde allant à l’encontre de la sienne. Il faut donc s’en débarrasser.
Et qui de mieux qu’une jeunesse nord-africaine pour tuer un grand pays comme le nôtre ? Bertold Brecht disait en son temps « Quand le peuple vote mal, il faut changer le peuple.” Nous sommes en plein dedans.