Procès Échirolles : ils réclament le huis clos mais s'exhibent sur Facebook
" Nos enfants ont été assassinés en public, on voulait un débat public ", avait demandé lundi le père de Sofiane, l'une des deux victimes de la rixe d'Échirolles. Mais ce sont deux des douze...
La cour d'assises de l'Isère pourra méditer sur une phrase définitive d'un des meurtriers présumés postée sur Facebook : « Des erreurs ont troublé mon passé mais je ne regrette rien de tout ce que j'ai fait. » La violence dans laquelle baignent ces individus n'épargne personne, pas même les avocats des parties civiles. Ainsi, Me Hafida el-Ali du barreau de Paris a reçu ce texto menaçant : « Si tu lach pa afair echirolles on va te buter salope, sal vendu darabe. » Pour les familles des victimes, le procès risque d'être une épreuve particulièrement pénible.