Les libertés fondamentales sont rapidement suspendues au sein de l’Union Européenne où les états d’Europe de l’Ouest s’enfoncent dans une crise de confiance globale. Le gouvernement italien vient de faire voter une loi punissant de six ans de prison les opinions qu’il décrète illégales.
Le gouvernement italien a ainsi adopté une loi permettant de réprimer les critiques de la population à l’encontre du multiculturalisme, de la politique d’immigration ou de la question de l’islam au nom de la soi-disant “lutte contre l’incitation à la haine”. La loi prévoit de réprimer toute discussion sur la Seconde Guerre Mondiale. Un mélange de mesures confuses qui servent surtout à restreindre drastiquement la liberté d’expression des citoyens italiens (source).
Cette mesure intervient une semaine seulement après un accord signé entre l’Union Européenne et différentes plateformes d’échange sur internet (Facebook, Twitter, Youtube, etc.) pour la mise en place d’une stricte censure dans les 28 pays de l’UE. Selon l’accord, la censure des contenus interdits par Bruxelles devra prendre 24 heures au maximum (voir ici).