Cela n'a rien de bien original, me direz-vous. Une permanence du Front National "profanée" de slogans menaçants et vengeurs, par d'anonymes vandales. Les mêmes sans doute qui ont endommagé l'hôpital Necker à Paris, sous l'influence vraisemblable d'indicateurs de police, très présents parmi les "rebelles" anti-fascistes.
Il ne s'agit pas de défendre les uns contre les autres, mais de constater que ceux qui recherchent la guerre civile ne sont pas du côté de l'extrême-droite institutionnelle. C'est en tout cas le message de ce genre d'actes : "une balle dans la nuque"...
Une conception de la démocratie qui démontre l'absence d'arguments verbaux des sectes d'ultra-gauche comme des militants du pouvoir sur la défensive, qui n'ont plus rien à dire au peuple, mis à part présenter des excuses pour le triste état du pays après trente ans de construction européenne et de soumission à la mafia ultralibérale.
Les actes de harcèlements à l'égard des sympathisants FN, têtes de turc comme l'étaient autrefois les premiers de la classe, sont monnaie courante dans l'hexagone. Persécutions à domicile, voiture endommagée, licenciement, marginalisation sociale, rien n'est épargné à ceux qui affichent ouvertement leur sympathie au parti de Marine Le Pen. (...)
Revenons à notre permanence "relookée". Qui sont les chiens de garde qui ont agi, au-delà de l'anti-FN ? Car il ne faut pas s'y tromper, tous les souverainistes, patriotes, gaullistes et chevènementistes sont aussi visés. Les affiches du brave Asselineau et de son UPR sont régulièrement "nettoyées", comme celles du modeste parti ouvrier indépendant (pourtant très à gauche) sur le thème des traités européens. C'est donc bien l'idée d'indépendance nationale, de retour à l'état souverrain et du droit républicain que contestent les "antifas" anonymes... La xénophobie, les migrants et le reste passent après. Etonnant ? A voir...
A moins que les vandales ne soient des voyous affolés par un retour à l'ordre républicain en cas d'accession du FN aux affaires, ou des sympathisants de Daesh et de son armée d'attardés mentaux, qui chercheraient à détruire quelques mécréants idôlatres, les auteurs du harcèlement anti-souverainistes ne peuvent être que des militants proches du parti socialiste ou de l'extrême-gauche.
Dans tous les cas de figures, on ne peut que s'inquiéter des connivences de circonstances entre les gens cités dans ce paragraphe. Il est clair que le patriotisme dérange à la fois les mafiosi, les islamo-fanatiques et les politiciens corrompus. Nous voilà prévenus.
On se demande sur quels thèmes le président sortant et les candidats d'extrême-gauche feront campagne durant le scrutin électoral de l'an prochain ? La lutte contre le "fascisme" ? La collectivisation des moyens de production ? Le droit au mariage gay pour les mineurs ?
Quand un pouvoir n'a plus rien à dire, il devient totalitaire, violent, menaçant. L'exemple de Cahors est parlant... Les ennemis de la république ne sont pas ceux que l'on croit. A chacun d'entre nous d'être vigilant dans les années à venir, face à ces nouvelles formes de "fascisme" qui se développent, et dont les FN n'est pas l'instigateur. N'oublions jamais que ce n'est pas lui qui a assassiné cent-quarante personnes l'an passé, et surtout permis que cette situation se produise. A bon entendeur...