
Signe du double discours du gouvernement socialiste et de la présidence française, la protection de la mosquée de l’imam radical de Brest, le salafiste Rachid El Jay dit “Abou Houdeyfa”, a été considérablement renforcée.
François Hollande avait pourtant déclaré en avril dernier que ce “lieu de haine” avait été “fermé”.
Le Monde (source) :
“Son lieu de prière — je ne veux même pas utiliser ce mot — ce lieu de haine a été fermé”, a affirmé François Hollande.
Interpellé par Léa Salamé, qui lui a demandé s’il était normal que l’intéressé ne soit pas inquiété, le président a rétorqué ceci : “Il est inquiété, il est poursuivi et il est dans une procédure judiciaire. Donc nous devons lutter contre ces prêcheurs, ces partisans de la haine qui induisent la radicalisation.”
En réalité, cet auxiliaire des Frères Musulmans et de l’UOIF (lire ici) participe de la politique pro-islamiste.
C’est donc sans surprise que le prédicateur salafiste, protégé par la mairie PS de Brest et son chef de file, François Cuillandre, a pu bénéficier d’une protection renforcée suite aux innombrables appels à la fermeture de la mosquée fondamentaliste et de l’école coranique qu’il anime.
Le Télégramme (source) :
Côté police, selon nos informations, la fréquence des patrouilles a été renforcée aux abords de la mosquée. D’autres ont été mises en place aux abords de son domicile.
Ainsi après la vague d’attentats islamistes commis ces 18 derniers mois et en plein état d’urgence, la police protège de façon prioritaire les activistes islamistes connus pour leur radicalité…
Les protège de qui ? Des Français ?
Le gouvernement socialiste affiche ainsi son choix plutôt l’Islam que les Français….
Une réalité sur laquelle pourra méditer l’homme de la rue qui aura eu le tort de n’être ni musulman ni islamiste.
Rachid Abou Houdeyfa s’était encore illustré la semaine dernière en prenant fait et cause pour la “burqa de plage” – dite “burkini”…