Burka à la plage (rejetons le terme burkini destiné à le faire accepter pour une tenue comme une autre) : la stratégie est la même qu’en Corse : confisquer progressivement le territoire de la France.
Alors que plusieurs villes balnéaires ont été contraintes de durcir le ton et prendre des arrêtés d’interdiction, à Nice, 16 femmes ont intentionnellement bravé l’interdiction en 48 heures – et ont été verbalisées.
Hier lundi, les policiers municipaux, contraints de sillonner les plages ..., ont verbalisé huit femmes qui ont revêtu cette tenue de combat que les médias, osent appeler burkini (en rappel du bikini) pour banaliser la mise en place progressive de la loi de la sharia qui se cache derrière cette différente forme de terrorisme.
Certaines des mahométanes se trouvaient sur les plages de la Promenade des Anglais où 85 personnes ont été fauchées par un musulman le 14 juillet, dans les secteurs de Carras, Neptune, Florida et Voilier.
Les policiers ont également été contraints d’intervenir auprès de trois ... qui ont fait croire qu’elles ignoraient l’interdiction.
Et mardi, huit autres ... vêtues d’une burka de plage ont été verbalisées, toujours sur les plages de Nice.
Courageusement, le Premier ministre français Manuel Valls, (cité par Rosaly) a qualifié le port de cette burka pour ce qu’il est, un projet politique :
« le burkini est la traduction d’un projet politique de contre-société, basé entre autres sur l’asservissement de la femme. Derrière le burkini, il y a l’idée que par nature, les femmes seraient impudiques, impures, qu’elles devraient être complètement couvertes. Face à ces provocations, la République doit se défendre. »
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Jean-Patrick Grumberg pourDreuz.info.
Merci à Jean-Paul Ney @jpney pour les photos.
Source : nicematin.com