La Suède pourrait régler sa crise migratoire en créant un État au sein de son propre État. Ce territoire serait dédié aux migrants. Les lois nationales ne s’y appliqueraient pas. Cette proposition émane d’un directeur de la Banque Mondiale. Pas sûr que les Suédois apprécient…
Une idée du Chief Economist de la Banque Mondiale
Paul Romer, est aussi professeur à la Stern School of Business, basée à New-York et dédiée à l’urbanisme. Il a expliqué sa nouvelle approche à un journal suédois, le Dagens Nyhter.
L’économiste en chef de la Banque Mondiale a expliqué que les Suédois pourraient créer un territoire indépendant, où les lois suédoises ne s’appliqueraient pas. Les migrants pourraient y développer leur propre économie.
Vu son rôle très haut placé dans la banque mondiale, on ne peut pas déconnecter ses propos de l’institution qui le paye.
Une solution vendue comme « peu coûteuse »
Paul Romer vend son idée en expliquant qu’elle ne couterait rien au contribuable.
Il explique ainsi :
La question des réfugiés est un problème énorme, mais il y a des solutions possibles. La Suède, un pays à la population clairsemée, pourrait sous-louer un territoire de la taille d’Hong Kong.
Cela pourrait comprendre des millions de personnes qui s’auto-suffiraient, et qui ne coûteraient rien… Il est important que cette zone libre soit considérée comme indépendante, avec ses propres lois et règles, pas comme une partie de la Suède.
Ceux qui vivraient là ne seraient pas des citoyens suédois, mais vivraient complètement séparément du reste de la société.
Pour que ce plan fonctionne, l’économiste précise que les frontières devraient être hermétiques…
Bref, les Suédois se font violer par les migrants, dans tous les sens du terme. Il faut que les peuples d’Europe se réveillent.