«En Allemagne, c’est l’enfer avec les migrants. Les centres d’accueil sont à la dérive et le système judiciaire allemand n’a aucune autorité sur les demandeurs d’asile.»
«Des femmes et des enfants sont violés, réduits en esclavage. Ces gens ne respectent que la charia et se fichent de la justice allemande.»
Ce ne sont pas les activistes de Pegida ou les eurosceptiques d’AFD qui dépeignent ce tableau dramatique, mais le président du syndicat fédéral de la police allemande, Rainer Wendt.
Lors d’une interview à la chaîne N24, Wendt a utilisé des paroles de feu pour décrire la situation interne en Allemagne, critiquant la politique migratoire d’Angela Merkel :
«... le taux de criminalité à l’intérieur des centres, parmi les migrants donc, explose. Femmes et enfants sont violés, il y a des cas d’esclavage à côté de la délinquance ordinaire. Il y a trop de personnes dans un espace limité. Et les minorités doivent être protégées : femmes, enfants et chrétiens.
Les migrants ne respectent ni les policiers, ni la justice allemande. Ils ont l’impression de se trouver face à un système faible. Ils savent que leur comportement n’influencera pas la décision de leur accorder ou non le droit d’asile.
Or, aussi bien le système politique que judiciaire devraient leur faire comprendre qu’ici en Allemagne, ce n’est pas la loi de la charia qui est en vigueur et celui qui commet des délits va en prison.»
«De nombreux migrants délinquants considèrent le laxisme du système judiciaire allemand comme un feu vert à la délinquance.
Ils sont habitués à des peines plus sévères dans leur pays d’origine. Ils ont aucun respect pour nous» a renchéri Freddi Lohse du syndicat de la police de Hambourg.
De nombreux délits sont classés sans suite et des délinquants sont libérés après avoir été condamnés à des peines avec sursis ou quelque chose d’équivalent. Oui, ce qui se passe aujourd’hui dans les tribunaux est une blague.» a également déclaré Tania Kambouri, officière de police.
... Récemment, le journal Bild a révélé l’existence d’une pétition secrète de certains parlementaires de la majorité, pour la construction d’un mur aux frontières du pays, afin de faire barrage à la marée montante de migrants qui cherchent à s’établir en Allemagne. Cette pétition a recueilli 188 signatures.
En octobre dernier, Thomas de Maizière, le ministre de l’Intérieur avait suggéré, pour faire face à l’émergence migratoire :
«Que les migrants sauvés en Méditerranée soient renvoyés en Afrique. Cette mesure éviterait de nouvelles tragédies et éradiquerait les organisations de trafiquants d’êtres humains.»
Cette proposition sacrilège pour les adeptes de la névrose religieuse «droit-de-l’hommisme» suscita immédiatement une vive protestation de la part de l’opposition, qui hurla au scandale, car le droit d’asile est sacré.
De Maizière, toutefois, n’hésita pas à déclarer :
«Eliminer la perspective de rejoindre l’Europe pourrait les inciter à s’abstenir à risquer leur vie dans un voyage aussi périlleux. Une fois ramenés en Tunisie, en Egypte ou autres pays d’Afrique du Nord (pays, qui évidemment devraient collaborer avec l’UE) les migrants pourraient présenter leurs demandes d’asile et si ces dernières étaient acceptées, cela leur permettrait de rejoindre l’Europe en toute sécurité.»
(...) «Si tout se passe bien, a expliqué Frank-Jürgen Weise, responsable du BAMF (Bundesamt für Migration und Flüchtlingen), nous nous maintiendrons sous la barre des 300 000 arrivées. Nous disposons de personnel suffisant pour gérer ce nombre de migrants, même si nous manquons d’experts pour détecter les faux passeports.»
En Italie, si le flux de migrants actuel se poursuit en 2017, le pays, dont la situation économique est proche du gouffre, risquera la faillite, car quatre milliards supplémentaires devront être trouvés pour la gestion des «réfugiés».
Il sera dès lors nécessaire de récupérer de l’argent au détriment des citoyens italiens. Le monstre migratoire est en train de les dévorer, lentement, mais inexorablement.
Tandis qu’ils s’appauvrissent, les mafias, associations caritatives, coopératives et autres organisations «bénévoles» s’enrichissent, de même que les organisations criminelles de trafiquants d’êtres humains.
Il est juste de s’apitoyer devant les femmes défigurées à vie et les enfants orphelins et c’est un devoir de les assister. Mais, nous ne devons pas oublier que certains migrants sont aussi utilisés comme des chevaux de Troie.
«Et nous, nous devrions diminuer les pensions de nos anciens, augmenter les taxes, pour financer ces gens qui sèment la mort avec férocité ailleurs dans le monde ! Sortons de cette rhétorique humanitaire. Seul un petit pourcentage de ces migrants est socialement gérable et compatible avec notre démocratie.
En 2017, plus de 200 000 migrants pourraient à nouveau débarquer sur nos côtes, si pas plus. Il n’y a pas d’autres solutions : ces gens ne doivent pas quitter les côtes libyennes sur les barques des mafieux, quitte à utiliser la force.
Bientôt, nous ne serons plus à même de les sauver, mais eux nous entraîneront vers le fond. Vouloir les satisfaire à tout prix, comme souhaité par de nombreux utopistes, nous précipitera vers notre ruine sociale, politique et économique.»
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