Les preuves de la soumission de la France à l’islamo-gauchisme ne cessent de s’accumuler ces dernières années, et je n’entends pas ici en dresser la liste une fois de plus.
(...)Comme l’a très justement noté Ivan Rioufol dans « Le Figaro », au temps du nazisme, il était au moins question, quand on voulait rendre hommage à des morts, de dire qu’ils avaient été victimes de la barbarie nazie.
Aujourd’hui, le mot « barbarie » lui-même semble être trop fort, et toute évocation de l’islam ne peut se faire que pour dire que c’est une religion de paix.
Dire « barbarie djihadiste » est impensable, et quiconque ose le faire se trouve immédiatement accusé d’être « fasciste », bien sûr.
La plaque déposée devant le Bataclan est plus elliptique encore que les autres, puisqu’elle évoque seulement des vies « fauchées ».
C’est très grave, car ceux qui verront ces plaques dans le futur pourront être tenus dans l’ignorance de ce qui s’est vraiment passé et n’auront peut être accès qu’à une version édulcorée et profondément falsifiée des faits.
Des millions de Français sont sommés jusqu’à ce jour de ne pas en vouloir aux assassins
(...) Des millions de Français sont sommés jusqu’à ce jour de ne pas en vouloir aux assassins. Manuel Valls et l’homme au scooter qui réside encore à l’Élysée ont un instant dit que la France était en guerre.
Les grands médias français n’ont, eux, cessé de brandir le drapeau blanc, tout comme les milieux culturels français.
Pour la réouverture du Bataclan, il a été choisi d’inviter un artiste anglais conforme à l’islamo-gauchisme régnant dans les grands médias et dans les milieux culturels susdits. Le chanteur en question a terminé son concert par une chanson appelée « Inch Allah » autrement dit : si Allah le veut.
Je n’ai aucune intention d’écouter la chanson ou d’en lire le texte. Le simple fait de terminer par une chanson demandant que la volonté d’Allah soit faite dans un lieu où des dizaines de personnes ont été assassinées au nom d’Allah est une répugnante abjection et un geste de soumission indigne. Nous en sommes là ? Oui, nous en sommes là.
Comme si cela ne suffisait pas, deux membres du groupe Eagles of Death Metal, dont le chanteur, Jesse Hughes, présents à Paris pour la commémoration, se sont vu refuser l’entrée du Bataclan, parce que Jesse Hughes a tenu des propos inadmissibles pour l’imbécillité politiquement correcte.
Il a osé dire avoir vu des musulmans qui se réjouissaient des actes djihadistes. Il a osé ajouter qu’il était favorable au port d’armes et évoquer son soutien à Donald Trump. Depuis, il subit un boycott total des médias et des organisateurs de concerts en France. Je suis presque étonné qu’il ne soit pas refoulé aux frontières de la France.
J’aimerais penser qu’un redressement de la France pourra s’opérer à partir de mai 2017, si la France retrouve un Président digne de ce nom. J’aimerais penser que le fait que les États-Unis aient retrouvé un Président digne de ce nom sera un signe fort.
L’islamo-gauchisme qui règne en France ne tombera pas aisément. Son règne est néanmoins devenu insupportable.
© Guy Millière
Adapté d’un article publié sur les4verites.com
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