Les médias sont désespérés. Ils ont fait une fantastique campagne électorale pour faire gagner leur candidate, ils dominaient l’info parce qu’ils en ont le monopole, et Clinton a pourtant perdu.
L’un des premiers chiffres de la structure de l’élection corrige un gros mensonge des journalistes, qui décrivent l’électeur de Trump avec dédain comme étant un « mâle blanc sans éducation ».
Les médias aiment ajouter « raciste, sexiste, xénophobe, homophobe, islamophobe et irrécupérable ».
Qu’ils se souviennent cependant qu’Hillary Clinton les a devancés en décrivant les électeurs de Trump comme « un panier de gens déplorables », et cela ne lui a pas porté chance : des centaines de milliers de démocrates ont tourné le dos à Clinton et voté pour Trump.
Mais ce sont surtout les noirs qui ont scellé la victoire de Donald Trump, apprend-on maintenant — et l’on voit ici pourquoi les socialistes ne veulent pas de statistiques ethniques qui révéleraient des vérités qui les dérangent :
Les Afro-Américains se sont détournés d’Hillary Clinton
- Plus d’un million d’Afro-Américains ont tourné le dos à Hillary Clinton, comparé à l’élection de 2012, et les sondages révèlent que la raison majeure est qu’ils n’ont pas confiance en elle.
- 15,6 millions d’Afro-Américains ont voté démocrates, contre 16,7 millions en 2012.
- L’effet a été dévastateur :
- Trump a gagné le Wisconsin avec seulement 27 000 voix de plus qu’Hillary,
- Le Michigan avec seulement 12 000 voix,
- La Pennsylvanie avec 68 000 voix de plus que sa concurrente.
Le vote noir pour le candidat républicain a progressé
- 13 % des hommes afro-américains ont voté pour Trump, contre 11 % pour Mitt Romney en 2012.
- Le vote féminin noir a été de 4 %, contre 3 % en 2012.
Conclusion
La conclusion va certainement déplaire aux journalistes et experts qui noircissent constamment l’image de Trump — et vont la noircir pendant les 8 ans de sa présidence (S’il réalise ce qu’il a promis, il sera certainement réélu) ...
Et hélas, pour beaucoup qui prétendent ne pas être influencés par les médias, cela fonctionne très bien.
La conclusion est que si les Afro-Américains avaient voté démocrates comme en 2012, c’est Hillary Clinton qui aujourd’hui serait présidente.
Ah j’oubliais presque de dénoncer cet autre mensonge : Trump a battu Clinton sur le vote féminin blanc par 53 % contre 43 %.
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Mais comptez sur Dreuz pour ne pas les laisser vous intoxiquer. Nous serons là pour vous rapporter les faits.
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