La France ne l'a pas perçu à l'époque, mais elle s'est placée dans un piège, et le piège se referme.
Dans les années 1970, les Palestiniens ont commencé à utiliser le terrorisme international, et la France a choisi d'accepter ce terrorisme pour autant que la France ne soit pas touchée. Dans le même temps, la France a accueilli une immigration de masse venue du monde arabo-musulman, bien sûr imprégnée de la volonté musulmane d'épandre l'islam. La population musulmane en France a depuis connu une expansion numérique sans pour autant assimiler.
Les sondages révèlent qu'un tiers des Musulmans français veulent l'application intégrale de la charia islamique. Ils montrent également qu'une majorité écrasante des Musulmans français sont en faveur du djihad, et en particulier du djihad contre Israël, un pays qu'ils aimeraient voir effacé de la surface de la terre.
« Il vaut mieux partir que fuir. » — a dit Sammy Ghozlan, président du Bureau national de vigilance contre l'antisémitisme. Il s'est fait agresser. Sa voiture a été incendiée. Il est parti.
Villiers mentionne également la présence dans des « zones interdites » de milliers d'armes de guerre. Il ajoute que les armes n'auront probablement pas à être utilisées ; les islamistes ont déjà gagné.
À l'origine, les rêves de la France ont été de se substituer à l'Amérique en position de puissance mondiale, de bénéficier d'un pétrole bon marché, de passer des contrats avec des pays islamiques riches en pétrole, et de pouvoir échapper au terrorisme intérieur.
La France est en ébullition. Les « migrants » arrivant d'Afrique et du Moyen-Orient sèment le désordre et l'insécurité dans de nombreuses villes. Le gigantesque bidonville communément appelé « la jungle de Calais » vient d'être démantelé, mais d'autres bidonvilles émergent chaque jour.
Dans l'Est de Paris, des rues entières ont récemment été recouvertes de tôle ondulée, de toile cirée et de panneaux disjoints. La violence y règne. Les 572 « zones interdites » que compte le pays, officiellement définies comme « zones urbaines sensibles », continuent de croître...