Sur les 1,2 million de migrants arrivés en Allemagne en 2014 et 2015, seuls 34 000 ont trouvé du travail.
Angela Merkel est allée déposer des roses blanches sur la scène de l'attaque du marché de Noël à Berlin. Des milliers d'Allemands ont fait la même chose. Nombre d'entre eux ont apporté des bougies et ont pleuré. Mais la colère et la volonté de se battre contre la menace sont restées largement absentes.
Rien ne décrit mieux l'état actuel de l'Allemagne que le triste sort de Maria Landenburger, une jeune fille de 19 ans, assassinée au début du mois de décembre. Membre d'une organisation de secours aux réfugiés, Maria Landenburger faisait partie de ceux qui ont accueilli les migrants en 2015.
Elle a été violée et assassinée par l'un de ceux qu'elle a aidé. Sa famille a demandé à tous ceux qui voulaient rendre hommage à leur fille de donner de l'argent aux associations d'aide aux réfugiés, afin que davantage de migrants puissent venir en Allemagne.La loi qui condamne l'incitation à la haine, destinée vraisemblablement à empêcher un retour aux idées nazies, est suspendue comme une épée de Damocles au dessus de quiconque parle trop rudement de l'islamisation croissante du pays.
La grande majorité des Allemands se refusent à voir que l'Allemagne est en guerre, parce qu'un ennemi impitoyable lui a déclaré la guerre. Ils ne veulent pas voir que la guerre a été déclarée à la civilisation occidentale elle-même. Ils acceptent la défaite et font docilement ce que les jihadistes veulent qu'ils fassent: ils se soumettent.
Si Angela Merkel ne voit pas la différence entre les Juifs exterminés par les nazis et des Musulmans menaçant d'exterminer les Chrétiens, les Juifs et d'autres musulmans, elle est encore plus incapable de comprendre qu'il ne semble.
La situation dans laquelle les Allemands sont placés est extrêmement difficile à supporter, et ce depuis plus d'un an. La criminalité a "grimpé en flèche; des maladies disparues depuis des décennies ont fait leur retour sans que des vaccins soient disponibles pour les endiguer.