Donald Trump n’a pas chômé depuis qu’il est devenu Président des Etats-Unis. Il a démarré les chantiers dont il n’a eu de cesse de parler durant toute l’élection, ces chantiers pour lesquels les américains l’ont élu. Cela ne semble pas être bien compris par la presse subventionnée de France, qui s’offusquerait presque de voir un homme élu tenir ses promesses électorales.
Ainsi, Donald Trump va lancer la construction du mur entre les États-Unis et le Mexique pour se protéger de l’immigration illégale, l’une de ses promesses majeures. Mais dès lundi soir, le candidat Républicain a signé un décret prévoyant l’interdiction du financement des ONG soutenant l’IVG par des fonds fédéraux d’aide internationale. Plusieurs cliniques devraient fermer en conséquence.
Pis encore pour la presse subventionnée, un président s’est mis en action dès le premier jour ! Effectivement, difficile de trouver un exemple comparable en France … Dès son entrée à la Maison Blanche vendredi 20 janvier, le nouveau président a signé un décret contre la loi sur l’assurance-maladie, l’« Obamacare ».
Le texte ordonne aux diverses agences fédérales de « soulager le poids » de cette réforme, la plus emblématique de la présidence de Barack Obama, en attendant son abrogation et son remplacement, (...)
Il projette également de protéger son pays contre le terrorisme islamiste : selon un décret intitulé « Protéger la nation d’attaques terroristes par des étrangers » et dont une copie a été publiée par le Washington Post, l’administration s’apprête à suspendre pour un mois l’arrivée sur le sol américain de ressortissants de sept pays musulmans (Irak, Iran, Libye, Somalie, Soudan, Syrie et Yémen).(...)
« Une coprophagie médiatique »
Depuis son accession à la Maison Blanche, la presse française apparaît comme déchaînée : chaque mesure prise serait « controversée », son administration serait « vide », Donald Trump ferait des « choix à hauts risques », la Croix s’interroge pour savoir si le Président de la première puissance mondiale sera en « mesure de faire ce qu’il dit ».
(...) L’avocat Gilles William Goldnadel a parfaitement résumé la situation actuelle lorsqu’il relate dans les colonnes du Figaro la brillante « chronique d’un lynchage médiatique, intellectuel et artistique » concernant Donald Trump.
Ce dernier explique notamment – comme une forme de conclusion à notre article : « les mêmes médias qui couvrent de fange la fâcheuse sphère et les fake nauséabonds d’Internet n’hésitaient pas à pratiquer la coprophagie médiatique, comme si, pour contester la légitimité du président impie, les pires moyens devenaient légitimes, dans la grande tradition géométrique et variable de la gauche morale.»
Yann Vallerie
Photo : DR
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