Les deux candidats ont rencontré hier à Paris Abou Mazen, alias Mahmoud Abbas
D’un côté, il y a Macron – que beaucoup de juifs ne voient pas forcément d’un mauvais œil – et pourtant qui n’a pas sa langue dans sa poche pour critiquer les valeurs du savoir juif (il avait vertement dénoncé les écoles juives, alors que celles-ci ont les meilleurs taux de réussite au bac).
De l’autre, il y a Benoit Hamon, le candidat d’Israël. Hamon, le candidat qui permettrait à Israël de voir sa population augmenter d’au moins 100.000 juifs de France en 5 ans.
En ce qui concerne Hamon, il est très drôle de voir qu’il considère que l’Etat palestinien est un préalable à la paix… Alors qu’il ne peut pas y avoir de paix (et de changements de statuts) sans négociations directes, comme le veulent les accords d’Oslo – accords tant promus par Hamon.
Par Ariel Melles – JSSNews