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28 mai 2017 21:40

Les journaux européens, à de très rares exceptions près, parlent de l’attentat de Manchester avec les mots aseptisés habituels et font tout leur possible pour ne pas incriminer la religion d’amour et de paix bien connue.

Même les expressions “islam radical” et “terrorisme islamique” ne sont guère utilisées. Des mots comme “kamikaze” se retrouvent, par contre, souvent.
Les journalistes qui utilisent ce mot ne savent sans doute rien de la culture japonaise et de la religion shinto, de ce que sont les kami et de l’origine de l’expression kamikaze (vents divins) qui date du temps de la tentative d’invasion du Japon par Kublai Khan, en 1274, mais si des journalistes devaient perdre leur emploi pour ignorance et analphabétisme, les salles de rédaction européennes seraient désertes.

Le mot shahid, qui désigne le Musulman qui meurt dans un acte de djihad est, par contre, totalement absent. L’adjectif “radicalisé” est très utilisé, mais nul ne peut savoir ce qu’il désigne, bien qu’il soit aisé de se douter que ceux qui sont “radicalisés” ne sont pas des Bouddhistes tibétains.

Dans le contexte de la culture musulmane, ce recours aux mots ne peut être considéré que comme un signe de méprisable lâcheté et de soumission, et comme une incitation à aller plus loin dans la direction du djihad conquérant.

Mais les journalistes ne sont pas les seuls à se conduire de cette façon. Les dirigeants politiques ne valent, pour la plupart, pas mieux.

Emmanuel Macron, l’homme qui pense que les Français vont devoir s’habituer à des “incidents” tels que l’attentat de Manchester et qui a parlé en ces termes après l’attaque djihadiste sur les Champs Elysées  a dit son « effroi » et sa « consternation », puis a adressé au peuple britannique “toute la compassion et la sollicitude de la France qui se tient à ses côtés dans le deuil avec une pensée particulière pour les victimes et leurs familles ».

Angela Merkel s’est déclarée “triste”. Theresa May a invoqué “l’esprit de la Grande Bretagne” et “l’esprit de Manchester” (quel esprit?) et a élevé le niveau d’alerte au Royaume Uni, parlant d’une autre attaque, peut-être imminente.

Les journaux européens, à de très rares exceptions près, parlent de l’attentat de Manchester avec les mots aseptisés habituels et font tout leur possible pour ne pas incriminer la religion d’amour et de paix bien connue.

Même les expressions “islam radical” et “terrorisme islamique” ne sont guère utilisées. Des mots comme “kamikaze” se retrouvent, par contre, souvent. Les journalistes qui utilisent ce mot ne savent sans doute rien de la culture japonaise et de la religion shinto, de ce que sont les kami et de l’origine de l’expression kamikaze (vents divins) qui date du temps de la tentative d’invasion du Japon par Kublai Khan, en 1274, mais si des journalistes devaient perdre leur emploi pour ignorance et analphabétisme, les salles de rédaction européennes seraient désertes.

Le mot shahid, qui désigne le Musulman qui meurt dans un acte de djihad est, par contre, totalement absent. L’adjectif “radicalisé” est très utilisé, mais nul ne peut savoir ce qu’il désigne, bien qu’il soit aisé de se douter que ceux qui sont “radicalisés” ne sont pas des Bouddhistes tibétains.

Dans le contexte de la culture musulmane, ce recours aux mots ne peut être considéré que comme un signe de méprisable lâcheté et de soumission, et comme une incitation à aller plus loin dans la direction du djihad conquérant.

Mais les journalistes ne sont pas les seuls à se conduire de cette façon. Les dirigeants politiques ne valent, pour la plupart, pas mieux.

Emmanuel Macron, l’homme qui pense que les Français vont devoir s’habituer à des “incidents” tels que l’attentat de Manchester et qui a parlé en ces termes après l’attaque djihadiste sur les Champs Elysées (ce qui ne l’a pas empêché d’être élu, ce qui montre que les Français acceptent la perspective d’autres attentats djihadistes en France et s’apprêtent à user de bougies, de fleurs et de larmes) a dit son « effroi » et sa « consternation », puis a adressé au peuple britannique “toute la compassion et la sollicitude de la France qui se tient à ses côtés dans le deuil avec une pensée particulière pour les victimes et leurs familles ».

Angela Merkel s’est déclarée “triste”. Theresa May a invoqué “l’esprit de la Grande Bretagne” et “l’esprit de Manchester” (quel esprit?) et a élevé le niveau d’alerte au Royaume Uni, parlant d’une autre attaque, peut-être imminente. 

Le recours aux mots, là encore, ne peut être considéré que comme un signe de méprisable lâcheté et de soumission. Et le djihad conquérant a encore de beaux jours devant lui avec des dirigeants politiques de cette sorte....

Les peuples européens acceptent le sacrifice et les meurtres de masse puisqu’ils ne se révoltent pas

Il est devenu quasiment impossible en Europe de désigner le danger islamique par son nom et de dire qu’une guerre nous a été déclarée que nous sommes en train de perdre.

Il n’y a pas un seul dirigeant politique européen au pouvoir qui soit prêt à mener la guerre en s’en donnant les moyens politiques, économiques, juridiques, policiers et militaires. Si Winston Churchill était vivant aujourd’hui au Royaume Uni, ce serait un marginal unanimement fustigé.

...

Israël a Binyamin Netanyahu.

L’Europe n’a personne.

Les dirigeants européens au pouvoir aujourd’hui sont complices des assassinats islamiques commis contre leurs peuples. Le grand journaliste italien Giulio Meotti les accusait récemment de sacrifier délibérément la vie d’hommes, de femmes, d’enfants tels ceux tués à Manchester et d’être complices de meurtres de masse. Il a raison.

Les peuples européens acceptent le sacrifice et les meurtres de masse puisqu’ils ne se révoltent pas et votent pour ceux qui les conduisent à l’abattoir.

C’est parce que je me sens de moins en moins européen que je suis parti.

© Guy Millière pour Dreuz.info. Toute reproduction interdite sans l’autorisation écrite de l’auteur.

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