Pierre Antoine Molina le fonctionnaire -aux – milliards qui pourrit la vie des villages français.
Qui donne cet argent, comment et pourquoi, pour financer ces centres CAO qui reçoivent les migrants en première ligne,les logent, les nourrissent, les chauffent, les blanchissent. Avec service de sécurité et accompagnants.
Des heures de recherches pour déployer la pieuvre et essayer de comprendre,une fois la question posée : qui ,à la tête de l »Etat peut prendre des décisions aussi dingues.
Cela vient du Ministère de l’intérieur, bien sûr.
Un certain Pierre Antoine Molina (mis en place et protégé
par Cazeneuve) ; directeur du DGEF (direction générale des étrangers en France) organisme qui détient dans ses mains toute l’ autorité régalienne et des milliards d’euros pour gérer les organismes suivants qu’il représente à travers Le Service de Pilotage et Services d’information (SPSI) et le Bureau de Gestion mutualisée des Fonds Européens (BGMFE)
La DGEF ( MR Molina) est responsable directement ,au sein du ministère de l’Interieur de:
la FAMI (fonds asile, migration, intégration)
le FSI (fonds sécurité interieure)
Hmmm ça sent bon le fric, tout cela.
Attendez donc la suite : que des milliards.
Molina est aussi administrateur de la » part d’ Etat » (45%° ) dans deux business extra – juteux :
l’ ADOMA(1) : Hebergement social / 535 millions de chiffre d’affaires en 2016 ( investissements immobilier,foncier,services,
gestion, activités autour de l’hebergement social) 1800 employés.
l’ AGENCE Francaise de Développement: Budget 2016 / 9 milliards 400 mille euros(distribue cet l’argent dans le monde entier -dont 50% en Afrique – ET aussi Moyen Orient, Amérique latine, pacifique etc… ).
Organisme dont la mondialisation est l’enjeu de base.
La mondialisation de la pauvreté, c‘est le nouveau business de l’immigration et… des investissements à long terme (avant que ça leur pète à la gueule comme on peut l’imaginer) sur la migration et immigration, enjeu géopolitique aussi. Beaucoup de monde est sur le coup.
Que des cadors que l’on peut retrouver sur le programme des journées EHESS /L’ECONOMIE EN QUETE DE TERRITOIRES (organisées par Emmanuel Chiffre ).
Alors, vous pensez, le petit centre de Dinard au fond de la rue des Corbières fait partie d’un plan – business politico économique sans état d’âme et monstrueux.
Ce petit centre est une goutte d’eau dans l’océan...
Même pas l’ombre d’une question de la part de ce Monsieur Molina : qui ça peut gêner, les conséquences sur une population, un village, des familles, un environnement humain ; alors vous pensez, le petit centre des corbières avec ses 30 Soudanais ou Erythréens…
La cohésion sociale fait partie des fonctions du ministre de l’intérieur mais il faut dire que cela ne le dérange pas de la foutre en l’air cette cohésion, à Dinard, en pleines vacances d’été.
C’est ça qui est dégueulasse et en plus c’est le contribuable qui paye (avec l’Europe, et partenaires privés dans lesquels il serait instructif de mettre le nez : tapez le nom des organismes cités et lisez leur pub institutionnelle)
Dans le nouvel organigramme du ministère de l’intérieur , le nom du nouveau Directeur de la Direction Generale des Etrangers n’apparait pas encore. On verra si c’est toujours Molina, énarque né en 1977, génération Macron, banquier par profession…
Or, Adoma c’est un sacré business… Lié notamment à la vente par accordhotels de 62 formule 1 destinés à être transformés en structures d’hébergement pour les « migrants ». Accord hotels vend à Adoma…
Le Figaro ne parle que de SNI qui gère avec l’Etat le groupe Adoma :
Pour assurer ses nouvelles missions d’accueil de personnes en grandes difficultés, elle a multiplié les partenariats publics et privés. Elle travaille au niveau national avec les restos du cœur et a aussi noué des collaborations avec la Fondation Abbé-Pierre et créé sa propre association pour gérer des centres d’accueil hivernal pour les sans domicile fixe (SDF), l’association Bleu Nuit.
Elle renforce aussi ses liens avec La Caisse des dépôts et consignations afin de répondre aux besoins en matière de logement d’urgence. En 2010, un apport, en compte courant d’actionnaires, de la SNIet d’Action Logement (ex. 1 % logement) et l’arrivée d’une nouvelle équipe dirigeante conduit au départ de plus de 250 salariés dans le cadre d’un plan de restructuration poursuivi en 20112.
En avril 2017, le groupe AccorHotels annonce qu’il vend 62 hôtels à bas coût à Adoma qui compte les transformer en structures d’hébergement et d’accueil pour les clochards ou les réfugiés. La fermeture des 62 hôtels est assortie de départs volontaires, portant sur 393 emplois3. Wikipedia