• : Presse Internationale : Géopolitique Religions Immigration Emploi Economie Géostratégie---International Press Review ---- Обзор международной прессы
  • Contact

suivez-nous aussi sur :

Rechercher

 

 

 

 

13 juillet 2017 20:20

Commentant les déclarations de la CIA sur l’existence de preuves concernant l’attaque chimique à Idlib, un assistant du secrétaire général du parti «La Fédération des forces syriennes», annonce à Sputnik que cette affirmation n’aurait rien à voir avec la réalité et, au contraire, aurait pu mettre Washington dans une «situation embarrassante».

Les affirmations du directeur de la CIA Mike Pompeo relatives aux preuves selon lesquelles Damas aurait mené l'attaque chimique le 4 avril dernier à Khan Cheikhoun ne correspondent pas à la réalité, estime, dans une interview à Sputnik, l'assistant du secrétaire général du parti «La Fédération des forces syriennes», Saad al Kasir.

«Si les États-Unis possédaient réellement de telles preuves, ils ne les auraient pas caché aussi longtemps. Les preuves doivent impérativement être fournies pour l'enquête», a-t-il affirmé.

Selon lui, après cette déclaration, «les Américains ne peuvent plus ne pas les présenter, car autrement cela pourrait être considéré comme un recel de preuves contre l'enquête».

«C'est déjà un crime pour lequel les États-Unis pourraient être appelés à comparaître dans l'enquête internationale», a-t-il expliqué, ajoutant que M.Pompeo souhaitait «garder une belle image de son pays». Mais avec cette affirmation, il l'aurait mis «dans une situation embarrassante».

«Tout le monde sait que cette histoire d'attaque chimique était un coup monté. Nos amis russes ont présenté des démentis contre toutes les fausses accusations à l'encontre de la Syrie. Cela a été possible grâce aux nouvelles technologies à l'aide desquelles tous les déplacements des djihadistes et des militaires dans la région en question, au moment et avant l'attaque, avaient pu être observés», a relaté M.Al Kasir.

...

 

SOURCE

Partager cet article

Repost0
CITOYENS ET FRANCAIS