15 août 2017
23:25
Une deuxième enquête peut faire basculer les Ong.
Cette fois-ci, cela provient du Parquet de Catane (Sicile).
Il concerne le dossier suivi par le procureur Carmelo Zucarro, le premier à dénoncer les liens présumés entre les migrants, les trafiquants et les ONG.
Il concerne le dossier suivi par le procureur Carmelo Zucarro, le premier à dénoncer les liens présumés entre les migrants, les trafiquants et les ONG.
En Catane, tel que rapporté par ilFattoQuotidiano, on suppose le délit d'association de malfaiteurs « visant l'aide à l'immigration clandestine ».
En effet, l'hypothèse est que certains membres des Ong concernées ne sont pas seulement entrés en contact avec les trafiquants, mais ils ont partagé avec eux quelques stratégies pour donner suite aux sauvetages et aux transbordements des migrants.
C'est ici la différence importante entre l'enquête de Trapani et celle de Catane.
Les magistrats de Trapani sont en train d'enquêter sur le comportement individuel de certains membres des équipages des ONG, sans cependant avancer l'hypothèse d'un plan uni.
Apparemment, l'enquête de Catane est bien plus vaste que celle de Trapani.
Les enquêtes sur les contacts entre les passeurs et les ONG sont bien plus profondes et ont signalé non pas une activité sporadique mais un accord continu probable entre les équipages et les passeurs pour les sauvetages.
De fait, le délit supposé est bien plus lourd que ceux envisagés à Tripani.
Le scénario de l'enquête pourrait donc changer et donner presque un visage "systémique" aux rapports et aux contacts entre les Ong et les trafiquants d'êtres humains.
Le scénario de l'enquête pourrait donc changer et donner presque un visage "systémique" aux rapports et aux contacts entre les Ong et les trafiquants d'êtres humains.
CITOYENS ET FRANCAIS