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david MIEGE
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11 septembre 2017 18:27

Les scènes de pillage et les actes de violence anti-Blancs à Saint Martin, illustrent à merveille la réalité d’une société multiraciale, dès lors que l’ordre républicain ne règne plus sur le pays et que les populations sont sans protection : la haine se libère et se déchaîne contre les sales Blancs.

“On craint pour la sécurité de nos enfants, et on va finir par former une sorte de milice pour garder la sécurité”, dit un père de famille.

“La mission prioritaire des gendarmes  envoyés sur place : investir au mieux les quartiers des villes, notamment de Marigot, où courent les rumeurs les plus folles depuis que l’on a appris le pillage de l’armurerie de la police aux frontières et des douanes : attaque dans les domiciles des gens à main armée, coups de feu à répétition, descente de gangs dans divers quartiers, etc.”

Cette haine des Blancs n’est pas une nouveauté.

Chacun se souvient de ce malheureux gendarme, percuté par une moto en 2006 lors d’un rodéo sauvage à Saint Martin.

Agonisant sur la route, il ne reçut aucune aide des Noirs attroupés autour de lui.

Pire, son décès fut accompagné d’insultes et de propos racistes qui émurent la France entière, au point que le général directeur de la gendarmerie fut envoyé sur place pour calmer les esprits.

Pourtant, les autorités firent tout pour minimiser ces faits intolérables, excluant tout racisme. Sarkozy était alors ministre de l’Intérieur.

L'enquête semble s’orienter pour l’instant plus vers des « propos indignes » tenus par « une petite minorité de personnes marginalisées », selon la gendarmerie, que vers des comportements racistes.” Quelle hypocrisie !

Nier le racisme anti-Blancs, c’est l’encourager.  C’est la lâcheté des autorités qui mène au chaos.

On a d’ailleurs vu les mêmes scènes à  Mayotte en 2016, lors des grèves qui ont paralysé l’île. Voici ce qu’on pouvait entendre en 2016 :

“ Des blindés de la gendarmerie traversent le village, un hélicoptère tourne en permanence avec des projecteurs la nuit et lance des bombonnes lacrymogènes pour faire fuir les groupes de délinquants. L’autre jour, une chasse aux « n’zungus » (ndlr, les blancs) a été lancée par des jeunes. On n’ose plus sortir pour aller au travail. Mes enfants sont déscolarisés depuis le début des événements, on croule sous les immondices parce que le ramassage d’ordures ne se fait plus, des magasins sont pillés, les rayons se vident, il n’y a plus de frais… Je vis dans l’angoisse de ne plus avoir à manger pour mes enfants…”

Le déchaînement anti Blancs on l’a observé dans toute l’Afrique, du Congo belge en 1960 à l’Afrique du Sud de 2017, en passant par le Zimbabwe et bien d’autres pays africains.

En 1978, Giscard envoya la Légion sauter sur Kolwezi pour sauver 3000 Blancs pris en otages par les rebelles katangais. 2800 furent sauvés. Mais 200 furent massacrés en subissant les pires supplices.

“Kolwezi, 13 mai 1978. Un samedi comme les autres. La vie est douce, le climat agréable, le bonheur présent. D’un seul coup, tout bascule dans l’horreur : des rafales crépitent, les Katangais se ruent à l’assaut. Tribunaux sommaires, pelotons d’exécution, le massacre s’organise. Les cadavres s’entassent. Kolwezi devient la cité de l’horreur.” ( La Légion saute sur Kolwezi, de Pierre Sergent )

En 2004 à Abidjan, les enlèvements et assassinats ont été le lot des résidents blancs dans une Côte d’Ivoire en plein chaos.

Au Zimbabwe, 4000 fermiers blancs furent chassés par Mugabe. Ce grenier à blé est devenu une terre de famine ! Mais chez Mugabe la haine des Blancs fut plus forte que le bon sens.

En Afrique du Sud, c’est pire. Le Figaro a récemment brisé l’omerta sur ce sujet.

“Dans un article du 4 mars 2017, le Figaro relate le massacre des Blancs en Afrique du Sud et parle de la grande censure sur ce sujet car, « ce sujet tabou peu traité par les média nationaux, ne manque pas de diviser une société déjà déchirée par l’héritage de l’apartheid. En cause, le caractère racial du phénomène : la quasi totalité des fermiers du pays sont blancs et la totalité des agresseurs sont noirs ». Il est étonnant de ne pas voir des organisations antiracistes dénoncer ces massacres en masse de Blancs ! Où sont les organisations humanitaires en Europe pour dénoncer le génocide des Blancs en Afrique du Sud ? ou les média antiracistes ? Pourquoi un simple article perdu dans la masse des infos dans le Figaro et pas de larges protestations sur ces massacres dictés par une idéologie raciste qui veut le génocide des Blancs” ?

Le Figaro pose les bonnes questions. Pourquoi cette omerta sur le massacre des Blancs d’Afrique du Sud, alors qu’un simple contrôle de police un peu musclé sur un immigré en France, devient une affaire d’Etat qui tétanise le gouvernement et fait la Une des journaux pendant 15 jours, comme ce fut le cas avec l’affaire Théo ?

Cette lâcheté coutumière est porteuse de lendemains tragiques.

Car la haine latente, chez beaucoup d’immigrés, est une menace totalement sous-estimée par le pouvoir.

Aux Etats-Unis, après la mort d’un Noir abattu en 2016 à Charlotte, en Caroline du Nord, les émeutes ont montré l’extrême fragilité de la coexistence pacifique entre Blancs et Noirs.

“Les événements qui marquent les États-Unis depuis plusieurs années réveillent le mythe de “ l’homme noir en colère” . Cette crainte d’une rébellion de la communauté noire des Etats-Unis  alimente le racisme encore très présent, 150 ans après l’abolition de l’esclavage.”

En France, dans un pays où des jeunes immigrés tentent de brûler vifs des policiers dans leur voiture, où des jeunes enfants sont massacrés parce qu’ils sont  juifs, où les scènes de guérilla urbaine et d’agressions de Blancs accompagnent toute manifestation syndicale, il n’y a aucune illusion à avoir.

Le jour où les forces de l’ordre et l’armée, passablement affaiblies par d’incessantes coupes budgétaires irresponsables, le jour où ces forces ne seront plus en mesure d’assurer l’ordre républicain et la protection des citoyens, nous assisterons à des scènes de guerre civile avec son lot d’agressions contre les “sales Français”.

Si les autorités persistent à ouvrir les frontières à des millions de déshérités qui rejettent notre culture, le rêve d’une société multiraciale paradisiaque finira par se transformer en cauchemar, avec des violences interconfessionnelles et interraciales des plus tragiques.

Les sociologues et les immigrationnistes pourront invoquer la marginalisation des immigrés, le déracinement, la perte de repères, la pauvreté, le chômage, le racisme et autres fallacieux prétextes pour culpabiliser la République et dédouaner les agresseurs, mais ils ne peuvent masquer la vérité :

Le racisme anti-Blancs est une réalité qui mènera le pays au chaos si on ne ferme pas les frontières d’une part, et si on rate l’intégration des populations immigrées déjà sur place, d’autre part.

Quand on voit le climat explosif de la société américaine, qui n’a toujours pas réussi à intégrer ses millions de Noirs, 150 ans après l’abolition de l’esclavage, il y a vraiment de quoi s’inquiéter de l’avenir.

Jacques Guillemain

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