Lu sur Gènéthique :
"Aux Etats-Unis, un projet de loi prévoit que tout médecin qui ne fournit pas des soins appropriés à un nourrisson né vivant suite à un avortement pourra être condamné à une peine de cinq ans de prison.
« L’idée de cette loi est simplement qu’un bébé né après un avortement raté a le droit aux mêmes soins médicaux que n’importe quel autre bébé », explique Kevin McCarthy, chef de la majorité républicaine de la Chambre des Représentants.
Le « Born Alive Infants Protection Act » de 2002 prévoyait déjà des traitements d’urgence pour ces nourrissons, mais n’avait pas mis en place de peines.
La Chambre des Représentants devrait voter cette loi le 19 janvier, rendez-vous annuel de la marche pour la vie organisée à Washington DC."
En France, ces enfants sont le plus souvent abandonnés à la mort sans soins, luttant pour respirer pendant parfois plusieurs heures, ou tués par injection létale ou asphyxie, puis jetés avec les déchets biologiques. 10 % des enfants avortés ou nés prématurément à partir de la 20e semaine naissent vivants.