Si l’Europe se faisait hara kiri et ne consommait plus de carburants fossiles, cela éviterait théoriquement 0,01°C (un centième de degré!).
La production de CO2 anthropique liée aux carburants fossiles explose depuis 1945… elle a été accompagnée d’un refroidissement durant 30 ans, ensuite d’un réchauffement qui se termine.
Il s’agit d’un cycle naturel de 60 ans que le GIEC refuse d’évoquer.
Si l’arctique témoigne de ce cycle de 60 ans, l’antarctique, lui, s’étend…
Selon le GIEC lui-même, sa théorie bénéficierait d’un consensus.
Etrange consensus où les variations de températures pour le futur oscillent entre 0,3°C et 4,8°C !
Les rapports du GIEC à ce sujet sont basés sur les 100 modélisations informatiques qu’il finance…modélisations toutes totalement en désaccord entre elles et – pire encore – aucune n’est confirmée par les mesures réelles…
Le GIEC exploite les mesures prédites par ses modèles pour vous effrayer et ignore les mesures réelles !!
Vraiment étonnant : il n’existe pas un seul travail au sein du GIEC qui mesure les effets réels, précis, du CO2.
Ainsi, le modèle d’atmosphère du GIEC imposait une diminution progressive de la température de la stratosphère.
RIEN ne se passe !
Et il existe d’autres preuves pour disculper le CO2 – preuves dont dispose le GIEC – comme les travaux sur son effet.
Et le consensus parmi les scientifiques du GIEC est parfait : progressivement, toutes les études tendent à montrer une absence complète de rôle du CO2 dans la température.
Elles démontrent même que si on mettait 10 fois plus de CO2 dans l’atmosphère, cela ne changerait rien, ce que relève JM Bonnamy (2)
Pour bien convaincre(?) ses victimes, le GIEC publie un graphique présentant un extrait des variations du taux de CO2 et de la température terrestre durant les derniers milliards d’années : il n’y a pas de lien du tout entre les deux courbes !!
Et, petite cerise sur le gâteau surréaliste : le GIEC nous menace de phénomènes naturels de plus en plus extrêmes.
Nul ne sait pourquoi mais l’énergie cyclonique baisse, les ouragans et tempêtes faiblissent… on insiste sur les cas malheureux.
François Gervais nous engage à penser utilement : il est vrai que le taux de CO2 est passé de 280ppm (parties par million,) à 400ppm et que ce phénomène a permis le verdissement de 18 millions de km². De plus, si le CO2 augmente, les plantes ont besoin de moins d’eau, le rendement agricole augmente… et j’irais jusqu’à proposer que les pays émergents versent une prime aux pays industrialisés pour les inciter à produire – proprement, sans pollution – un maximum de CO2.
Finalement, le gros problème, c’est que 200.000 emplois vont disparaître avec le GIEC et, pire, on perd l’occasion d’installer une dictature onusienne mondiale « pour sauver le climat ».
François Gervais sera-t-il le Luther du climat ?
Celui qui met fin aux indulgences – climat ?
Claude Brasseur
26 décembre 2018
(1) Déjà en 2013, F.Gervais osait L’innocence du carbone , Albin Michel
L’urgence climatique est un leurre, Ed. Du Toucan, est publié en 2018
(2) JM Bonnamy, Réchauffement climatique : le pavé dans la mare, Ed. L’Harmattan, 2018