Répondant le 12 octobre au Bundestag à une question du député AfD Martin Hebner qui lui faisait remarquer qu’un certain nombre de pays, dont des États membres de l’UE, avaient rejeté le Pacte de l’ONU sur les migrations, la chancelière Angela Merkel a déclaré (vers 2’50 »):
« Si, lors de l’Assemblée générale de l’ONU la semaine prochaine, le pacte est à nouveau discuté et qu’il est adopté, un État membre pourra demander un vote.
Pour ce vote, il faudra alors que deux tiers des pays de l’ONU l’approuvent, et dans ce cas cela s’appliquera à tous. Il en est ainsi lorsque des décisions sont prises à la majorité. »
(Texte allemand : « Wenn bei der UNO-Vollversammlung nächste Woche der Pakt noch einmal zur Debatte steht und angenommen wird, dann kann ein Mitgliedsstaat Abstimmung verlangen. Diese Abstimmung muss dann so sein, dass zwei Drittel der Länder der VN dem zustimmen, und dann ist es für alle gültig. Das ist nun mal so, wenn es um Mehrheitsentscheidungen geht. »)