Quelque 230 personnes, djihadistes, femmes et enfants, sont autorisées à rentrer en Suède depuis des régions du Proche-Orient auparavant contrôlées par Daech*, relate le quotidien suédois Dagens Nyheter. Selon ce dernier, 35 municipalités au total se préparent à les accueillir.
Le journal rapporte que, le 24 avril, le Centre contre l'extrémisme violent va organiser une discussion avec les municipalités consacrée à cette réception. Le but est d'avoir une image claire de la situation et d'adapter les efforts.
«Il peut s'agir du soutien et de l'assistance que les municipalités sont en mesure de fournir. Mais le système de santé doit y aussi participer, y compris la psychiatrie», a annoncé à Dagens Nyheter le chef du Centre, Jonas Trolle.
Comme l'a souligné ce dernier, les anciens membres de Daech* peut peuvent être motivés par des raisons idéologiques. Leurs convictions extrémistes peuvent donc conduire aux formes plus simples d'attaques terroristes, mais aussi à une radicalisation rapide de leur environnement.