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david MIEGE
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23 juillet 2020 23:43

L’extrême-gauche pro-migrants fait du foin autour du témoignage d’un évaluateur de l’aide sociale à l’enfance de l’est de la France – dont le nom a été modifié tout en traduisant une origine africaine (Alioune Diop), et de fait, « sénégalaise ».

Si l’extrême-gauche utilise ce témoignage pour dénoncer des « contrôles au faciès » et une « approche inhumaine » des ASE, en creux, on lit des révélations dérangeantes – notamment le fait que les « mineurs » isolés mentent sur leur âge, que les évaluateurs le savent et agissent en conséquence, et que les ASE, débordées, mettent en place des garde-fous pour limiter le nombre de « mineurs » vrais ou faux pris en charge.

L’Aide sociale à l’enfance (ASE) est chargée d’héberger, aux frais du contribuable, le flot de mineurs isolés étrangers (MIE) qui déferle dans les départements français depuis quelques années, et qui – comme ailleurs en Europe – sont souvent ni mineurs, ni isolés.

Les mineurs isolés étrangers sont actuellement 41.000, à 95% des hommes, principalement issus d’Afrique subsaharienne, et coûtent 2 milliards d’euros par an au contribuable, contre un milliard d’euros par an en 2016. Ils représentent aussi un cinquième des mineurs pris en charge par l’ASE et leur hébergement se fait au détriment des mineurs français placés au sein des structures de l’ASE – cela ne prend pas en compte aussi les nombreux problèmes, mutineries, rebuffades et pires avanies subies par les mineurs français… – qu’ils causent dans les foyers.

Ce 16 juillet l’association pro-migrants l’Autre Cantine, à Nantes, prend appui sur ce témoignage pour affirmer son refus de tout contrôle – et en filigrane, de toute frontière.
 

Le contribuable paiera ! «on apprend que les évaluations ne se fondent pas sur des critères précis mais des évaluations subjectives. Il vaut mieux un consensus entre collègues que défendre un jeune que l’on estime profondément mineur. Les incohérences de récit, dus à des traumatismes sont utilisées pour refuser des minorités plutôt qu’une prise en charge post-trauma.

Les mineurs sont considérés comme suspects dès le départ, on part du principe qu’ils mentent afin d’en refuser le plus possible. Les évaluateurs peuvent se comporter comme la BAC en garde à vue : « Tu mens » « Avoues ! », bref les mineurs isolés venus chercher refuge sont considérés comme des criminels ».

On remarque au passage, dans les commentaires, Bernard B., ex-journaliste à Presse-Océan (1973-1982) qui n’a pas manqué déjà d’affirmer sa collaboration avec l’invasion migratoire – il accueille des migrants chez lui.

On ignore si sa solidarité légendaire s’applique aussi aux SDF bien de chez nous, de plus en plus nombreux dans les rues de Nantes, ou si comme beaucoup de militants pro-migrants, il préfère aider les pauvres venus de loin tout en restant aveugle à la détresse de ceux d’ici, considérés par les bien-pensants comme de « mauvais » pauvres qui dérangent l’image de « Nantes, ville où il fait bon vivre ».

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