En réaction, le CCIF a donc “activé un plan d’ampleur permettant de déployer une large partie de (ses) activités à l’étranger”.
Ainsi, “non seulement la sécurité et la continuité des activités du CCIF seront assurées contre toute tentative d’intimidation ou de déstabilisation, mais elles seront également consolidées et renforcées par des moyens nationaux et internationaux”, poursuit le collectif.
La procédure de dissolution, qui requiert un décret en Conseil des ministres, s’appuiera sur un “fondement double” incluant “ce qui touche à l’apologie du terrorisme et aux haines identitaires et religieuses” et “ce qui touche à l’ordre public”, avait indiqué la semaine dernière le ministère de l’Intérieur.