Pierre-Marie Sève, délégué général de l'Institut pour la Justice, critique la décision du gouvernement d'ouvrir grand les portes de la France aux immigrés afghans, alors que ceux-ci sont fréquemment impliqués dans des problèmes de délinquance en France. Tribune.
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Les réfugiés afghans commettent plus de délits que les autres réfugiés
Cette population qu’on connaît encore très peu en France se fait cependant déjà entendre par des faits divers l’impliquant. La semaine dernière, par exemple, à Bergerac en Dordogne, un homme afghan était jugé pour agression sexuelle pour la deuxième fois en deux mois. Il avait suivi une femme au hasard jusque devant sa maison avant de lui montrer son sexe. Il y a quelques semaines, à Rennes, un homme a été poignardé par deux afghans en tentant de protéger sa petite amie.
A Vienne, en Autriche, il y a tout juste quelques semaines, l’affaire Léonie a horrifé le pays, alors que cette adolescente de 13 ans a été torturée, violée puis tuée par quatre réfugiés afghans. Les exemples dans la presse sont légion.
Au-delà de l’immigration en général, l’immigration afghane semble poser des problèmes spécifiques. Cette immigration est peu connue en France et elle n’existait guère avant 2015. Pour autant, sa croissance est très rapide puisqu’elle constituait, en 2020, le premier pays en termes de demandes d’asile avec plus de 8000 demandes. Parmi celles-ci, 92 % concernaient des hommes.
Cheryl Benard, universitaire américaine spécialiste de l’Afghanistan, relevait ainsi que les Afghans « commettent des crimes sexuels dans une bien plus large mesure que les autres réfugiés, même de pays aussi musulmans et conservateurs ». Dans un article pour le National Interest très commenté depuis, Cheryl Benard cite les chiffres de la police autrichienne qui relève que 10% des auteurs d’atteintes sexuelles sont syriens, mais 50% sont afghans.
en dépit des préoccupations des Français sur l’insécurité, en dépit des liens évidents entre immigration afghane et délinquance, en dépit enfin des exemples d’autres pays comme l’Autriche ou l’Allemagne, la France accueille déjà des milliers, et accueillera peut-être des dizaines de milliers d’Afghans dans les mois qui viennent.
Ce serait une grave erreur qui engorgerait encore davantage les tribunaux, aggraverait encore davantage l’insécurité et coûterait certainement la tranquillité, voire la vie, de nos concitoyens.
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