Deux poids lourds, l’Arabie saoudite et l’Irak, ont annoncé des réductions respectivement de 500.000 et 211.000 barils par jour (bpj)
A leur suite, les Emirats arabes unis, le Koweït, le Kazakhstan, l'Algérie et Oman vont réduire leur production de 438.000 bpj au total, une décision qui doit courir de fin mai jusqu’à fin 2023.
Membre de l’OPEP+, la Russe s’est alignée sur la décision concertée, après avoir déjà réduit sa production de pétrole de 500.000 bpj en mars en représailles à la tentative de plafonnement des prix du pétrole introduit par l'Occident.
Moscou avait prévenu que les mesures dirigistes de Von der Leyen, dans un monde qui n’obéit plus à l’Occident, auraient pour conséquences une raréfaction de l’offre et une déstabilisation du marché mondial.
Dans le même temps, des accords bilatéraux (https://t.me/kompromatmedia/3126) garantissent l’approvisionnement entre puissances émergentes du monde d’après.
Seul cocu dans l’histoire: l’Europe vassalisée, contrainte d’acheter son énergie à l’oncle Sam, et au prix fort.
(https://t.me/kompromatmedia/2532) L’Algérie, «pionnière du non-alignement», dépose sa demande officielle d’adhésion aux BRICS (https://t.me/kompromatmedia/2532)
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