À la question : « les policiers sont-ils démotivés ? »…
Poser la question : c’est trouver la réponse, peut être facile, mais réelle !
C’est le droit au respect du citoyen qui porte l’uniforme, et qui permet aux autres citoyens de vivre en toute liberté, sans avoir la crainte de subir des violences et insultes de la part de délinquants à qui la prison ne fait pas peur.
Si nos aïeux sont tombés sur le champ d’honneur, si nos alliés ont donné leurs vies sur le sol français, si des soldats américains sont morts loin de leur patrie, ce n’est pas pour cette France-là : celle d’aujourd’hui !
Est-il normal que dans le pays de la déclaration des droits de l’homme et du citoyen de 1789 ( faisant partie intégrante du préambule de la constitution de 1958 ) : que l’on puisse voir des émeutes qui ressemblent à une guerre civile menée contre les forces de l’ordre, contre les institutions, contre la démocratie, contre l’Occident ?
Peut-on accepter que des armes de guerre circulent dans les cités ?
Peut-on accepter la formation de nids de terroristes musulmans ?
Peut-on accepter qu’une population nouvellement installée impose sa religion, ses us et coutumes et ses lieux de prière ?
Est-il normal que des parties du territoire national soient interdites à la police, et ce uniquement pour permettre à un trafic de stupéfiants de prospérer et à une mafia locale de s’installer en faisant régner la terreur ? Mafia locale qui transforme des individus en djihadistes ?
Est-il acceptable que les forces de l’ordre soient bombardées de projectiles incendiaires, qu’ils essuient des coups de feu d’armes de guerre ?
Est-il acceptable que les commerces, les voitures, les bus avec leurs passagers soient incendiés ( drame survenu à Marseille il y a 5 ans ) ?
Dans le livre Ier du code civil, sont définis les droits civils, le respect de la personne humaine, l’autorité parentale. Les parents étant les principaux responsables, qu’attend t’on pour les punir en supprimant les allocations familiales, ou en les destituant de la nationalité française avec pour prime l’extradition dans le pays de leur choix ?
On ne peut accepter une population qui rejette les valeurs démocratiques et religieuses du pays d’accueil, qui crache sur le drapeau et siffle l’hymne national !
Comment se fait-il que les hommes du pouvoir puissent accepter et laisser faire de tels agissements, qui bafouent nos libertés ?
Il est inacceptable que les citoyens soient pris en otage, inacceptable que les forces de l’ordre soient prises pour cibles. C’est un aveu d’impuissance et de coupable complicité de la part des élus, qui ont choisi de baisser les bras par lâcheté.
Pire, ils sont complices de telles exactions, faignant de les ignorer, et injuriant par démagogie tous ceux qui s’élèvent contre cette barbarie qui s’installe.
C’est un abandon programmé de la liberté et de la sécurité, par des dirigeants indignes de leurs charges d’élus, préférant se coucher afin de préserver leurs acquis et avantages financiers.
Pour endiguer une telle violence, il faut une répression féroce et pour cela :
- utiliser l’article 16 de la constitution qui donne des pouvoirs exceptionnels au Président de La République lorsque les institutions de la république, l’intégrité de son territoire, l’indépendance de la nation sont menacées.
- Utiliser l’armée pour rétablir l’ordre ;
- destitution de la nationalité française et reconduite à la frontière des familles difficiles, coupables d’actes terroristes ;
- légiférer pour donner la possibilité aux forces de l’ordre de se servir de leurs armes en cas de nécessité absolue, sans attendre d’être blessé ou tué.
Face à la lâcheté et à l’incapacité des hommes politiques, et de nos gouvernants ; face à l’incapacité de la force publique à faire face à des situations d’exceptions, face à la dégradation de nos institutions : Il Faut Agir !
Il y a plus de quatre ans, sous l’impulsion de leurs femmes, les gendarmes étaient pour la première fois descendus dans la rue ; rejoints par les policiers en tenue.
Ce n’était pas uniquement pour des revendications salariales, mais avant tout pour crier leur indignation, leur colère. Ils sont descendus dans la rue pour défendre nos libertés, pour défendre la démocratie, pour défendre la République vacillante, et aussi le citoyen qui doit pouvoir se promener à toute heure sans avoir la crainte d’être agressé, molesté, volé.
Ils représentaient le rempart de la démocratie agonisante, face à la lâcheté des hommes du Pouvoir, et à la décadence de nos institutions ; institutions qui ont perdu le sens des véritables valeurs républicaines.
Aujourd’hui, s’ajoute le « grand remplacement » de la population autochtone par l’arrivée en masse d’immigrés ( voulu par l’Europe et nos dirigeants ), et par une forte natalité de ces derniers. Cette population qui rejette l’Occident et lui fait la guerre : une guerre de religion qui rejette la démocratie et la liberté !
La liberté se mérite : elle doit se défendre bec et ongle si l’on veut marcher debout. Aujourd’hui, les forces vives de la Nation, capables de la protéger, sont représentées en grande partie par des hommes et des femmes en uniforme… Et qui font tout leur possible pour travailler au travers d’une jungle de lois antagoniques, qui protège davantage le délinquant que le citoyen.
L’Armée aura un rôle déterminant à jouer très prochainement… Des officiers supérieurs (généraux) ne respectent plus le silence imposé à la « grande muette ». Ils parlent, ils écrivent, ils attendent le moment opportun pour soutenir un gouvernement qui aura le courage de reprendre les choses d’une main ferme et décidée…
Ne désespérons pas : Lucie AUBRAC ( pourtant communiste ) disait que « que le verbe résister se conjugue au présent » et je rajoute très modestement, que la Résistance est d’ordre impératif et doit se pratiquer journalièrement… et que face à l’adversité, des hommes et des femmes de valeur se lèveront la tête haute.
La vie des hommes dans une société organisée ne date pas d’aujourd’hui, ni les problèmes inhérents à une civilisation. Les Romains déjà avaient légiféré : tout citoyen pouvait défendre sa cause devant une assemblée. Le citoyen était conseillé par les jurisconsultes et le magistrat rendait un jugement : des sanctions graduables étaient prévues par les codes( bien entendu, suivant que vous étiez puissant ou pas, le résultat n’était peut-être pas le même …)
o 450 ans avant Jésus-Christ : la loi des 12 tables
o 509 avant Jésus-Christ : fondation de la république de Rome
o le code Hadrien ( 117 / 138 )
o le code Grégorien ( 291 )
o le code Theodosien ( 438 )
o et enfin le code Justinien en 529 : Ce dernier compile les lois et édits
Le Digeste fut publié en 529 : soit 50 livres, chacun étant consacré à un sujet de droit.
Mais les codes et lois ne servent à rien, si les élus sont corrompus et vendus au plus offrant. Bien souvent, ces derniers collaborent avec l’envahisseur pour préserver leurs acquis !
>>> La Civilisation : c’est avant tout la défense des libertés et du citoyen contre toute agression barbare… c’est aussi lutter contre les « Collabos » coupables d’intelligence avec les ennemis de la Nation.
La France avait été libérée de l’occupant en 1945 par les alliés et les Forces Françaises Libres. Les collabos avaient été pour la plupart fusillés !
Il ne reste donc plus que la Résistance active, pour une RECONQUISTA.
Pour l’exemple : l’Espagne avait réussi à chasser l’envahisseur musulman au XVème siècle par la volonté des Roys catholiques Isabelle de Castille et Ferdinand II d’Aragon.
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