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30 octobre 2013 02:37

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« L’Amérique n’est plus chrétienne » a déclaré Barack Obama, Commandant en Chef des Armées, et il le fait savoir à ses soldats.

Le 17 octobre, lors d’une séance d’information à Fort Hood, rendu tristement célèbre suite à l’attentat islamiste perpétré en 2009 par le Major Hasan Nidal aux cris de « allah akbar », et qui fit treize morts et plus de trente blessés, les soldats ont été sommés de ne plus faire de dons aux églises évangéliques et au Tea Party, sous peine de sanctions, en vertu du Code unifié de justice militaire, base légale du droit militaire des États-Unis d’Amérique.

(Hasan Nidal, l’auteur du massacre, avait déclaré lors de son interminable procès : « Je ne pense pas avoir mal agi, car ce que j’ai fait c’était pour la plus grande des causes : aider mes frères musulmans » alors que le ministère de la Défense a qualifié le massacre de Fort Hood de «violence au travail», et pour le leadership militaire, cette tuerie n’a officiellement aucun lien avec le terrorisme, ni l’islam. Et le procès de ce meurtrier a coûté aux contribuables américains près de 5 millions de dollars.

Les familles des soldats assassinés et les blessés doivent surmonter de graves problèmes financiers, car ce massacre n’a pas été reconnu comme un acte terroriste, mais une « violence au travail ». Ils n’ont dès lors pas reçu les indemnités prévues pour les soldats tombés au combat ou victimes d’actes de terrorisme, ni été décorés du « Purple Heart », car cela signifierait reconnaître qu’Hasan Nidal était bien un terroriste islamiste.

Et il n’est pas question de stigmatiser la communauté et la religion si précieuses au cœur du Président Hussein Obama.

Un agent du contre-espionnage en charge du briefing expliqua aux soldats que les Chrétiens évangéliques, le Tea Party et autres groupes, comme « The American Family Association » représentaient une menace terroriste pour la Nation et qu’ils détruisaient le pays.

L’agent ne mentionna aucun groupe islamique susceptible de représenter une menace terroriste. Seuls les groupes chrétiens et les membres du Tea Party étaient dans le collimateur des Services de la sécurité intérieure, comme terroristes potentiels.

Un soldat, choqué par ce discours, contacta Todd Starnes à la Fox News. Michael Berry, avocat auprès de l’Institut de la Liberté, a offert son aide au soldat et a ouvert une enquête.

« Le peuple américain devrait être scandalisé d’apprendre que l’Armée américaine enseigne à nos troupes que les ennemis de l’Amérique sont les Chrétiens et le Tea Party et qu’ils peuvent être punis s’ils soutiennent ces groupes » a déclaré M. Berry, un ancien officier des Marines.( Marine Corps JAG officer)

« Ces déclarations désignant les Chrétiens évangélistes, comme les ennemis internes de l’Amérique sont gravissimes » a-t-il ajouté.

Le soldat s’inquiétait de savoir s’il pouvait encore aller à l’église, sans être sanctionné, s’il était encore autorisé à payer la dîme et/ou faire un don à des œuvres de charité. »

Un autre soldat, également présent au briefing, alerta le Pasteur de l’Alliance pour la Liberté religieuse. Ses déclarations confirmèrent celles du soldat qui s’était adressé à Fox News.

« Une importante partie de la séance d’information fut consacrée à la menace terroriste, que les Chrétiens évangéliques et le Tea Party faisaient courir au pays, mais il n’y eut jamais aucune allusion au danger que représentait pour notre pays l’extrémisme islamique » déclara le soldat.

Selon Tony Perkins, Président de : « The Family Research Council”, le Pentagone fait de la propagande anti chrétienne.

[...]

« Ces incidents répétés prouvent que les séances d’informations sont dirigées par le leadership de l’armée au Pentagone ou alors l’armée a un véritable problème de discipline et de commandement pour laisser une bande de fripouilles enseigner de telles inepties. »

Les groupes de défense des libertés religieuse dénoncent sévèrement les récentes accusations mensongères portées par les conférenciers militaires de Fort Hood lors des séances d’information, qui deviennent, en fait des réunions de désinformation.

« Pourquoi l’armée s’est-elle engagée dans ces séances de propagande anti chrétienne », demanda Perkins, lui-même vétéran de la Marine Corps ? « Seule la volonté délibérée de l’Administration Obama d’intimider et de séparer les soldats des groupes Chrétiens qu’ils soutiennent et qui les soutiennent pourrait expliquer cette propagande mensongère anti chrétienne. »

Ron Crews, Administrateur de l’Alliance de l’Aumônerie, a qualifié le comportent des Autorités militaires de déshonorant.

« Loin d’être des incidents isolés, comme l’Armée l’a affirmé lors des cas précédents, ce dernier incident démontre bien la volonté des Autorités militaires de présenter le Christianisme évangélique, le Catholicisme et le Judaïsme, comme des exemples d’extrémisme religieux, comparable à celui d’Al Qaïda, du Hamas et du Ku Klux Klan … » a encore ajouté Ron Crews.

Barack Hussein Obama est le Président américain le plus hostile à la Bible, aux Juifs et aux Chrétiens de toute l’histoire des Etats Unis, et cette haineuse hostilité contraste avec la bienveillance, la tolérance, le respect qu’il manifeste envers le coran, l’islam et les Musulmans. Le leadership militaire semble également être infiltré et corrompu par les Frères musulmans, qui fidèles à leur devise, s’activent à détruire l’Amérique de l’intérieur.

Présenter les Chrétiens et les membres du Tea Party comme des menaces pour la sécurité de la nation, des terroristes à combattre, c’est du pur machiavélisme.

Obama livre l’Amérique à l’islam et aux Musulmans. Et pourtant, s’il savait comment il est considéré par les Nations arabes.

Obama me fait penser à l’un des premiers musulmans noirs, un compagnon du prophète, un homme nommé Bilal bin Rabah. Il était un fidèle esclave noir de Mahomet. Ce dernier l’affranchit et le nomma Muezzin, pour le récompenser de sa fidélité. Et Bilal, fier et reconnaissant, appelait les fidèles à la prière du haut du minaret de la mosquée de la Kaaba à La Mecque, ville nouvellement conquise par Mahomet.

Les autres fidèles compagnons de Mahomet, appelés les « Sahaba », qui comme Bilal, avaient suivi le prophète dans ses « missions prophétiques », furent aussi récompensés, mais contrairement à Bilal, l’ancien esclave noir, devenu Muezzin, ils furent nommés à des postes importants, certains devinrent califes, d’autres gouverneurs de province. Bilal, lui, continuait à appeler les fidèles de sa voix rauque du haut de son minaret, mais ses appels attiraient très peu de monde. Les musulmans et les infidèles de La Mecque se moquaient de lui, ils trouvaient qu’il brayait comme un âne.

En lisant ce récit, je ne peux m’empêcher de me poser une question. A supposer que les Frères Musulmans, les partisans de Mohamed Morsi, le chéri d’Obama, réussissent à réaliser leurs rêves, celui de conquérir le monde et de le soumettre à l’islam radical, comment récompenseraient-ils Hussein Obama ? Lui réserveraient-ils la place d’un calife, d’un sultan ou un poste de gouverneur ? A mon avis, non. Si les Frères Musulmans parvenaient à prendre le contrôle de l’Amérique et de l’Europe, fidèles à la tradition de leur prophète bien-aimé, ils lui réserveraient sans aucun doute le poste de Muezzin d’une mosquée de Chicago, à l’instar de Bilal, fidèle compagnon de route de Mahomet.

Quand je vois des Noirs américains se convertir à l’islam, comme le député Keith Ellison, ex-catholique, et exprimer leur étrange et incompréhensible empathie pour l’islam et le Hamas, je suis à la fois surpris et horrifié par leur choix. Ignorent-ils que les Musulmans étaient les négriers qui capturèrent les Africains et les vendirent en Amérique comme esclaves ?

Ne savent-ils pas qu’aujourd’hui encore, dans le monde arabo-musulman, les noirs sont traités avec mépris et considérés comme des esclaves ? Dans les milieux politiques arabes des Etats du Golfe, Condoleeza Rice et autres politiciens américains noirs sont appelés « a’bd ou a’bda » le mot arabe pour « esclave », et ce, malgré leurs hautes fonctions.

Dans le scénario d’un monde islamique dirigé par Les Frères Musulmans, le député Keith Ellison ne siègerait pas comme membre du Conseil islamique (la Choura) et l’ex- Secrétaire d’Etat Condoleeza Rice ne serait pas autorisée à quitter sa maison sans un chaperon masculin, membre de la famille. Quant à ses missions diplomatiques à travers le monde, aux oubliettes. Elle resterait à la maison à observer le monde extérieur à travers la fenêtre voilée de son hijab.

Ingratitude et mépris, voilà la récompense des non musulmans qui deviennent les serviteurs de l’islam, reconnaissance et respect ne faisant pas partie du vocabulaire islamique.

 


Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Rosaly pour Dreuz.info.

Sources : « Does Army consider Christians, Tea Party, a terror threat?, » by Todd Starnes for Fox News, October 23,2013
“« Who Should Clean Up the Mess?” By Ali Salim (extrait)

 

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