« Femmes libres »
Encore un cas d’intégration exemplaire. Si, après ce témoignage, vous doutez encore de la richesse de l’apport de l’immigration pour la France, c’est que votre mauvaise foi vous aveugle.
Au tribunal correctionnel de Bordeaux, ce jeudi 25 avril, un père algérien qui fouette sa fille de 16 ans à coups de ceinture et parle de lui faire porter le voile pour que les garçons la laissent tranquille, a trompé la justice avec une facilité déconcertante, presque complice.
Les faits se déroulent samedi dernier à Villenave-d’Ornon.
Le père de la jeune lycéenne est entré dans une « violente » colère après avoir découvert des SMS sur le portable de sa fille. Il y était question d’un garçon qui avait cherché à l’embrasser. Il a ensuite écouté les messages et a découvert des échanges avec une copine, encore au sujet des garçons, rapporte Sud Ouest 1.
La jeune fille a été examinée par l’hôpital Pellegrin et des traces de coups de ceinture ont bien été décelées sur ses cuisses et sur ses jambes.
Le père a, dans un premier temps, tenté d’expliquer que les coups étaient destinés à séparer sa fille et son fils aîné. « Je suis intervenu pour les séparer et j’ai frappé et l’un et l’autre pour qu’ils se calment. »
Mais, et là il convient de reconnaitre à l’islam son savoir enseigner le talent de comédien, directement tiré du coran au chapitre taqiya :
Le père, voyant que la première explication tombait à plat, s’est payé la tête du juge, qui mériterait sa photo sur un certain mur, et il est « tombé en pleurs », a parlé de sa vie difficile, du dur labeur sur les chantiers, de ses nuits passées dans son fourgon à manger des sardines, pour offrir à sa famille « une maison de 600 m2 ».
Il a « reconnu un excès récent d’autorité « parce que je veux que ma fille ait son bac », il dit sa volonté « de respecter les lois de la République » et convenu que les deux seuls coups de ceinture qu’il admet avoir administré « étaient une faute ». »
Paf disparue des motifs la punition pour laver l’honneur de la famille version islam, pourtant mille fois répétée dans les prêches des imams sur internet, largement documentée par d’innombrables témoignages et cas similaires ; escamotée des débats la menace du voile et l’interdiction de fréquenter des garçons avant le mariage voulue par le coran.
Le juge, qui définitivement mérite une place sur un mur, a considéré que « c’est un pèrevisiblement dépassé qui se trouvait soudain dans le box des prévenus. »
L’avocat du très musulman père, Me Delphine Gali, souhaitait même « que son client soit aidé à mieux comprendre sa fille à l’heure de la crise d’adolescence. »
On ne peut s’empêcher de se demander s’ils le font exprès…
Le tribunal a prononcé une peine de trois mois de prison avec sursis.
Soyons donc potaches nous aussi, et collons au mur des cons ces magistrats aveuglés par la négation du fait islamique.
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Jean-Patrick Grumberg pour www.Dreuz.info
1 http://www.sudouest.fr/2013/04/26/un-pere-depasse-au-tribunal-1036157-2780.php