Des centaines de nouveaux cas ont été rapportés depuis, comme l’a révélé hier un article d’un média en ligne britannique.
« Ils sont intouchables » déplore l’une des victimes…
Pendant ces 16 années, les viols de Rotherham avaient déjà été volontairement étouffés par la police et les services sociaux de la ville, qui craignaient de passer pour racistes.
Comme le note le rapport de police qui a finalement révélé l’affaire « Les victimes sont en quasi-totalité des enfants britanniques, blancs. Quant aux auteurs, ils appartiennent à des communautés ethniques minoritaires ».
Et le rapport de poursuivre : « Les membres des équipes d’investigation sont très souvent réticents à préciser les origines ethniques des auteurs, de peur de passer pour racistes ».
Autrement dit, mieux valait laisser des adolescentes, parfois des enfants, être, comme on le lit dans le rapport, « victimes de viols collectifs, enlevés, battus et intimidés », plutôt que de risquer d’être catalogués de racistes…
Rotherham n’est pas la seule agglomération de Grande Bretagne concernée.
A Bradford, les forces de l’ordre n’ont pas osé arrêter les membres d’un réseau ethnique de proxénètes qui prostituait des adolescentes blanches, par crainte de provoquer des violences raciales et de perturber ainsi la campagne électorale locale.
Entre 2008 et 2009, à Rochdale, près de Manchester, 47 jeunes Anglaises de souche, âgées de 13 à 15 ans, ont été violées et obligées de se prostituer par des gangs composé de huit Pakistanais et d’un Afghan.
En 2008, une des victimes avait dénoncé ses tortionnaires à la police, qui a délibérément ignoré son témoignage.
Pour l’ancienne députée travailliste Ann Cryer, les autorités étaient, là aussi, pétrifiées à l’idée d’être accusées de racisme.
Mais il semble qu’on vienne de franchir un degré de plus dans la servitude
Selon un article de l’édition en ligne du média britannique Sky News, publié avant-hier, c’est en toute impunité que les violeurs ethniques poursuivent leurs activités criminelles.
Une des victimes, gardant naturellement l’anonymat, constate que ses agresseurs continuent à « cibler » des jeunes filles, sans être le moins du monde inquiétés par la police.
« C’est encore pire à présent, affirme-t-elle, parce que, maintenant, ils ne se cachent plus (…) Il sont devenus intouchables ».
La dhimmitude des Européens, c’est maintenant…
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