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david MIEGE
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6 janvier 2015 02:10

heimdall__span

Depuis plus d’une semaine, les hommes politiques, journalistes et associations anti-racistes et islamiques rivalisent de zèle pour dénoncer à l’unisson les propos « extrêmement dangereux », et demander condamnations en justice et mesures disciplinaires contre Eric Zemmour.

Quels sont ces propos si nauséeux qu’ils valent à leur auteur des plaintes en justice et une mise au banc médiatique, déjà commencée par l’arrêt de son émission sur I-télé ?

Que peut justifier cette chasse aux sorcières devenue affaire d’état par l’intervention du gouvernement Valls ?

Il est reproché à Eric Zemmour d’avoir évoqué que l’instabilité de la France multi-culturelle et multi-ethnique pourrait aboutir à une guerre civile, avec, comme éventuelles conséquences, la fin de la France ou la remigration de populations séditieuses.

Les faits de cette semaine, trois attentats terroristes islamiques dans notre beau pays, appuient les hypothèses d’Eric Zemmour sur la probabilité de violences pouvant aboutir à une guerre.

Cependant, pour le personnel politique, médiatique ou associatif participant à l’établissement d’une Doxa tiers-mondiste, islamophile et anti-française, il est interdit de défendre les  Français refusant de disparaître.

La simple évocation de cette hypothèse mérite les sanctions les plus sévères, certains allant jusqu’à lui commander de quitter la France.

La problématique est de savoir si le peuple a encore le droit de défendre sa civilisation face au changement de population.

Alors que les médias, les politiques, les associations anti-racistes parlent d’une voix d’une nouvelle société métissée riche d’apports du Tiers-Monde, est-il possible de refuser ce changement pour lequel le peuple n’a jamais été consulté ?

C’est la question que pose Zemmour lorsqu’il présage d’un possible réveil du peuple français qui lutterait pour sa survie par légitime défense.

Là est le problème de fond.

La République s’est faite pour permettre aux hommes une libre détermination par rapport aux autres peuples. Il est tout à fait anti-républicain de dénier au peuple français le droit de se déterminer, de continuer à vivre, et se battre pour cela.

Sous le mot République se cache aujourd’hui une subversion totalitaire, extrémiste qui pratique l’inverse de ce qu’elle est appelée à défendre. Pour ces « républicains », la France doit se vider de sa substance et la République de son essence. Il ne resterait à ce pays que le mot France, habillé d’une réalité bien différente.

Les présidents Sarkozy et Hollande ont soutenu le changement de population. Dans leurs projets, les populations immigrées doivent prendre la relève des autochtones. Pour légitimer ce changement, l’histoire de France et son identité sont niées, comme dans le discours d’Eric Besson alors ministre de l’immigration et de l’identité nationale :

«La France n’est ni un peuple, ni une langue, ni un territoire, ni une religion, c’est un conglomérat de peuples qui veulent vivre ensemble. Il n’y a pas de Français de souche, il n’y a qu’une France de métissage» (1)

Pour Sarkozy, il y a une obligation de métissage et de changement de société afin d’éviter les affrontements inter-communautaires :

« Quel est l’objectif ? Cela va faire parler, mais l’objectif, c’est relever le défi du métissage ; défi du métissage que nous adresse le XXIe siècle.

Mesdames et Messieurs, c’est la dernière chance. Si ce volontarisme républicain ne fonctionnait pas, il faudra alors que la République passe à des méthodes plus contraignantes encore, mais nous n’avons pas le choix. La diversité, à la base du pays, doit se trouver illustrée par la diversité à la tête du pays. Ce n’est pas un choix. C’est une obligation. C’est un impératif. On ne peut pas faire autrement au risque de nous trouver confrontés à des problèmes considérables.

Mers chers amis, j’espère que vous l’avez compris, nous devons changer.

Nous devons changer nos comportements, nous devons changer nos habitudes.

Nous devons changer pour que la république demeure vivante.

Nous devons changer pour que plus aucun Français ne se sente étranger dans son propre pays.

Nous devons changer parce que c’est un devoir moral et parce que c’est une nécessité politique.

Nous devons changer, alors nous allons changer ».(2)

François Hollande va directement au but en annonçant que les populations des cités, pour majorité d’origine arabo-africaine et de religion islamique, sont amenées à être dominantes dans la France de demain :

« Vous les habitants des cités, vous êtes l’avenir de la France, vous êtes la génération montante » Hollande (3)

Pour s’adresser à eux, François Hollande avait réalisé un clip lors de l’élection présidentielle en 2012. Il montre la France de demain, majoritairement afro-arabe et islamique, comme en témoignent les nombreux inch’allah :

Dans la même veine, Bruno Roger Petit prédit l’extinction démographique de la France historique ayant encore conscience d’elle-même.

Alors que les Français sont de plus en plus sensibles au discours de Zemmour, on ne voit pas comment ils pourraient être « démographiquement remplacés par des citoyens plus ouverts » si ce n’est par le changement de population ethnique :

 

Les adeptes du zemmourisme finiront pas s’éteindre, démographiquement

 

« Oui, la France va changer, comme elle a toujours changé. Oui, les Français de culture musulmane vont rester, ne partiront plus, et ne seront jamais déportés. Oui, les cultures vont se mélanger, comme elles l’ont toujours fait depuis l’Antiquité sur ce territoire que l’on nomme France, d’ailleurs, cela a déjà commencé.

Oui, les adeptes du zemmourisme finiront pas s’éteindre, démographiquement donc politiquement remplacés par des citoyens français plus ouverts, en prise avec la mondialisation et les formidables opportunités qu’elle offre, et qui n’auront pas peur. » (4)

Après l’appel de Bruno Roger Petit, un groupe de députés et responsables de La Gauche Forte du parti socialiste appelle Zemmour à quitter la République. Ces mauvais élèves de l’histoire de France condamnent Zemmour à l’exil pour délit d’opinion.

Plus grave encore, ce texte dit que le vrai peuple de France est la diversité. Que rendre hommage au peuple autochtone, c’est être un antipatriote de la France d’aujourd’hui. L’inversion est totale.

Vouloir préserver le peuple à l’origine de la construction de la France vaut l’exil politique.

En plus de l’infamie, ces faux républicains montrent que leurs litanies cachent des dictateurs méprisant les libertés fondamentales. (5)

Amandine Gay, militante afro-féministe, a commis un article sur Slate.fr, reliant l’antiracisme à la déconstruction du privilège blanc.

Cet article a le mérite d’aller au bout du processus de l’anti-racisme. Elle relie cette idéologie à la lutte contre tout ce qu’il y a de français dans la société qu’il a bâtie.

Suivant la militante racialement centrée, il faut supprimer les normes de la société, qui témoignent trop de leur origine européenne, donc racistes.

La finalité est la déconstruction historique et normative des sociétés occidentales, laissant implicitement la place à d’autres normes, à des cultures africaines, principalement islamiques. (6)

La soif de déconstruction du « privilège blanc », et du code culturel traditionnel des peuples occidentaux est sans fin.

Un exemple anecdotique est l’interprétation dans le film Thor, du rôle d’Heimdall, dieu nordique appelé « Le Dieu Blanc », et interprété par un acteur noir, Idris Elba.

Cette volonté destructrice montre toute son injustice et sa haine du blanc dans les propos tenus en 2009 par Anne Lauvergeon, présidente d’Areva, à propos des candidats que son groupe se proposait de recruter :

« A compétence égale, eh bien désolé ! On choisira la femme, ou on choisira la personne venant de … ben autre chose que le mâle blanc pour être claire. »

 

 

Il n’est pas dit que la génération qui suit acceptera la présence des Blancs

 

Et l’anti-racisme revendiqué par les arabo-musulmans est encore plus agressif. Houria Bouteldja, à l’époque présidente du Parti des Indigènes de la République tenait ces propos de haine :

« Demain, la société tout entière devra assumer pleinement le racisme anti-Blanc. Et ce sera toi, ce seront tes enfants qui subiront ça… Aujourd’hui, il y a encore des gens comme nous qui vous parlons encore. Mais demain, il n’est pas dit que la génération qui suit acceptera la présence des Blancs. » (7)

Qui pourrait encore douter.

L’anti-racisme est une idéologie de haine envers le Français ethnique à évincer de la société. Son histoire, son peuple, sa civilisation sont niés.

Si aucun sursaut ne se produit, la France et son peuple n’existeront plus dans quelques générations.

Le projet explicite d’effacer le peuple français est génocidaire selon la Convention des Nations Unies.

En voilà la définition (8) :

Article I :

Les Parties contractantes confirment que le génocide, qu’il soit commis en temps de paix ou en temps de guerre, est un crime du droit des gens, qu’elles s’engagent à prévenir et à punir.

Article II :

Dans la présente Convention le génocide s’entend de l’un quelconque des actes ci-après, commis dans l’intention de détruire, en tout ou en partie, un groupe national, ethnique, racial ou religieux, comme tel :

a) Meurtre de membres du groupe;

b) Atteinte grave à l’intégrité physique ou mentale de membres du groupe;

c) Soumission intentionnelle du groupe à des conditions d’existence devant entraîner sa destruction physique totale ou partielle;

d) Mesures visant à entraver les naissances au sein du groupe;

e) Transfert forcé d’enfants du groupe à un autre groupe.

Cela correspondent à la situation du peuple français, soumis à une propagande agressive niant son histoire en vantant les bienfaits de sa dilution dans les populations immigrées toujours plus nombreuses.

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Ce militantisme destructeur ne créera pas l’utopie pacifiée et ramollie des anti-racistes. L’histoire continue, et un islam organisé et batailleur prend le contrôle d’une France à la dérive.

Yussuf Al Qaradawi, le cheikh le plus réputé du monde islamique sunnite, autorité morale des frères musulmans, prédit la conquête prochaine :

« Cela signifie que l’islam retournera en Europe en conquérant et en vainqueur, après en avoir été expulsé deux fois: une fois d’Andalousie, au sud, l’autre fois à l’Est, après qu’il eut frappé à plusieurs reprises aux portes d’Athènes.» (9)

Au salon de l’UOIF, la branche française des Frères musulmans, ont été tenu les mêmes propos appelant à la conquête de Rome et de l’Europe. (10)

L’islam s’insère dans cet anti-racisme en assimilant la critique de l’islam qualifiée d’islamophobie, à du racisme.

La campagne du Collectif contre l’islamophobie utilise les procédés des anti-racistes en se réappropriant l’histoire et les symboles de la France.

Nous-sommes-la-nation

Là, le serment du jeu de Paume est revisité par des racailles et des femmes voilées qui incarnent la nation française.

L’islam avance en s’appuyant sur plusieurs stratégies.

L’une, celle des Frères Musulmans, prône la conquête institutionnelle et démographique en limitant au maximum les conflits violents (voir l’exemple de Camel Bechikh), tandis que l’autre est celle de la terreur des attentats terroristes qui entre dans une phase dont nous ne mesurons pas la portée.

L’une comme l’autre visent l’imposition de la Charia (la loi islamique) dans une France musulmane. Seuls les moyens diffèrent.

Quelle que soit la stratégie, nos gouvernants ne nous protègent pas.

Le financement des mosquées par l’état, la lutte contre toute critique de l’islam, la promotion de l’islam dans l’éducation nationale, sont organisés par le gouvernant depuis 30 ans.

En août dernier, le ministre de l’intérieur, au sujet d’un livre vendu en supermarché prônant le djihad, déclarait son impuissance dans cette terrible phrase : « Ce n’est pas un délit de prôner le djihad » (11).

Ni le djihadisme, ni l’infiltration de l’islam dans les institutions françaises ne sont combattus.

Les élites renonçant à leur histoire, trahissant leur pays et leur peuple ont toujours existé dans l’histoire.

Démosthène, un des grands hommes de la démocratie athénienne, en parlait alors que la Grèce était sur le point de basculer sous le joug de Philippe II de Macédoine. Il décrivait ces hommes politiques flattant bassement les instincts pacifistes de la population :

« Cependant, la faute principale en cherchant bien, vous vous rendrez compte elle revient à ceux qui préfèrent vous plaire, plutôt que de formuler les meilleurs avis. Parmi eux, les uns, Athéniens, tâchant de préserver ce qui fait leur prospérité et leur force, ne prévoient nullement ce qu’il va arriver, et ils estiment que vous n’avez pas non plus à l’imaginer ; quant aux autres, en accusant et en calomniant les responsables politiques, ils font simplement en sorte que notre cité se punisse elle-même et qu’elle y consacre toute son énergie, tandis que Philippe aura le loisir de dire et faire ce qu’il veut. Ces pratiques politiques vous sont habituelles et ce sont elles qui causent votre malheur. »

« Les uns prononçaient des discours destinés à plaire, sans chercher à importuner ; les autres énonçaient les moyens de salut, mais ils se faisaient haïr. Et finalement, nombreuses furent les concessions que fit ce peuple, non plus pour son plaisir ni par aveuglement, mais parce qu’il devait se soumettre après qu’il se fut rendu compte de sa défaite totale. » (12)

La lâcheté est humaine. Alliée à la folie, elle anime nos dirigeants.

Pour protéger les avantages des castes, par sentiment d’impuissance, par pacifisme, ou par idéologie folle et nihiliste, ceux à qui nous avons laissé la place d’élites tiennent des propos, agissent, de manière condamnable, moralement et pénalement, au regard du droit international. Au regard du droit des peuples à décider d’eux mêmes.

Voici ce que George Clemenceau, véritable républicain, disait de ceux qui voulaient asservir, priver de son histoire, de son honneur et son existence le peuple français :

« Première loi des peuples : il faut défendre l’héritage de l’histoire, et pour cela, constituer une force qui impose d’utiles réflexions à l’envahisseur d’hier, que la fatalité pousse aux recommencements de demain – une force capable d’opposer une résistance invincible à toute agression du dehors.

Nous sommes des vaincus, des vaincus qui voulons vivre, non dans l’abdication d’un asservissement au vainqueur, mais dans l’honneur d’une indépendance de pensée et d’action dont nos aïeux firent la France. C’est sur la force efficace de la nation armée que se fonde l’espoir précurseur de notre volonté. » (13)

« Cette guerre ne se poursuit point pour la possession d’une ville, d’une province, d’une colonie. Nous combattons pour la liberté, pour l’existence de notre race. » (14)

Le problème posé par la polémique Zemmour dépasse la liberté d’expression.

C’est celui de l’interdiction faite à un peuple à sa légitime défense contre la submersion qui le guette encouragée par ses gouvernants.

Au cas ou nous en doutions, nos gouvernants ne nous laisseront pas nous défendre. Nous n’avons pas même le droit d’exprimer le problème, alors que vu la gravité, il ne faudrait pas parler mais agir.

Ce droit, il faut le prendre.

Les Français préfèrent-ils la certitude d’une mort artificielle et douce à l’honneur d’un combat au sort incertain ?

De cette question dépend le sort de la France et sa continuité dans l’histoire de l’Humanité où elle a déjà écrit de si belles pages.

Les lâches préfèrent mourir lentement qu’ils le fassent. L’ordonnance de leur volonté au reste de leurs compatriotes est insupportable.

Pour le droit de mourir dans la paix, ces viles sont prêts à interdire à leurs congénères la légitime défense. Ce sont déjà des esclaves. Ils anticipent leur ralliement à la religion islamique qu’ils vantent tant.

Nous voulons écrire, penser et pratiquer les nobles paroles que George Clemenceau, alors Président du Conseil, adressait à la Chambre, le 8 mars 1918 :

« Mais aujourd’hui c’est une chose énorme pour le pays de pouvoir penser et lever la tête, regarder les amis et les ennemis les yeux dans les yeux et de se dire : « Je suis le fils d’une vieille Histoire qui sera continuée. Mon peuple a écrit, mon peuple a pensé, mon peuple a fait ; ce qu’il a écrit, ce qu’il a pensé, ce qu’il a fait … nos neveux l’écriront, nos neveux le penseront nos neveux le feront » (15)

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Olivier Fabre pour Dreuz.info.

Références :

(1) leparisien.fr/identite-nationale-visite-surprise-de-besson-a-la-courneuve

(2) aphec.it-sudparis.eu

(3) lepoint.fr/hollande-salue-a-evry-la-france-des-banlieues-qui-entreprend

(4) leplus.nouvelobs.com/zemmour-et-la-deportation-des-musulmans

(5) liberation.fr/monsieur-zemmour-la-republique-on-l-aime-ou-on-la-quitte

(6) slate.fr/antiracisme-privilege-blanc

(7) Interview par Christine Delphy dans Nouvelles questions féministes, volume 25, février 2006

(8) www.akadem.org/Convention-ONU-genocide

(9) islamisation.fr/conquete-de-rome-le-cheikh-al-qaradawi-annonce

(10) islamisation.fr/archive

(11) metronews.fr/livre-pronant-le-djihad-une-polemique

(12) troisième philippique 63-64

(13) Discours de guerre, Presse universitaire de France, edition 1968. p34

(14) Discours de guerre, Presse universitaire de France, edition 1968. p58

 

(15) Articles et discours de guerre (1914 – 1918), Georges Clemenceau, éd. Pierre de Taillac, p232

 

vu sur : http://www.dreuz.info/2014/12/il-nest-pas-dit-que-la-generation-qui-suit-acceptera-la-presence-des-blancs/?utm_source=feedburner&utm_medium=email&utm_campaign=Feed%3A+drzz%2FPxvu+%28Dreuz%29

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