Les dernières décennies ont vu être adoptées dans nos pays, des politiques visant à déposséder les états européens du contrôle de leurs frontières.
Le projet européiste qui incluait dès l’origine le concept de droit de circulation et d’installation des individus dans les pays membres de l’Union Européenne (UE) ainsi qu’un concept de « non-discrimination » entre ressortissants nationaux et non-nationaux a peu à peu rendu les états incapables de maitriser les flux migratoires déclenchés par l’ouverture inconsidérée des frontières et l’accès aisé aux aides sociales.
Pire que cela, sous la houlette de la Commission Européenne, les états européens se sont vus enlever la capacité à avoir une politique d’immigration indépendante.
L’établissement des politiques migratoires est devenu une prérogative européenne, depuis l’entrée en vigueur du traité d’Amsterdam en 1999, et les états en sont réduits à plier l’échine devants les diktats de l’UE.
Immigration de masse = fin de notre civilisation
L’immigration de masse, orchestrée par l’UE.
Les vagues migratoires qui déferlent sur l’Europe depuis de nombreuses années ne sont pas dues à une conjoncture fortuite, au hasard, elles sont le résultat d’une politique délibérée. Bien souvent, la réaction des gens quand on les interroge à propos de l’immigration, consiste à hausser les épaules et à déclarer « On n’y peut rien. Il faut comprendre, ils sont pauvres alors ils viennent ici. On ne peut pas les empêcher de venir, c’est impossible ».
Beaucoup considèrent que l’immigration de masse est une sorte de fatalité imposée par le destin ou la marche normale de l’Histoire. Rien n’est plus faux ! Tout ce qui arrive aujourd’hui a été soigneusement conçu et planifié.
Au cours des années, les Européistes des gouvernements et la Commission Européenne ont méthodiquement élaboré et fait adopter l’arsenal de lois et de réglementations nécessaire à la destruction des frontières des nations européennes. Ils ont parallèlement délibérément mis en route la plus formidable pompe à immigration qu’on puisse imaginer : la distribution des aides sociales normalement réservée aux nationaux à tout habitant du Tiers-Monde suffisamment malin pour venir les réclamer.
Les systèmes d’aides sociales sont des systèmes mutualistes et, comme tous les systèmes mutualistes, ils ne peuvent fonctionner que s’ils sont fermés, c'est-à-dire réservés à leurs membres. Ouvrir un système mutualiste au monde entier c’est provoquer sa destruction, c’est pourtant exactement ce qui est fait aujourd’hui dans toute l’Europe.
Le système de protection sociale des pays européens, le plus développé au monde, est délibérément sacrifié au profit de l’impératif européiste de l’immigration et du remplacement de population.
Il a fallu pour cela persuader les Européens qu’ils étaient racistes s’ils refusaient d’ouvrir leurs frontières et de distribuer sans compter leur argent à des millions d’immigrants sans perspective réaliste d’assimilation. (voir à ce propos le nouveau livre d'Alexandre Del Valle : Le Complexe Occidental ). Des immigrants dont la seule fonction serait d’être de la main-d’œuvre sous-payée ou de la masse électorale de substitution pour les partis qui les maintiennent en état de dépendance au moyen de l’assistanat permanent.
La main d’œuvre à prix modique intéresse les grands intérêts industriels et leurs actionnaires financiers car elle provoque une pression à la baisse sur les salaires. Un électorat servile et dépendant intéresse les politiciens qui veulent se maintenir au pouvoir malgré l’irritation croissante et la désaffection des peuples qui se rendent compte qu’ils ont été bernés et trahis par des dirigeants au service d’intérêts dont ils sont tout sauf populaires.
L’Union Européenne, le projet des Européistes, ne fait que servir les grands intérêts industriels et financiers, ainsi que ceux des marionnettes politiques installées à la tête des gouvernements.
C’est pourquoi, malgré l’intérêt évident des peuples européens, l’après-guerre n’a jamais vu de politiques nataliste sérieuses adoptées au bénéfice des peuples autochtones. Dans les cas où ces politiques avaient commencé à être mises en place (comme en France avec le général de Gaulle) elles ont été réduites à un point de les rendre inefficaces pour les autochtones tout en restant incitatives pour les habitants des pays peu développés. Face à la dépression démographique européenne aggravée qui s’en est logiquement ensuivie, l’immigration massive a été organisée. Immigration présentée comme « solution » bien évidemment…
Le fait même que l’immigration nous soit officiellement présentée comme une solution pour nos pays et qu’elle soit dorénavant gérée sous direction exclusive de l’Union Européenne suffit amplement à démontrer qu’elle n’est pas un « phénomène fortuit ».
Les choses n’arrivent pas par hasard dans nos sociétés, soit elles sont organisées par des lois quand on veut les voir arriver soit on légifère pour qu’elles cessent quand on veut les voir disparaitre.
L’immigration de masse est voulue; l’environnement légal qui la permet et l’accompagne a été méthodiquement créé. Le prix que payent nos populations à cause de l’immigration, la pression des salaires à la baisse, le chômage, les crimes et délits, la ruine des systèmes d’aides sociales, la pénurie de logements sociaux, la dislocation du tissu social, le racisme anti-Blanc, anti-Juif, etc… était totalement prévisible et a été volontairement infligé aux Européens par les immigrationnistes favorables au projet de l’UE.
On pourrait penser que face aux graves difficultés économiques et sociales que traverse l’Europe, les décideurs de l’UE aient révisés leurs objectifs migratoires mais il n’est est rien. Bien au contraire.
L’immigration de masse, le futur pour l’Europe.
En vue de faciliter encore les mouvements de population vers l’Europe, l’UE, la Commission Européenne et la Banque d’Investissement Européenne sont impliquées dans des organismes comme l’Union pour la Méditerranée et EuroMed dont les objectifs mentionnent « la création d’une zone euro-méditerranéenne de libre-échange et la promotion de l'intégration économique régionale » ainsi que la réalisation des infrastructures de transport qui faciliteront les transits de populations et de marchandises.
Le 16 décembre 2013 l’UE signait un accord avec la Turquie visant à supprimer les visas d’entrée vers l’Europe en 2017, cela fait suite à la suppression des visas d’entrée pour les Bosnien, les Macédoniens et les Albanais. On voit ainsi que l’immigration de masse de demain, la « libre circulation » en jargon européiste, n’arrivera pas par hasard, elle est déjà planifiée.
Planifiée et « non-négociable » comme est en train de s’en apercevoir la Suisse qui ne fait pourtant pas partie de l’UE mais qui se voit menacée des pires rétorsions suite à sa décision par référendum de limiter les flux migratoires.
Le contrôle de ses frontières est un droit inaliénable de la nation, nul ne peut légitimement lui interdire de l’exercer sans attenter à sa souveraineté.
Immigration de masse voulue par l’Union Européenne contre volonté des peuples européens à retrouver la maitrise de leur destin démographique, le P+ se situe résolument aux côtés des seconds.
Seul le contrôle de nos frontières nous permettra de réguler nos flux migratoires et de régler tous les problèmes qui en découlent…