Suite à une recrudescence de la criminalité transfrontalière en provenance de France, la Suisse est contrainte de renforcer son personnel aux frontières.
La sérieuse Tribune de Genève écrit – j’insiste pour que les sangsues censeurs de chez SOS racisme et du MRAP ainsi que les négationnistes de la délinquance musulmane lisent bien chaque mot : « Une criminalité transfrontalière en provenance de l’Hexagone, composée avant tout de Français d’origine maghrébine,touche notamment les cantons de Genève, Vaud, Neuchâtel et Jura. »
Jürg Noth, chef du Corps suisse des gardes- frontière, dans un entretien publié dimanche par la NZZ am Sonntag, déclare que la situation est tellement grave car :
Ces criminels, qui ont sans cesse de nouveaux chefs et se répartissent le travail, sont équipés de fusils d’assaut, de mitraillettes et même de roquettes anti-char. Ils deviennent de plus en plus violents, relève Jürg Noth. (note de JPG : les mêmes roquettes anti-char que durant la nuit du 6 mai dans le 93)
Les gardes-frontière ont dû être équipés en conséquence. Outre de meilleurs gilets pare-balles, des barrages routiers avec filets leur ont été fournis, qui permettent de stopper « efficacement » des véhicules.
Des caméras vidéo supplémentaires sont aussi installées aux frontières. L’engagement des nouveaux drones, qui vont être achetés par le Département de la défense, est également prévu.
Gilets pares balles renforcés, barrages routiers avec filets, caméras vidéos et drones… on imagine la violence de ces musulmans, l’avenir de la France…
« Nous arrêtons actuellement au moins une bande d’escrocs au bancomat (distributeurs de billets) chaque semaine », relève Jürg Noth.
JPG : Sans faire le moindre amalgame, je constate que ce sont toujours les mêmes qui font chier le monde. Par ailleurs, un de nos lecteurs soutient que cet article est raciste. Non, lui dis-je, il est factuel. Et cela me rappelle mon ancienne vie ou l’un de mes directeurs un jour fit passer la note suivante : « attention recrudescence de chéquiers volés – les porteurs sont noirs, se disent pressés, achètent le premier produit qui leur est proposé, sans discuter ni poser de question ». Raciste ? Non, c’était la description d’une réalité basée sur une suite rapprochée d’incidents qu’il fallait à tout prix stopper, et il eut été ridicule de mettre en place un contrôle approfondi sur les mères de familles accompagnées de deux enfants afin de ne pas discriminer certains clients.
Politiquement incorrect peut-être, mais économiquement réaliste.
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© Jean-Patrick Grumberg pour www.Dreuz.info