D'une part, "en haut", on trouve une élite formée par la France, instruite à la française sans avoir ni le cœur ni l'esprit français, qui a perdu toute foi dans l'islam, mais qui en garde l'étiquette pour pouvoir influencer les masses maghrébines et africaines.
D'autre part, "en bas", il y a la population des immigrés, arrivés pour la plupart sans instruction, fermement musulmans, portés à la haine et au mépris par leur religion, par les imams, par les contacts qu'ils ont avec les Français : représentants des administrations, police, militants d'associations bizarres et subventionnées, enseignants, ceux avec lesquels ils ont la grande majorité de leurs rapports sociaux.
Ces contacts, malgré les affirmations des autorités politiques, ne sont pas de nature à faire aimer le peuple français, ni donner l'envie de s'y intégrer.
Le sentiment national de leur pays d'origine s'exalte et ils le manifestent quand ils en trouvent l'occasion : action politique de rue, match de foot ou autre.
Quand la France est en difficulté, que ce soit intérieure ou extérieure, l'élite se sert de l'islam et du sentiment de culpabilité que la presse de gauche a pour mission d'inculquer aux Français, comme d'un levier pour exciter la masse des non-instruits des cités.
L'Education nationale n'améliore pas la situation, et cherche à leur inculquer l'idée de l'inéluctabilité d'un califat à venir dans une France qu'elle se charge d'arabiser.
http://www.minurne.fr/article-sans-titre?&trck=nl-887339-1079380-88Hrx