• : PRESSE INTERNATIONALE
  • PRESSE INTERNATIONALE
  • : #Presse #Géopolitique #Géostratégie - International PRESS Review - ОБЗОР МЕЖДУНАРОДНОЙ ПРЕССЫ - 国际新闻评论
  • Contact

suivez-nous aussi sur :

Rechercher

 

 

 

david MIEGE
EN VENTE CHEZ VOTRE LIBRAIRE PRÉFÉRÉ. PLUS DE 200 DESSINS SULFUREUX

 

 

8 janvier 2015 02:31

nationalite2007-2013

 

La gauche et la presse bien-pensante n’ont de cesse de nous rabâcher que le problème de l’immigration est un mythe alimenté par l’extrême droite et que le « grand remplacement »n’est qu’un fantasme des crypto-zemmouriens.

Comme moi, vous n’en croyez pas un mot et les Français non plus qui rejettent maintenant le vote des étrangers à plus de 60 %.


Valeurs actuelles dans son dernier numéro (n°4072 du 11 décembre 2014) publie un grand dossier sur l’immigration intitulé : « Le tabou du « grand remplacement ». Logique ! Ce qui est fantasme à gauche devient tabou et le magazine de droite tente de le démontrer. Voici quelques extraits de ce dossier préparé par Fabrice Madouas, Gérard-François Dumont et Laurent Landrieu.

 

Le concept de « grand remplacement »


Le concept de « grand remplacement » n’a pas été inventé, ni par Renaud Camus, ni par Eric Zemmour. Il fut employé pour la première fois dans un rapport publié, en 2007, par la division de la population des nations Unies : « Le concept de migration de remplacement correspond à la migration internationale dont un pays aurait besoin pour éviter le déclin et le vieillissement de la population qui résultent des taux bas de fécondité et de mortalité ».
 
Ce terme de « grand remplacement » est devenu tabou et tous ceux qui s’y réfèrent sont cloués au pilori par la gauche. C’est surtout depuis que l’écrivain Renaud Camus a mis en lumière qu’en touchant à la composition des peuples, on affectait aussi l’identité des nations, qu’il est convenu de ne plus en parler. L’anathème est jeté sur ceux qui persistent à l’utiliser comme Ivan Rioufol ou Eric Zemmour car il est acquis, une fois pour toute, que « l’immigration est une chance pour la France ! » « Elle rapporte plus qu’elle ne coûte ! » C’est un axiome qui ne se discute pas !


 

Les causes du grand remplacement

Outre un système social ultra-généreux jusqu’à l’irresponsabilité, deux principes sont à l’origine de l’afflux d’immigrés en France :

  • Le regroupement familial, décidé par Giscard d’Estaing, qui, s’il avait du sens à l’époque de permettre aux travailleurs immigrés de faire venir leur famille, n’a plus aucune justification aujourd’hui. Compte tenu du manque de sérieux des administrations des pays d’Afrique subsaharienne, il est quasiment impossible de vérifier les liens de parenté réels des personnes demandant le regroupement. Bien sûr, la gauche a traîné dans la boue Brice Hortefeux lorsqu’il avait évoqué la possibilité d’utiliser des tests ADN pour vérifier les liens de parenté. Aurélie Filippetti avait parlé « d’abjection morale complètement contraire aux principes de la République » (voir cet article).
  • Le « droit à la différence » proclamé par la gauche et qui reniait le principe d’assimilation des immigrés et ouvrait la porte au communautarisme.

Depuis la gauche n’a cessé de glorifier l’immigration et les bienfaits d’une France métissée :

  • Jack Lang (1980) : « C’est une grande chance pour nous qu’il y ait cet apport, à mon avis très fécond, de jeunes qui pratiquent deux langues et qui vivent deux cultures »,
  • Laurent Fabius  (2003): « Je rêve que la Marianne de nos mairies prenne le beau visage d’une française issue de l’immigration »,
  • Ségolène Royal (2007) : qui se voulait « la présidente de la France métissée ».
  • François Hollande (2014) : « Le pays ne serait pas ce qu’il est, sans l’accumulation de talents.  Cette diversité est une chance ».

Les chiffres

Combien y a-t-il d’immigrés en France ? Cette question, pourtant simple, ouvre aussitôt d’incessantes controverses. Il est vrai que les chiffres varient selon les sources et que les définitions prêtent à confusion. Nous avons tenté d’y voir plus clair, sans passion, ni tabou.
 
L’Insee dénombrait 3,9 millions d’étrangers en 2012. Les immigrés sont plus nombreux: 5,8 millions, près de 9% de la population. On entend par immigrés les personnes « nées étrangères à l’étranger et résidant en France ». Depuis leur arrivée, 4 sur 10 ont acquis la nationalité française, par naturalisation ou par mariage. Leur nombre a augmenté tout au long du siècle dernier: en métropole, 1 million d’immigrés au début du XX ème siècle; 2,3 millions en 1954 ; 4,2 millions en 1990 (« France, portrait social – édition 2013″, Insee).
 
À ce chiffre, on ajoute celui des enfants d’immigrés pour avoir une vue globale et plus précise des effets de l’immigration sur le peuplement de la France: 6,8 millions en 2012. « Tant en proportion qu’en nombre, cette deuxième génération est la plus nombreuse de l’Union européenne »,remarque l’Insee.
La somme des deux (immigrés + enfants d’immigrés) fait 12,6 millions de personnes : près de 19% de la population totale.

Selon l’Insee, cette proportion atteint même 27 % dans la tranche des 25-54 ans, celle qu’on retient pour mener des comparaisons internationales. Là encore, « l’ensemble des première et deuxième générations est plus élevé en France qu’au sein des autres pays les plus peuplés de l’Union européenne ».

D’où vient cette immigration ?

Le tableau suivant indique la provenance des immigrés :

On remarque que :

 

  • L’immigration vient en majeure partie d’Afrique (43 %),
  • L’immigration européenne est en baisse constante (32,6 %)
  • Ensuite vient l’Asie avec seulement 14,4 %.

Il est intéressant d’analyser l’origine des naissances et son évolution entre 1998 et 2012 :

  • En 1998, 76,8 % des enfants naissaient de 2 parents nés en France, alors qu’en 2012, ils ne sont plus que 72,9 % (baisse de 5 points),
  • Dans le même temps, les enfants nés de deux parents étrangers augmentaient d’un tiers (de 9,4 % à 12,5 %).

Où nous conduit le niveau actuel de l’immigration ?

Les nouveaux migrants sont jeunes. Plus de 4 sur 10 ont entre 18 et 30 ans, et les femmes sont plus jeunes que les hommes, ce qui explique que la fécondité des mères immigrées soit élevée: 2,6 enfants par femme.

Comme le taux de mortalité de cette population est très faible puisqu’elle est jeune, « l’effectif des descendants d’immigrés augmente rapidement: près de 800 000 personnes de plus en 5 ans. Cela représente environ la moitié de l’accroissement net de toute la population résidente en France, entre 2007 et 2012″ (« Démographie des descendants d’immigrés », Infos migrations, avril 2014). On constate évidemment de grandes disparités selon l’origine des parents. La population de souche européenne est quasiment stable. « En revanche, la population d’origine turque ou des pays d’Afrique hors Maghreb croît sur un rythme extrêmement rapide (qui conduirait à un doublement en moins de dix ans s’il se maintenait) », précise le département des statistiques de la direction générale des étrangers.


 

La France, toutes portes ouvertes

La démographe Michèle Tribalat s’insurgeait l’an dernier contre l’idée, souvent répétée, que la proportion d’immigrés en France était stabilisée depuis 1975 (c’est ce qu’affirmait un rapport remis aux parlementaires en avril 2013 avant un débat sur l’immigration professionnelle et étudiante). « La France »,répliquait-elle, « a entamé depuis 1999 un nouveau cycle migratoire qui a porté la proportion d’immigrés à son plus haut niveau. I’accroissement relatif de celle-ci sur la période 1999-2009 est d’intensité voisine à celui connu au cours des Trente Glorieuses. »
Les études les plus récentes confirment ce constat: « On assiste à une hausse tendancielle de l’immigration vers la France depuis quelques années », affirme un expert de l’OCDE, qui a présenté la semaine dernière son rapport annuel sur les migrations internationales. D’après elle, la France a accueilli près de 260 000 migrants permanents en 2012 (+ 21% par rapport à 2007).
 
Les demandes d’asile explosent

Les demandes d’asile ont elles aussi beaucoup augmenté (+ 8,8 %), au point que le gouvernement veut en réformer le droit. Plus de 65 000 dossiers sont déposés à l’Office français de protection des réfugiés et apatrides. Selon l’OCDE, les principaux pays d’origine des demandeurs d’asile sont la république démocratique du Congo, la Fédération de Russie, le Sri Lanka, la Serbie et la Chine. « Dès qu’un pays est retiré de la liste des pays sûrs, les demandes affluent car elles deviennent acceptables », note Jean-Paul Gourévitch. « C’est le cas en 2013 de l’Albanie, du Bangladesh et du Kosovo, avec une augmentation de plus de 100% sur l’année précédente. »
 
Les naturalisations sont en constante augmentation

Le chiffre des acquisitions de la nationalité française avait diminué ces dernières années : 143 000 en 2010, 97 000 en 2013 (42 % étaient africains à leur naissance).

Mais il devrait nettement remonter, Manuel Valls ayant jugé fin 2012 qu’il était « urgent de redresser la courbe du nombre des naturalisations en revenant sur les critères les plus discriminants » !

 

Quid de la proportion de musulmans parmi les immigrés ?


Dans son dernier livre, « Assimilation, la fin du modèle français », sorti en 2013 aux Éditions du Toucan, Michèle Tribalat estimait que le cap des 5 millions serait franchi cette année, en métropole, alors que cette population était d’environ 500 000 personnes en 1962. Leur nombre a donc été multiplié par dix en cinquante ans. Ils représentent plus de 7,5 % de la population.  « La France se trouverait ainsi […] en tête des pays de l’Union européenne, Bulgarie mise à part, par la taille et l’importance relative de sa population musulmane » : elle accueille le quart des musulmans de l’Union européenne. La communauté musulmane va continuer de croître : Pew Research, un think tank américain sur les religions, prévoit qu’elle comptera un peu moins de 7 millions de membres en 2030. Un chiffre qui serait d’ores et déjà dépassé selon Jean-Paul Gourévitch : « 3 millions en 1985, 5 millions en 1998, environ 8 millions aujourd’hui », écrit-il dans « les Migrations pour les nuls ».

Le Roux lâche la police politique de la pensée.
 

Le patron des députés PS entend contrôler l’information !!!

Le discours sur l’immigration de Hollande, lundi 15 décembre, se voulait « une réponse à Le Pen, à Zemmour », selon un proche du chef de l’État. Bruno Le Roux s’inscrit donc dans les pas présidentiels, ce mardi 16 décembre. Le chef du groupe PS à l’Assemblée le fait par communiqué dans lequel il dézingue Éric Zemmour et notamment son interview au journal italien le Corriere della Sera, une interview « honteuse » selon le député PS.

Bruno Le Roux demande donc aux media de ne plus inviter – ou faire travailler – Éric Zemmour, qui est employé par RTL, Le Figaro et i>Télé. Le chef de file des députés PS écrit :
« Il est temps que les plateaux télé et les colonnes des journaux cessent d’abriter de tels propos. L’islamophobie est un racisme qui ne doit plus avoir pignon sur rue dans la République. »

Pour justifier sa demande, Bruno Le Roux évoque donc cet entretien avec le Corriere della Sera, entretien dénoncé sur un plateau par Jean-Luc Mélenchon. Dans cet échange, le polémiste revient sur sa théorie du remplacement des « musulmans par les Français » dans certains quartiers et répond à cette question du journaliste : « suggérez-vous de déporter 5 millions de musulmans français ? »
 

Réponse d’Éric Zemmour : « Je sais, c’est irréaliste, mais l’Histoire est surprenante. Qui aurait dit en 1940 que un million de pieds-noirs, vingt ans plus tard, seraient partis d’Algérie pour revenir en France ? »

 

« Déportation des musulmans », sûrement pas !


Mais révocation des journalistes … Faut voir !

 

La pathétique affaire de « la déportation des musulmans », projet prêté à Eric Zemmour par Jean-Luc Mélenchon montre à quel point Eric Zemmour est devenue la bête immonde à tuer de n’importe quelle façon, notamment pour tous les médias.

Sur son blog, Jean-Luc Mélenchon donne « sa » traduction d’un passage d’une interview qu’a donnée Eric Zemmour au journal italien « Corriere della Sera ». Il écrit :

Eric Zemmour : « Les musulmans ont leur code civil, c’est le Coran. Ils vivent entre eux, dans les périphéries. Les Français ont été obligés de s’en aller. »

Question : « Mais alors que suggérez-vous de faire ? Déporter 5 millions de musulmans français ? »

Eric Zemmour : « Je sais, c’est irréaliste mais l’Histoire est surprenante. Qui aurait dit en 1940 que un million de pieds-noirs, vingt ans plus tard, seraient partis d’Algérie pour revenir en France ? Ou bien qu’après la guerre, 5 ou 6 millions d’Allemands auraient abandonné l’Europe centrale et orientale où ils vivaient depuis des siècles ? »

Question : « [Vous parlez d’exodes provoqués par] des tragédies immenses. »

Eric Zemmour : « Je pense que nous nous dirigeons vers le chaos. Cette situation d’un peuple dans le peuple, des musulmans dans le peuple français, nous conduira au chaos et à la guerre civile. Des millions de personnes [vivent ici], en France, [mais] ne veulent pas vivre à la française. »

Cette retranscription va déclencher un tsunami de réactions à gauche, dans la presse et dans les associations anti-racistes. En voici, douze trouvées en une minute sur Google :

tsunamireactions

Les faits réels rétablis par le journaliste-intervieweur

 

 Stefan Montefiori est l’auteur de l’interview d’Eric Zemmour au Corriere della Sera. Il a déclaré au Figaro :

« Il faut préciser qu’Éric Zemmour n’a pas employé ce mot. Au terme d’une conversation sur Le Suicide français, les échecs de l’assimilation et du modèle multiculturel, je lui ai posé la question suivante: «Mais vous ne pensez pas que ce soit irréaliste de penser qu’on prend des millions de personnes, on les met dans des avions…»; il ajoute: «ou dans des bateaux», et je reprends: «pour les chasser ?» Ce que j’ai résumé dans la formule qui fait scandale. »

Le mot « déportation » qui a tant fait couler d’encre, n’a pas été prononcé par Eric Zemmour !

Passe encore la transcription approximative et orientée des faits par Jean-Luc Mélenchon, l’ennemi viscéral d’Eric Zemmour. Mais où est la déontologie de tous ces journalistes qui ont repris, SANS LES VERIFIER, des propos rapportés par un homme politique dont on connait les exagérations et les débordements ?

Honte à tous ces journalistes qui sont des militants plutôt que des journalistes !

Honte à la rédaction de RTL qui a cru bon de de désolidariser d’Eric Zemmour sans prendre la peine de demander à Eric Zemmour de confirmer les propos qui lui sont prêtés !

Honte, aussi à l’Observatoire National contre l’Islamophobie qui a condamné « avec force » ces propos. Voici un extrait de son communiqué :

observatoirenationalislamo

Certains mERdias se sont bornés à écrire que Zemmour avait « évoqué » la déportation, mais l’Observatoire de l’Islamophobe (payé avec vos impôts) écrit que Zemmour « prône » la déportation ! On serait en droit de demander la démission de son président voire la dissolution de cet organisme partisan.

 

Honte, enfin, au ministre de l’intérieur, Cazeneuve, qui a condamné « avec une extrême fermeté » des propos QUI N’AVAIT PAS ETE TENUS !!!

La mise au point d’Eric Zemmour.

Ce matin, en lieu et place de sa chronique habituelle sur RTL, Eric Zemmour a été interrogé par Yves Calvi :

Y. Calvi : « Avez-vous ou non parlé de déportation ? ».

E. Zemmour : « C’est une histoire extraordinaire, je n’ai jamais prononcé ce mot, le journaliste du Corriere della Sera non plus. On m’a accusé d’avoir dit un mot que je n’avais pas prononcé, puis de ne pas avoir contredit un mot qui n’avait pas été prononcé », s’agace Éric Zemmour, qui dit « n’avoir jamais demandé le départ des musulmans de notre pays. C’est ridicule. On ne va pas faire sortir des citoyens français », affirme-t-il.

Éric Zemmour s’est ensuite emporté contre les politiques et les médias qui affirment qu’il ne doit plus être accueilli sur les plateaux télé. Jean-Christophe Cambadélis est l’héritier de « Saint-Just et de sa vieille phrase : pas de liberté pour les ennemis de la liberté ». « Quand le ministre de l’Intérieur vient nous dire qu’il faut se mobiliser contre moi, qu’il faut manifester contre moi, vous vous rendez compte ? La prochaine fois, qu’est-ce qu’ils vont faire ? Envoyer mes électeurs en prison ? » s’interroge Zemmour.

Ce que j’ai compris de cette histoire …

 

Eric Zemmour, notamment dans son livre « Le suicide français » dénonce la perte de l’identité française entraînée par une immigration d’une part non maîtrisée et d’autre part composée de populations qui ne peuvent (ou ne souhaitent pas) s’intégrer vraiment à la société française. Comme beaucoup, il parle de « grand remplacement ».

Si l’on suit Eric Zemmour sur ce chemin, on peut essayer d’imaginer ce qui se passerait avant que le « grand remplacement » n’arrive à son terme. Je ne crois pas d’ailleurs que cela puisse arriver car il y aura, bien avant, de terribles réactions de la part des « français de souche », lorsqu’une certaine masse critique sera atteinte. Si on continue suivant la feuille de route prônée – qu’elle le reconnaisse ou non – par la gauche, les immigrés vont venir grossir des zones géographiques déjà à forte densité d’immigrés (PACA, Seine-Saint-Denis). Ces zones seront de plus en plus désertées par les français non-immigrés ce qui renforcera le communautarisme déjà en gestation actuellement.

 

 Ces zones seront des zones à très fort chômage où la délinquance explosera et des problèmes de plus en plus nombreux et de plus en plus graves se poseront entre ces zones et l’extérieur. Nous avons ici tous les germes d’une possible guerre civile qui pourrait se déclencher et dont les conséquences pourraient être terribles pour la France. Ni moi, ni, je le pense, Eric Zemmour n’arrivons à imaginer tout ce qui pourrait se passer et jusqu’où les affrontements pourraient aller. C’est le journaliste du Corriere della Sera, et non pas Eric Zemmour, qui a osé envisager une des solutions extrêmes : le renvoi des immigrés dans leurs pays.

 

 Cette hypothèse parait impossible dans la France d’aujourd’hui. Mais si la crise devenait beaucoup plus grave, avec une baisse des salaires et des pensions, un chômage de 15 % ou 20 % de la population, un nombre d’immigrés jugés insupportable par les Français, est-il vraiment impossible qu’un parti extrémiste n’arrive au pouvoir et envisage des solutions extrêmes pour résoudre une situation d’une extrême gravité ?

Si on en arrivait là, les politiciens de gauche, par idéologie, mais aussi de droite, par lâcheté, porteraient une écrasante responsabilité dans la situation.

 

vu sur : http://voixdupeuple.wordpress.com/2014/12/30/concept-grand-deplacement/

Partager cet article

Repost0
CITOYENS ET FRANCAIS - dans Immigration