Il faut dire qu’il ne s’agit pas de n’importe quel musée, mais du « musée de l’immigration ».
Cet organisme a été créé par Jacques Chirac et Nicolas Sárközy durant les années 2000 avec une claire volonté antifrançaise, pour justifier le remplacement des Français de souche sur leur propre terre.
Depuis cet été, c’est d’ailleurs Benjamin Stora qui en préside le « conseil d’orientation ».
Le projet est d’autant plus clair qu’il est inscrit dans les statuts : il ne s’agit pas de raconter ce qui a été ou ce qui est, mais de « faire évoluer les regards et les mentalités sur l’immigration ».
Le pouvoir ne se cache pas de vouloir manipuler, endoctriner, laver le cerveau de la population. Le« musée » – "centre de rééducation" serait un terme plus convenable – devient d’ailleurs l’un des passages obligés des petits écoliers français en visite à Paris, entre un tour au mémorial de la Shoah et une exposition sur l’esclavage...
Le musée ne vit d’ailleurs que pour cela : en 2009, seules 20 % des entrées ont été payées, signe de l’échec total du concept.
La grande majorité des visiteurs sont des élèves, conduits par ces professeurs qui constitueront le dernier wagon d’électeurs du Parti socialiste.
Haine de la France et des Français, communautarisme, échec et gouffre financier : les lieux semblent un résumé du hollandisme ; à tel point que le musée a été qualifié par un historien – du système – de « musée fantôme à la dérive ».
Une définition qui va parfaitement à François Hollande, président fantôme à la dérive…
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